Eltanin

Ganon n'en croyait pas ses yeux, le four s'était refermé et allumé de lui même, les cris de l'enfants déchiraient ses tympans, des flammes lui sautèrent à  la figure lorsqu'il fut près du four.

Légèrement aveuglé, il vit qu'il ne restait rien de l'enfant et que les poulets avaient survécu aux braises de la machine, immaculés de sang noirci par la chaleur, ils fixaient le gallinaçophobe (*kof kof*) de leurs atroces yeux rouges.

L'homme ne supportait plus cet atroce spectacle, la rage s'insinuait peu à  peu dans son esprit, il frappa un grand coup sur les plaquettes chauffantes, rejettant d'ardentes flammes, au dessus du four, le meuble fut détruit et les poulets ne sortirent plus des décombres. Ce n'était pourtant pas suffisant pour calmer sa colère, tel un typhon, il brisa tout ce qui était à  sa portée, puis, d'un pas lourd, sorti de la pièce.

De la fumée s'échappait de son corp brûlant d'énervement, la nuit venait de s'achever et le sommeil lui manquait, il se dirigeait rapidement vers les toilettes pour homme pour soulager un besoin naturel.

Ensuite, il sorti de ce lieu maudit, ses tatouages brillaient et lui faisaient atrocement mal, une force inconnue le poussait à  marcher vers l'est, toujours vers l'est.

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Bi-Fi : "Je te donne la liberté, si tu deviens mon esclave"
Saucisson : Merci Masta.

Garde 1 : !
Snake : Je suis une hallucination @_@
Garde 2 : !
Garde 1 : Calme-toi, c'est une hallucination.
Garde 2 : Ah d'accord.
Snake : Meh hee hee

Ganon traversa le pont et trouva un endroit chicken-free, le poste de contrôle. Il s'y installa et s'y endormit. Aucun poulet ne vint le déranger.

(Bon, on laisse ça mort jusqu'à  ce que tout le monde soit au lendemain.)

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"Donc finalement je pourrais juste aller, par exemple, sur le thread de judo, et traiter tout le monde de tapettes avec sept ans de retard ?"

Willy tapa a la porte,il espera pouvoir faire taire cette agacante voix.
Finalement il se décida a adresser la parole a la voix.
-:"qu'est ce qui vous arrive ? pourquoi vous êtes vous enfermé et a quoi vous sert de répétez ces paroles."
Puis a cause de son énervement il ne peut s'empecher de geuler
-:"Dieux ne peut pas exister,sinon je me demande bien a quoi il sert !".
Willy essaya d'entrée ou au final d'enfoncer la porte.

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Ceci n'est pas une signature...

Willy tenta d'enfoncer la porte et la femme cria : "Tu veux réellement brûler en enfer ? ! Soit !"
La porte céda et tout ce qu'il trouva, c'était le cadavre mutilé d'une femme qui commençait à  se décomposer.

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"Donc finalement je pourrais juste aller, par exemple, sur le thread de judo, et traiter tout le monde de tapettes avec sept ans de retard ?"

Dégouter et choquer par la surprise Willy couru dehors.
Il s'arreta haletant dans la rue tentant de reprendre son souffle,avant de trouver un meilleur endroit pour se reposer.
Cette femme lui rapellant la sienne des souvenirs douloureux lui revenir en tête tandis qu'il avançait au hazard dans les rues de la ville.

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Ceci n'est pas une signature...

Willy couru jusque sur l'avenue Nathan d'où il pouvait voir le bowling et la station service. Les deux semblaient bien abandonnés, comme toute la ville.

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"Donc finalement je pourrais juste aller, par exemple, sur le thread de judo, et traiter tout le monde de tapettes avec sept ans de retard ?"

Timothy ne trouva point de carte de Silent Hill dans ce poste de police, contrairement à  ce qu'il attendait. Il ne put que constater le caractère angoissant et abscons des notes placardées sur le panneau en liège du poste. Des disparitions, ou au contraire des apparitions, en passant par des crimes non résolus.

"L'augmentation des effectifs n'a pas été réalisée en dépit de l'autorisation municipale. Nous n'avons eu aucune nouvelle des services concernés, et aucun nouvel agent ne nous a rejoint depuis des mois, alors que le climat actuel en requiert avec urgence. Nous sommes bien loin d'être dépassés par les événements, mais la gravité des crimes (principalement des meurtres) exige l'emploi de personnel compétent pour effectuer des enquêtes. Or, même le FBI semble se désintérresser de ces affaires, ce pour quoi il existe pourtant. Nous devons tout faire nous mêmes sans attendre les fédéraux, mais qui sait si la police municipale sera utile à  quoi que ce soit dans cette ville d'ici quelques semaines voire quelques mois ? Notre représentant syndical est parti il y a un mois soumettre ses doléances au gouverneur, mais on n'a plus eu de nouvelle de lui. Nous pensons vraiment que l'on se moque de notre service et par-là  même, des citoyens qui comptent sur nous. Que Dieu nous bénisse en attendant de plus augustes perspectives."

