Mon cerveau aurait-il été lobotomisé ? Pas assez pour dire que j'ai tellement adoré Drakengard qu'il est mon jeu préféré. Non, surtout pas, mais un sacré moment de surprises et d'excitations. Le jeu est assez énervant dans sa manière de jouer, d'autres en ont parlé avant moi, qu'ai-je d'autre à dire là-dessus ? En revanche, là où j'ai adoré c'est au niveau des personnages. Le scénario craint un peu, paraît banal (bien plus cruel qu'un Final Fantasy 10 pour comparer ce qui est difficilement comparable). Toutefois, les personnages... Bon, mais voilà quoi, c'est le cœur du jeu. Caim, le psychopathe classe, la Dragone éloquente et classe, Leonard, l'aveugle-poule mouillée-classe-et-son-truc-volant-hyper-énervant, Inhuart, l'homme aux milles espoirs brisés (classe), Seere, le garçon bizarre classe, Mana, la grande méchante véritablement saugrenue, provoquant un certain malaise ("La ! la ! la ! la !") et assurément classe et pour finir Arioch, la bouffeuse d'enfants complètement tarée et classe.
Bon, légèrement expéditif, mais autant dire que j'ai accroché à tous les personnages et que j'ai volontairement omis la soeur de Caim et le vieux prêtre qui a échangé ses cheveux contre un dragon pétrifié. Toutefois, la soeur de Caim est plus proche d'une Aeris autiste que d'une Yuna, donc en soi, c'est pas plus mal.
... Et ces personnages se noient totalement dans un scénario des plus banal. Enfin, il ne suffit pas de mettre des phrases classes, des personnages psychopathes pour faire passer Drakengard pour un jeu qui a une 'véritable' psychologie. Ceci dit, c'est assez rare de voir des dialogues aussi éloquents, et j'ai apprécié le fait que le héros ne soit pas un petit con de 15 ans qui manie l'épée comme les grands. En fait, les personnages ne sont pas assez attachant dans l'ensemble, à mon sens, peut-être à cause de l'histoire, du fait que le héros s'habille en chauffeur routier - et, là bonne excuse : Caim est muet, oui, c'est bien facile, mais c'est pas charismatique, encore une fois, et pourtant tout cela est sauvé, encore grâce à ces foutues phrase classes ("C'est moi, Caim" - magnifique !).
Quand aux phases en Dragon, cela aurait *pu* donner une impression de liberté s'il y avait eu plus d'espace, - vous avez remarqué que le dragon ne peut pas monter très haut, non ? Il manque vite d'air et c'est bien ce que je reproche - car le fait de descendre en piqué sur l'ennemi comme dans la mission où il faut buter les géants en vol m'a rappelé Last Exile.) Je pense aussi que les ennemis ressemblent à des décharges volante.
Et pour en revenir à la psychologie, qu'est-ce que vous attendez d'un personnage ? Je pense que l'on peut être profond sans se la jouer psychopathe Séphiroth 'achement torturé.
Oui, je suis bien d'accord avec toi pour le scénario banal, mais est-ce de ma faute si je me suis attaché ("malgré moi, j'vous jure que j'ai tout fait pour trouver que Drakengard était pourri et ne pouvait être sauvé à aucun endroit") à la plupart des personnages ? Caim ne me paraît pas grand de par ses phrases, puisqu'il est muet. Sa grandeur ne réside pas vraiment dans ce qu'il dit, mais plutôt dans cet air fou qu'il dégage (genre au début du jeu quand il continue de frapper un soldat déjà mort et qu'Inhuart lui rappelle que "Ce soldat est déjà mort, Caim").
Les phases en dragon m'exaspèrent : deux ou trois flèches de ces nigauds d'archers et hop, on revient à terre. Plus d'espace aurait été apprécié, en effet.
Et pour la psychologie, ça dépend en fin de compte. Dans certains jeux, je recherche surtout la diversité et le côté "marginal" que peuvent dégager certains protagonistes. Etant donné qu'on a un vaste panel de personnages dans Drakengard, j'ai quasiment accroché à tous. Et puis, ces personnages sont bien dans le ton du jeu à mon goût.
