Eltanin

Malgré tout le brouillard, Michael ne prit pas beaucoup de temps pour remarquer que les lieux étaient déserts. Un congé, peut-être ? C'était lundi et l'école était déserte. Autre détail, les sacs à  ordures avaient disparus.

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"Donc finalement je pourrais juste aller, par exemple, sur le thread de judo, et traiter tout le monde de tapettes avec sept ans de retard ?"

-Monsieur, ce n'est sûrement pas prudent de rester plus longtemps. Peut-être devrions-nous réveiller le prêtre et nous dépécher de partir ?

Elle partit dans la cuisine, laissant des traces de pas rouges derrière elle.

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"Donc finalement je pourrais juste aller, par exemple, sur le thread de judo, et traiter tout le monde de tapettes avec sept ans de retard ?"

Willy se réveilla dans la station,il se mit a farfouillé celle-ci en quete de quelque denrées comestible pour son petit déjeuner.
Il alla donc dans la partie commerciale de la station.
Il remarqua par la fenetre qu'un épais brouillard était tombé sur la ville.
Cela le ralentira dans sa marche d'aujourd'hui,il cherchera également une lampe pour s'y retrouver un peu dans ce brouillard.
Mais pour l'instant il était l'heure de manger.

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Ceci n'est pas une signature...

Frank restait stupéfié à  la vision des traces laisser par la fille, leur couleur faisait penser à  du sang. Il se baissa pour mieu les examiner, il voulait en avoir le coeur net.

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Michael consulta à  nouveau l'Evangile et la lettre de Koontz, laissant de côté le livre de psychologie pour le moment. Il n'en avait pas besoin pour déduire de ces éléments que son vieil ami se croyait pourchassé par des démons tous droit surgis du Livre de l'Apocalypse.
L'homme usé secoua la tête et mit en marche sa voiture. Il devait trouver de l'aide. Il s'engagea dans la rue la plus proche, priant pour qu'elle mène au commissariat. Et sinon, à  quelqu'un susceptible de lui en indiquer le chemin.
Les rues étaient désertes. Même par un pareil temps de brume, un tel dépouillement était surréaliste.

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Willy aperçut une femme qui regardait son sandwich, assise sur le bord de la route. Elle lui semblait familière.

(Oui, j'ai bien dit "regarder"...)

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"Donc finalement je pourrais juste aller, par exemple, sur le thread de judo, et traiter tout le monde de tapettes avec sept ans de retard ?"

-Monsieur, toute la nourriture est... expirée, dit Rebecca en se pinçant le nez.

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"Donc finalement je pourrais juste aller, par exemple, sur le thread de judo, et traiter tout le monde de tapettes avec sept ans de retard ?"

Michael arriva à  ce qui était autrefois le coin de la rue Finney. Ce n'était plus qu'un trou béant que regardait une jeune femme portant une vieille robe.

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"Donc finalement je pourrais juste aller, par exemple, sur le thread de judo, et traiter tout le monde de tapettes avec sept ans de retard ?"

Frank se redressa d'un bond, tentant de dissimuler sa surprise.

- "C'est pas grave, de toutes façons j'avais pas l'intention de pique-niquer ici. Cet endroit est malsain, je vais réveiller le cureton et on se barre d'ici.

Frank se dirigea vers la chambre où le Père dormait encore, en s'efforçant de ne pas regarder les traces.

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Michael descendit de voiture et s'avança vers la femme.

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Willy resta la bouche ouverte un petit moment a réfléchir.
Finalement il se décida a proposé un demi sandwish a ce visage familier.
Il sortit donc dehors pour la retrouvé.

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Ceci n'est pas une signature...

Tim se réveilla au bout d'une nuit longue mais qui se révéla bien trop courte à  son goût, tiré de son sommeil par des spasmes dans l'abdomen. Ouvrant les yeux à  une réalité aveuglante, il prit une respiration forte, et s'assit. Si après chaque nuit de sommeil il était condamné à  régurgiter son repas de la veille, il risquait bien de ne trouver de repos autrement que dans...

"La mort ?", pensa-t-il.

Une figure allégorique qu'il n'eut aucune peine à  reconnaître dominait le couloir, haute de deux mètres cinquante, et peinte dans un pigment dont il valait mieux ignorer la provenance, sur le mur faisant face à  la cuisine. Mais le jeune homme ne s'interrogea pas tant sur l'apparition pendant son sommeil de cette fresque énorme, mais plutôt sur l'existence improbable de sa faux, qui, comme peinte en relief, prenait vie dans le mur à  la surface craquelée, pour s'en extraire, sa lame étincelante désignant un point du sol dans une virgule d'acier d'une perfection mathématique, évoquant une forme cauchemardesque d'une cicatrice qu'il aurait pu hériter des traitements de son père.
Face à  la mort, Timothy détourna la tête, et s'aperçut que la porte par laquelle il avait pénétré dans le couloir, au fond à  gauche était close de l'intérieur par de lourdes chaînes monolithiques.

La femme avait un teint maladif et des poches énormes sous les yeux.

-J'ai pas faim... pas faim du tout. Vous voulez mon sandwich ?

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"Donc finalement je pourrais juste aller, par exemple, sur le thread de judo, et traiter tout le monde de tapettes avec sept ans de retard ?"

-Vous ne trouvez pas que ce monde est maudit, monsieur Hartman ? Où était le Dieu chrétien quand ses enfants de Silent Hill l'ont imploré, hum ? Où sont-ils, maintenant ? Et pourquoi sommes-nous abandonnés ici dans ces lieux de désolation ?

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"Donc finalement je pourrais juste aller, par exemple, sur le thread de judo, et traiter tout le monde de tapettes avec sept ans de retard ?"

-J'ai faim... monsieur, si on allait à  l'orphelinat ? Ma grande soeur doit y être, on pourrait manger.

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"Donc finalement je pourrais juste aller, par exemple, sur le thread de judo, et traiter tout le monde de tapettes avec sept ans de retard ?"