Eltanin

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 Sujet du message: Re: Dragon Ball : le film
MessagePublié: 03 Sep 2008, 23:55 
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Il est les ténèbres
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Localisation : Grenoble
En priorité au Japon je dirais... ensuite là  où DB a marché, je pense...

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Il est facile de distinguer les jours où je suis de bonne humeur de ceux où je suis de mauvaise humeur : les premiers, je me définis comme obscurantiste et professe que l'Humanité a désespérément besoin d'être ramenée au niveau technologique d'il y a trois siècles ; les autres, je me définis comme nihiliste et professe que le meilleur avenir auquel l'Humanité puisse aspirer, c'est une extinction sans douleur.


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 Sujet du message: Re: Dragon Ball : le film
MessagePublié: 03 Sep 2008, 23:58 
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Le Chevalier Servant des Citrouilles
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Inscription : 06 Juil 2004, 15:59
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Alors, il sort en avant première au japon (début mars) et le mois d'après sortie mondiale.

A noter qu'en france, Justin Chatwin (Goku) sera doublé par le doubleur de Oub et Sangohan dans DBGT.

par contre, j'ai regardé surtout toute les image et il y a un sale filtre jaune sur tout les images, Piccolo est surement beaucoup moins jaune en réalité (surement vert pale).

D'ailleurs, Marsters avait dit dans un interview qui son maquillage était vert, et il avait l'air avec Chatwin l'acteur le plus motivé sur le film (c'est lui qui a demandé que le scénar soit modifié pour que Piccolo soit d'abord vieux).

A noter que le réalisateur s'est aussi plaint de contrainte imposé par la Fox.

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Vitriol m'a prété son coutela, je ne lui ait pas rendu, bref, le coutela de Vitriol est à  moi!!!


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 Sujet du message: Re: Dragon Ball : le film
MessagePublié: 04 Sep 2008, 05:53 
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Pamplemousse Panchromatique
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Inscription : 28 Avr 2004, 01:00
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Zohar De Malkchour a écrit:
A la suite du précédent post, je me pose une question... Ce film... il sera diffusé où en fait ? Car y a un truc pas clair : si les américains ne connaissent pas le manga, c'est le bide assuré normalement pour une sortie aux USA.


Mais les États-Unis connaissent Dragon Ball ! Tout comme ils connaissent Saint Seiya. Ils ont reçu ces séries avec dix ans de retard par rapport à  la France - et c'est peut-être une chance pour ces braves Amerloques, ils auront eu le temps de découvrir de vraies références de japanim', ça leur aura épargné de s'imaginer, comme pas mal de spectateurs français, que Les Chevaliers du Zodiaque est une Å“uvre culte et fondatrice - mais ils les connaissent à  présent.

Pour donner une idée du succès de Dragon Ball en Amérique du Nord, qu'on se rappelle juste qu'une bouse vidéoludique ultime telle que Dragon Ball Final Bout (que votre serviteur a chez lui, trônant fièrement aux côtés de Guardian of Darkness et d'Iron & Blood... Là , vous situez l'horreur ?), bref, une adaptation aussi honteuse et abominable, a été en tête de l'Argus des jeux vidéos pendant de très longues années.
Aux U.S.A., cette chose valait de l'or ! Et pourquoi ? Pas parce que c'était rare ou estimé, non, non. Parce que c'était Dragon Ball.

Qu'on se souvienne aussi que pour le marché américain, certains jeux vidéos tels que Dragon Quest VIII, n'ayant de commun avec Dragon Ball que le coup de crayon de Toriyama, se sont vus modifier histoire qu'on y voie des pseudos-Saiyens, et on aura une idée de l'ampleur du phénomène là -bas.

Ah, et sinon, tout le monde a cité les Borgs, mais quand même :

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 Sujet du message: Re: Dragon Ball : le film
MessagePublié: 04 Sep 2008, 11:07 
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Maître Van Eltanhir
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Inscription : 18 Mai 2004, 11:58
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Ah oui... N'étant pas un fan de Bouffie, je n'ai pas fait la rapprochement mais maintenant que tu nous le mets sous les yeux... :xd:

Effectivement, comme le souligne Raphaël, Dragon Ball marche trrrrès bien au USA. C'est d'ailleurs grâce à  eux que la France connait aujourd'hui un certain regain d'intérêts auprès des jeunes générations pour cette série (qui sont très étonnées lorsqu'elles apprennent que nous connaissont mieux le dessin animé qu'elles). Car la plupart des jeux vidéos, après avoir été validé et avoir marché aux USA sont arrivé en Europe (Dragon Ball Z Budokai, pour n'en citer qu'un). Ensuite sont arrivé les produits dérivés mainstream, comme en ce moment les figurines de Editions Atlas ou les espèces de pogs débiles estampillés DBZ, que les gamins se jettent à  la gueule.

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Dernière édition par Noe le 04 Sep 2008, 14:07, édité 3 fois.

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 Sujet du message: Re: Dragon Ball : le film
MessagePublié: 04 Sep 2008, 12:55 
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Otoko no michi
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Inscription : 01 Juil 2004, 20:13
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Localisation : Paris
Mon dieu, les figurines Atlas, je les avaient oublié jusqu'à  ce que tu en reparles.
Elles sont d'une laideur affligeante. Surtout le Vegeta qu'on voit dans la pub.

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Ceci n'est pas une signature...


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 Sujet du message: Re: Dragon Ball : le film
MessagePublié: 04 Sep 2008, 14:01 
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Maître Van Eltanhir
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Inscription : 18 Mai 2004, 11:58
Message(s) : 309
Localisation : Rennes
Elles ne sont pas plus moches que la plupart des contrefaçons chinoises qu'on trouve en convention ou chez Konci, elles sont surtout très chères pour ce que c'est. Ceci dit, je leur conçois que leur figurine collector du petit robot Toriyama sur son nuage est originale et bien pensée. J'attendrais de la trouver sur ebay à  un prix raisonnable.