Enfin, je ne suis pas spécialement partisan de ce jeu. Simplement que j'ai adoré les personnages et que j'ai été déçu d'observer toujours les mêmes choses dans le jeu, sans compter le scénario particulièrement "épuré", tant et si bien qu'on pourrait résumer le script en deux lignes. Un jeu pourvu de trop de défauts pour rentrer dans la liste de "jeux à se procurer". Mais il n'est pas non plus dépourvu de qualités.
Oui, de même, les phases de dragon "près du sol" sont infiniment merdiques. (À part pour massacrer en appuyant irrémédiablement sur le même bouton, tel un zombie. C'est comme ça qu'on foule un muscle de pouce.)
J'aime bien le côté Foufou des personnages, certes, et c'est là l'avantage du jeu, mais on ne s'y attache pas, disons juste qu'on n'est pas pressé de voir leur évolution, on n'entre pas dans le saint état "Tout feu tout flamme" qui pousse avidement à connaître la suite - peut-être est-ce dû au fait que leur missions sont nulles à crever (tuez tout le monde, massacrez... c'est bien lourd) et longues ce qui fait paraître les dialogues bien courts.
Oui, quitte à faire un jeu où on tue tout le temps le même ennemi, pourquoi ne pas le faire bien ? Parce que moi, affronter des type de star-wars, c'est nul. Les développeurs ont négligé le style au profit du massacre - tout l'inverse de Devil May Cry, qui avec un scénario encore plus médiocre fait bien mieux, et pour cause : Le héros fait des coups rigolo.
Et tout le problème de ce qu'on reproche avec Drakengard vient avec le second opus. C'est mieux fait, excellent d'un point de vue musicalesque (Ah oui, j'oubliais : Le premier opus a une bande son à rendre DiNgUe. A croire que Squaresoft ne connaît pas assez de compositeurs bien, et que la meilleure musique n'est pas du compositeur mais les "Noces de Figaro") Et pourtant.... les personnages s'expriment avec un vocabulaire châtié... et pourtant, il est moins bon. (Parce que le héros a 15 ans, et qu'il se fait avoir par tout le monde, pathétique cliché du type 'sans volonté', revu et revu).
En conclusion, n'achetez pas le 2, mais téléchargez sa bonne musique.
Drakengard, l'expérience que j'ai découvert avec dix ans de retard... Bref... vieux motard que jamais.
La seule histoire de fantasy où nos héros ratent une mission cruciale (dont dépend l'avenir du monde) parce que le meneur sociopathe est trop occupé à génocider les soldats ennemis, le prêtre pédophile à choper des gamins et l'elfette dévoreuse d'enfants à s'offrir un gueuleton avec ces mêmes bambins.
Si.
Lui, c'est Caim. Prince déchu, sa famille a jadis été dévorée par des dragons, et son pays est tombé. Il a voué sa lame à l'Union (les gentils) et sa vie à la destruction de son ennemi politique, l'Empire (les méchants). Au début du jeu, Caim, mourant, se trouve confronté à Angel, un dragon prisonnier. Ils emploient le Pacte, un procédé magique qui peut lier un humain à une créature quelconque, pour raffermir leurs forces. Pour cela, Caim sacrifie sa voix, il passera le reste du jeu dans une haine muette, tandis que grandiront sa violence et son obsession de tout annihiler.
Furiae, seule rescapée de la famille de Caim, sa sœur bien-aimée, a accepté de devenir la Déesse, le cinquième des Sceaux protégeant et consolidant le monde. Pour cela, elle a (entre autres) renoncé aux plaisirs de la chair. Furiae passera l'essentiel du jeu à fuir, à se cacher ou à être prise en otage. Elle brûle de désir à l'égard de son frère.