Timothy arracha cette note, et, ayant constaté l'aspect exceptionnellement inhospitalier des lieux, se saisit d'une latte du parquet se détachant devant lui, et entreprit de la garder en tant qu'arme. Il enfonça ses deux clous à  chaque extrémité de cette planche, et s'en alla pour continuer plus loin dans la rue.

Timothy descendit la rue Crichton, planche à  clous en main. Devant l'hôpital Alchemilla, il se dit que cela pourrait être un bon endroit pour passer la nuit.

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"Donc finalement je pourrais juste aller, par exemple, sur le thread de judo, et traiter tout le monde de tapettes avec sept ans de retard ?"

Timothy, ivre de fatigue et affamé, espéra trouver de quoi se sustenter dans cet établissement salvateur. Il pénétra dans l'imposant bâtiment par une porte en tambour, comme dans certains hypermarchés, et ne sut que choisir entre satisfaire son sommeil ou apaiser sa faim, à  l'image du fameux âne de Buridan. Dans l'allée principale, il trouva une carte des lieux, et s'en saisit, un zeste de culpabilité rejoignant son geste doucereux lorsqu'il s'en empara. En avait-il le droit, même si cet endroit semblait plus mort que vif ?



Il déambula jusqu'à  la cuisine, où il commença sa razzia sur les réfrigérateurs, et s'accomoda d'une boîte de raviolis froids (non sans vérifier la date limite - ouf, elle était encore à  venir) comme s'il s'agissait d'un mets de roi. Enfin, en quête d'un endroit tranquille pour s'endormir, il estima recevable l'idée selon laquelle une intrusion dans le bureau du docteur serait la manière privilégiée de s'assurer une nuit confortable. La grande chaise en cuir à  géométrie variable du bureau était parfaite. Il abaissa le dossier et remonta la partie inférieure destinée à  soutenir les jambes, et s'allongea pour un sommeil bien mérité, dans les ténèbres les plus profondes et accueillantes.

Willy décida d'aller a la station service,ou plutot au magasin de la station.
Si la ville est aussi abandonné qu'elle le parait,il n'aura aucun probleme pour piller le magasin.
Apres il verrait,cette ville lui renvoyant une impression malsaine,il cherchera surement a traversé la ville,pour la quitter.

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(Bon, pour des raisons viles, je dois te faire dormir si on veut progresser.)

Étant trop tard pour partir, il décida de passer la nuit dans la station service. Il s'installa dans un fauteuil et s'endormi.

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"Donc finalement je pourrais juste aller, par exemple, sur le thread de judo, et traiter tout le monde de tapettes avec sept ans de retard ?"

"Ma fille, tu sembles fatiguée ( ), quant à  moi, la veillée au cimetière m'a épuisé. Je suggère que nous dormions tous, de toute façon nous n'allons pas laisser ton invité surprise ici."

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(USER WAS BANNED FOR THIS POST)

Le soleil se leva sur Silent Hill, une lumière maladive perçant à  peine l'épais brouillard.

Alors que les autres dormaient toujours, Rebecca se tenait devant une fenêtre nouvellement barricadée, observant la ville par un mince espace entre deux planches.

-Le sang a coulé... le cauchemar durera encore une journée. Quand le paradis en émergera-t-il donc ?

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"Donc finalement je pourrais juste aller, par exemple, sur le thread de judo, et traiter tout le monde de tapettes avec sept ans de retard ?"

Michael Hartman s'éveilla dans sa voiture. Il était ankylosé.
Après s'être remémoré les récents événements, il jeta un coup d'oeil par le pare-brise, souhaitant s'assurer du calme aux alentours.

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Frank s'était éveillé en sentant un mouvement proche, il n'en était pas sûr, mais les pas étaient assez léger et furtifs pour être ceux de la fille. Sur le coup il n'avait pas vraiment réagit, encore enfoncé dans les brumes du sommeil, se contentant d'écouter le temps de trouver la volonté d'émerger. Après avoir entendu un chuchotement, Frank se leva enfin. La fille se tenait à  la fenêtre, Frank n'en était pas sûr, mais il lui semblait que quelque chose clochait, il y avait un changement.

Cette fenêtre était-elle barricadée hier soir ?

Frank s'approcha de Rebecca, sans chercher à  être discret, et se posta près de la fenêtre. Il jeta un regard entre les planches, en espérant découvir se qui absobait Rebecca.

Foutu brouillard ! La journée s'annonce terrible, dit il ironiquement.

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