La
fantasy propose tout autant de possibilités, de grands auteurs tels que Michael Moorcock et son multivers l'ont bien montré. Cependant, elle est sous-estimée et mal représentée par des auteurs dont la plupart cherchent à livrer des romans de cape et d'épée, des ersatzs de Conan et des Ardas du pauvre.
La science-fiction réclame des efforts bien moindres pour devenir profonde et proposer une multitude de thématiques intéressantes, car elle cristallise les espoirs et les peurs de l'époque actuelle.
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Comme la sagesse n'est pas pour demain chacun prépare sa guerre. Les pauvres s'organisent. Ils savent que les riches ne se soucient guère de leur avenir. Leur première arme est leur natalité galopante. "Allez dans les pays riches, infiltrez-les, multipliez-vous, allez partout. Le jour venu, quand nous déclencherons la grande jacquerie, ceux qui doivent agir agiront. L'expérience a montré que le terrorisme émanant d'ethnies infiltrant un pays était une arme sans parade. Vous auriez raison d'avoir peur, à en avoir le ventre noué, habitants des pays riches et tranquilles. Vous vivez assis sur un baril de dynamite sans en avoir conscience.
Les riches s'organisent, de leur côté. Leurs solutions sont autres et passent par la hi-tech. C'est dans cette optique que s'inscrit le projet Haarp. Vous y découvriez des concepts nouveaux, dont celui d'une "guerre invisible". Pour en savoir plus, référez vous au rapport du GRIP, signé par Luc Mampaey.
Ca a l'air terriblement raisonnable, dit comme ça.
Comment discerner la frontière entre hypothèses pessimistes et folie méthodique ?