Inuart, barde, ami d'enfance de Caim et Furiae, ne parvient pas à ses fins avec la belle Déesse. Empli d'amertume, il se laisse cependant aller à pousser la chansonnette... sur les cadavres dépecés des ennemis de Caim.
Léonard, deuxième personnage jouable après Caim, est un prêtre agité de pulsions inavouables (et censurées hors du Japon). Il est arrivé trop tard pour sauver ses frères des griffes de l'Empire, car il était loin dans les bois et, à ce moment-là, abusait d'un garçonnet. Dévoré par la culpabilité, tentant désespérément de réfréner ses instincts pédérastiques, il passe lui aussi un Pacte, avec une fée dotée d'une réelle passion pour la torture psychologique. Il y perd la vue.
Arioch, l'une des seules elfes rescapées du massacre de son peuple, voit une occasion unique de s'évader quand deux esprits élémentaires, Ondine et Salamandre, lui proposent un Pacte. Mais elle doit sacrifier son utérus, ce qui n'aide pas sa raison (déjà fracassée par le meurtre de ses enfants) à se remettre sur pied. Si elle est en prison, c'est qu'elle est devenue anthropophage, et même "infantilovore". À la première rencontre avec nos amis, elle tente d'arracher la gorge de Caim avec les dents, ce qui convainc notre meneur, équilibré comme à son habitude, de la recruter.
Seere, enfant aux yeux émeraude, survit et participe de plein-pied à la guerre contre l'Empire en signant un Pacte avec un golem. Il doit renoncer à son "temps", et devient immortel. Seul personnage de l'équipe principale à faire preuve d'un semblant d'idéalisme et d'innocence, il a pourtant sa part de responsabilité dans ce qu'est devenue sa sœur, élément-clef du scénario (quand scénario il y a)...
Verdelet, hiérarque de l'Union, se voit confier la sainte mission de veiller sur les sceaux et la princesse. Il a sacrifié ses cheveux pour un Pacte avec un dragon déjà pétrifié, ce qui ne lui accorde guère de capacités, mis à part la télépathie longue distance avec les autres signataires de Pacte (de PACS ?). D'ailleurs, c'est un personnage non jouable, totalement désincarné. Sans guère de rôle dans l'équipe des héros ni dans le scénario, il se bornera à se lamenter sur la destruction des Sceaux, les monstruosités dont est capable l'Empire, la fin prochaine. Et il glapira, et gémira, et hurlera. Vous le trouverez peut-être vaguement amusant au début, mais il agace très vite. Vous allez le haïr.
Et voilà, c'est tout pour l'équipe principale, qui sera divisée et décimée avec bonheur au cours de l'histoire...
Caim et Inuart, deux hommes pour une seule femme. Le genre d'histoire qui n'a déjà pas de fin heureuse, en soi...
Comme ça, le jeu a l'air sympa, l'univers a ses particularités, avec ce Pacte qui prélève toujours son tribut et qui laisse sa Marque, un tatouage-scarification dans la zone concernée, avec ces cités maléfiques à l'architecture moderne (et même new-yorkaise), avec ces absurdes forteresses volantes toutes grises et carrelées protégées par des cubes eux aussi en lévitation, avec ces dragons résolument insolites à lourde queue emplie de fissures brasillantes et à gueule inquiétante, avec ces fées à l'immoralité toute pré-victorienne...
Hélas, en jeu, il faut déchanter. L'imagerie se caractérise par sa pauvreté, il y a deux pauvres bannières (l'Empire et l'Union), aucun blason, un décorum inexistant, on ne verra jamais le moindre vrai village, les châteaux sont des enfilades infinies de grands couloirs vides et les champs de bataille des plaines à peine bosselées, recouvertes d'une texture plate et floue. D'ailleurs, le jeu est laid, autant le dire tout de suite, le jeu est très laid, ne lésinons pas sur les mots, LE JEU EST ATROCEMENT LAID. Techniquement, en 2003, c'est une honte de voir ça :
Les sols sont plats (d'ailleurs, la fonction de saut ne sert à rien, puisque dans Drakengard, on ne peut pas bondir au-dessus de la moindre brindille... on me souffle cependant, plus bas, que l'action permet d'exécuter certaines attaques rapides), le brouillard omniprésent, impossible de repérer les ennemis (même en cherchant les balises de jeu censées les signaler) à plus de cinq mètres, bref, du grand art. Même dans les airs, le jeu est loin, très loin d'être impressionnant.
