Voila, je me suis enfin regardé cette série, depuis le temps qu'elle m'attendait.
3 série d'OAV de 6 épisode d'après ce que j'ai pu en comprendre.
J'ai regardé les 13 épisodes disponible jusqu'à maintenant.
"Sayonara Zetsubou Sensei" ("Adieu professeur désespoir") est un bel exemple délirant de pensée latéral dans de l'humour noir, mais je pense qu'il fait parti du genre qui était difficilement adaptable du manga vers l'anime avec ses zones écrite à répétitions qui oblige à avoir constamment la mains sur le bouton pause et je ne parle pas du côté invasif de beaucoup de Fansub, rien que la vitesse de d'allocution très rapide et théâtrale des personnages nécessite parfois des pauses, et l'abondance de message écrit - et pourtant intéressant - l'oblige, et un fois qu'on y est ont regarde les autres inscriptions.
Cet animé est un OVNI comme je n'en avais jamais vu avant, et en 12 épisodes (à quant l'arrivée des autres saisons ?) vous obtenez un nombre grandiose de réflexion avec une façon de faire avancer les chose très originales.
Le ton est mis dès le départ avec un professeur
dépressifqui est absolument négatif sur tout, et qui finit par impliquer tous les autre personnages dans un coup de gueule cynique a la société actuelle (surtout japonaise).
Beaucoup d'animé on toujours utilisé des liens logiques pour justifier tel ou tel présence, amener tel ou tel personne au bon endroit au bon moment, mais cette série agit différemment et se passe littéralement de chercher cette crédibilité au nom de l'humour. Les personnages complètement cinglé introduit et présenté de façon tout aussi cinglée représente chacune des visions du monde (je pense que le remplacement de leurs visage par des icônes dans l'opening et certains scènes en sont des allégories, ou alors c'est juste pour exploser les neurones).
Premier épisode, première minute.Côté graphique c'est très agréable dans l'ensemble avec beaucoup de style graphique, mais quelquefois déconcertant on voit que ce n'est pas le point principal mais beaucoup de passages valent vraiment le coup d'Å“il. J'ai même envi d'aller a "contre-courant" et voir des extraits du manga d'origine (les zones écrites doit être facile a lire).
La surabondance de passage écrit et le public très japonais qu'il vise sont les points faible de cette série.
Ces 3 images font toujours parties du 1er épisode.Suivant la nouvelle génération d'anime qui s'adresse à un public familier avec les clichées habituel, la série ne se prive pas de faire régulièrement du fan-service assumé allant parfois jusqu'à l'humour noire.
Ceci par exemple, est la "scène de bains" la moins morale imaginable..
De manière générale la série brise toutes les règles sociales que vous pouvez imaginer (C'est une histoire sur un professeur qui aspire au suicide dans un premier temps), et tous les
openings me laisse
perplexe.
(J'aime beaucoup la chanson du
3me Ending)
Ha oui ! Il y a beaucoup de référence aussi, la plupart
sautent aux yeux mais pour d'autre il m'a fallu un arrêt pour y croire et quant on repense aux épisodes plus tard (je pense me faire 4 revisionnage au moins) ont se rend compte qu'il ne fait parfois pas que parodier des genres mais les dépasses.
Je pense entre autre à la partie "Détective" qui offre en accéléré : détournement, inversion et reconstruction de ce que l'on verrai dans un film classique de fin d'après-midi.
Là ou "La mélancolie d'Haruhi Suzumiya" réinvente la notion de genre, SZS est inclassable.
Là ou "Le quartier Marchant Magique d'Abenobashi" parcours avec humours les styles graphiques et les clichées, SZS parcours avec humour les façons de voir le monde et ses aprioris.
Là ou FLCL fait une démonstration d'Animation Gainax, SZS fait une démonstration de pensée latérale.
Là ou une série normale active la "suspension de crédulité temporaire", SZS la désactive tous le long.
Là ou un gars inspiré aurait trouvé mieux comme comparaison, je ne trouve pas mieux pour d'écrire la série par rapport a d'autre OVNI.
Tous les commentaires sont les bienvenus, cette série est bien trop difficile à traité avec un seul point de vue.
Phrase clés : "J'ai failli mourir !"Au premier épisode, il n'y a qu'une seule personne qui sorte du lot, par la suite une seule n'en sortira pas.Un casting très conséquent, et surtout composé de beaucoup de fille, notez que beaucoup d'autre personnes secondaire n'apparaisse pas ici.