Et la jouabilité est à la hauteur ! Rarement on aura connu aussi poussif, maladroit, hoquetant, et surtout dépourvu de possibilités. Ce qu'on fait le plus dans le jeu, c'est tuer. C'est le début et la fin de tout. Même pour ouvrir un coffre, il faut frapper au-dessus. Pour récupérer de la magie, il faut trancher dans le vif. Idem pour récupérer de la vie. On a accès à une palanquée de sorts et de techniques draconiques, 100% d'entre eux étant consacrés à quoi ? Tuer, vous avez deviné. Le déroulement du jeu n'est qu'un immense bourrinage, il n'y a qu'un niveau sur une myriade qui soit dépourvu de l'habituelle foule d'ennemis, et il s'agit d'une mission secrète et d'une alternative d'échec... On a l'impression de jouer à un Dynasty Warriors très laid, sans alliés et avec un personnage monomaniaque. Ces "mécanismes de jeu" (mettons de gros guillemets) sont clairement au diapason de la barbarie et du caractère extrême de l'histoire, mais cela ne les empêche pas d'être extrêmement douloureux ! Ajoutons que le jeu est long, long, loooong. Et long quand on n'a qu'une seule chose à faire, et pas de dix mille manières, c'est long. Histoire d'allonger sa durée de vie et de proposer plusieurs fins, il se perd dans un Replay Mode conçu en dépit du bon sens, où on a l'occasion de refaire les missions antérieures en compagnie des derniers personnages que l'on a recruté, ceux-ci ayant une influence déterminante sur le déroulement de la chose. Le joueur est plongé dans le chaos.
Malgré tout, Drakengard a une ambiance, un caractère, une originalité. On ne peut s'empêcher de s'accrocher à cette bande de détraqués baladés dans un scénario trop grand pour eux, nettoyant des champs de bataille entiers à grands coups d'épée. Oui, le jeu est vide et répétitif, au point d'en devenir abrutissant, et même les phases aériennes, je le répète, donnent régulièrement envie de se tirer une balle (il y a des missions urgentes où on doit se rendre d'un point A à un point B et où le jeu nous spécifie quand même d'exterminer tous les adversaires avant de continuer !). Mais le rythme est hypnotisant, on se trouve perdu dans le mécanisme de la montée en puissance, et on se demande toujours quelles nouvelles atrocités, perpétrées par les personnages ou par l'adversité, nous attendent au détour d'une mission. Les idées sont complètement barrées, au point de faire passer des récits post-modernes comme The End of Evangelion pour des sommets de formalisme et de banalité. Pour citer une critique anglophone :
TheDarkId a écrit:
Des fées explosives, un niveau dédié au massacre d'enfants, des œufs magiques géants, une fillette haute de cinquante mètres, des bombes atomiques, l'apocalypse via des clones maléfiques, un échantillon des paraphilies parmi les moins plaisantes, la Pas-Europe. Et tout cela n'est que l'extrémité apparente de l'iceberg.
Le jeu est aussi un parangon d'ambiance obscure, ténébreuse, sans espoir. Pour démontrer mathématiquement et par l'exemple, il y a cinq fins, et la première que l'on peut obtenir, la conclusion canonique, celle qui compte un seul survivant parmi nos héros (Verdelet ne comptant pas vraiment) et idem parmi les méchants (l'antagoniste principal), est aussi la plus optimiste. Toutes les autres s'achèvent par l'apocalypse et impliquent l'élimination de tous les protagonistes. Et ce ne sont pas des trépas paisibles et rapides, oh que non...
Spoiler! :
Cliquez ici pour voir un bel exemple de l'atmosphère du jeu, plusieurs des personnages dévorés par les Grotesqueries, les véritables ennemis. Oui, les Grotesqueries sont bien des bébés géants aux ailes électriques. Ils naissent par millions, enfantés par une grotesque déité blafarde au ventre boursouflé.
Ce petit aperçu ne serait pas complet si je n'évoquais pas l'ambiance musicale. Très expérimentale, elle navigue entre les habituels thèmes grandioses et épiques, des reprises barrées de musiques classiques et enfin des accompagnements complètement portnawak. Très en phase avec l'atmosphère de l'œuvre, elle complète idéalement la fusion mécanismes de jeu débilitants/scénario décadent/narration fracassée.
Ah, et la conception graphique des personnages ! Très japonaise, et donc naturellement absurde sur le plan pratique - en gros, les personnages ne sont équipés que de quelques pièces d'armures à la forme dangereuse, fixées en dépit du bon sens, leurs armes sont impossibles à manier (l'épée d'Arioch est un cas d'école), et le style vestimentaire général est composite, disparate, avec des éléments ultra-modernes et d'autres totalement médiévaux, bref, la fête du slip -, elle n'en est pas moins harmonieuse et magnifique. Les costumes sont beaux à voir, avec des couleurs originales et étrangement en phase avec le jeu (l'omniprésence du bleu sombre et du vert radioactif), et le trait du dessinateur principal est prodigieux. Si vous voulez vous régaler...
Ah, et la relation Caim/Angélus ! Il y aurait beaucoup à dire dessus, c'est l'une des plus émouvantes et des plus vivantes liaisons homme-dragon qu'on ait pu voir, c'est meilleur que du Anne Mc Caffrey, et sans aucun doute à des lieues d'Eragon, par exemple.
Cette image paraît toujours mignonne à ceux qui ignorent sa signification.
Bref, Drakengard, un jeu vidéo incontournable, on ne voit pas souvent des choses de ce calibre, de ce caractère. C'est un peu l'équivalent vidéoludique de la boisson cactus, des champignons hallucinogènes ou du poisson fugu (celui qui est mortel s'il est mal cuisiné). Une curiosité, à essayer dans la douleur et la longueur, ou à découvrir de loin, si vous n'aimez pas souffrir (mais un jeu vidéo est moins marquant lorsqu'on n'y joue pas soi-même).
Deux liens utiles :
Let's Play Drakengard ! par Dark Id Une soluce/chronique/critique au vitriol du premier Drakengard. Déjà responsable de la démolition des Resident Evil (qui ne l'avaient pas volé) ou encore de Clock Tower 3 (idem), Dark Id étudie en profondeur ce jeu pas comme les autres. Il n'a apparemment pas aimé l'expérience, mais l'a trouvée "intéressante". Beaucoup de bonnes vannes, de surlignage au stabilo vert des incohérences de jeu ou de scénario, et une explication de la manière exacte dont on doit obtenir les versets alternatifs et les 65 armes (nécessaires à la fin ultime), le tout livré avec une myriade de captures d'écrans, de vidéos, de musiques et de dessins préparatoires. Pour tout savoir sur Drakengard sans jamais y jouer. C'est un peu la Série Abrégée du premier épisode.
Drakengard, le site francophone Un ensemble de pages très détaillées sur les deux épisodes de la série. Ne vous fiez pas à l'adresse Drakengard2.free.fr, primo, le site est plutôt pro et facile à naviguer, secundo, il porte équitablement sur chacun des volets. La rubrique consacrée à l'explication de la mythologie offre quelques informations et théories valables, et explicite diverses références (pas toutes, cependant).
Inscription : 30 Avr 2004, 22:07 Message(s) : 569 Localisation : Paris XVIII
Puisque Raphy a jugé bon de pratiquer la nécromancie sur ce topic, j'en profite pour signaler que NieR est une suite de la cinquième fin de Drakengard 1.
_________________ "De tous ceux qui n'ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent."
- Coluche
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