Bref, revenons au film :sournois: !

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 Sujet du message: Re: Dragon Ball : le film
MessagePublié: 10 Sep 2008, 01:41 
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Premiers pas
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Inscription : 10 Sep 2008, 00:27
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Hello monde!
Bon, j'arrive un peu comme un cheveu sur la soupe, je saute la case de la présentation et j'arrive directement pour le plat principal, mais un forum est fait pour discuter, donc je me dis que vous saurez lire (ou ne pas lire) mon avis pour ce qu'il est, sans faire cas de ma cavalierie. Si ce terme existe, ce qui n'est pas sûr. Mettons qu'il existe, mon dictionnaire est sous une pile de livres que je n'ai pas envie de soulever.

Je me permets de revenir quelques messages en arrière, à  ce passage écrit par Kraken:
kraken a écrit:
les images sont pas mal, je trouve, on ça fait plus penser à  un film d'aventure qu'à  un film d'action, et Dragonball, c'est de l'aventure avant tout.
Piccolo, lui, fait bien démoniaque (il semble certes pas très vert, mais ça vient peut être de la luminosité de la pièce, très jaune).
Sinon dans les critères que tu cite pour un bon scénario, il manque sur dragonball la capacité à  se renouveler, et aussi l'évolution des personnages (assez très lente voire inexistante à  partir de freezer), tout les arcs du scénario se ressemblent et sont ultra prévisibles (j'arrivais à  prévoir le scénario tout environ 1 tome à  l'avance).
Dragonball a un très bon univers très riche et cohérent, certes, mais une histoire minable (et un humour gamin pour completé ça)
Tu as cité les tintin, mais les tintins sont bouuré de rebondissement et l'intrigue est dur à  prévoir et ça se renouvelle comme tu le dit, resultat, c'est excellent.

Bon, je vais pinailler et faire un foin autour de rien, mais c'est là  une bonne partie de l'intérêt des discussions autour d'oeuvres, non?

Tout d'abord, Kraken - je me permets de m'adresser directement à  toi puisque ce que je vais dire là  tout de suite maintenant ne concerne que toi -, c'est quoi le truc? T'as des actions à  la Fox, ou un truc comme ça? C'est tellement dingue que c'est sincèrement drôle, à  chaque photo plus pourrie que la précédente qui filtre du film, tu es un peu plus sûr de la qualité de la chose qui nous attend. Surtout, le plus drôle, c'est que tu ne sembles même pas sûr de la qualité du film, mais de celle de l'adaptation! Je ne fais cela dit que m'étonner, je ne suis pas d'humeur à  démonter ce film ce soir, je pense que la pellicule le fera très bien toute seule le moment venu...

En fait, je suis d'humeur à  défendre Dragon Ball le manga contre les critiques que tu lui opposes; simplement parce que Dragon Ball est pour moi une oeuvre majeure du vingtième siècle, et que je dis ça sans que ce soit une simple fantaisie culturelle. De par son fond et son impact, je pense que Dragon Ball a plus influencé notre génération dans son ensemble que la plupart des grandes oeuvres littéraires du siècle.
C'est d'ailleurs cet impact majeur (et, je pense, indéniable: je ne sais pas en quelle année tu es né, moi je suis de 1984, et je peux t'assurer qu'au collège, c'était la folie furieuse, et ce dans tous les milieux socio-culturels) qui me fait douter du bien-fondé d'une partie de tes arguments contre Dragon Ball.

Encore une fois, j'ignore ton âge, mais même si, comme moi, tu as suivi Dragon Ball alors qu'il était encore en pleine publication, tu devais, comme nous tous, avoir une réception en plusieurs temps de cette saga.
Tout d'abord, la rumeur, partout, dans les "cardass" qui circulaient dans la cour de récré, dans les pages des Dorothée Magazines, dans les bouches des mecs de la 5ème2 ou de la classe de monsieur Rano qui juraient avoir vu la gueule du nouveau méchant et que "oui mon vieux, juré, Songoku se transforme en SS3 dans quatre épisodes". Cette rumeur était partout, tellement le phénomène était important en France à  partir de l'arc Cell, et fait, à  mon sens, partie intégrante de l'entité "Dragon Ball", même si pas de l'oeuvre elle-même.
Ensuite, pour les chanceux, il y avait le manga japonais, que personne ne comprenait, mais qui permettait de voir à  l'avance certains détails.
Ensuite, il y avait le dessin-animé le mercredi matin à  10H20, forme fortement viciée de l'histoire originelle, mais gros du phénomène en France.
Enfin, seulement en quatrième temps, il y avait le manga traduit (car sauf si tu es Japonais ou si tu avais à  l'époque déjà  une vingtaine d'années, je doute que tu aies pu saisir tous les dialogues dans la version japonaise).

Ceci posé, je vais partir de deux présupposés différents pour démonter la valeur du fait que "tu pouvais prévoir le scénario un tome en avance":
1) tu suivais Dragon Ball à  l'époque de sa publication. Auquel cas, je suis prêt à  parier ma main que tu rentrais dans le cadre des différents temps de réception dont je parle plus haut. Donc le fait que tu pouvais prévoir l'histoire à  l'avance n'avait rien d'étonnant: c'était notre cas à  tous. Gotenks était connu des fans bien avant la publication du volume 40, je ne parle même pas de Songoku SS3, et je me rappelle même que nous connaissions les Cell Juniors et Dabra en avance grâce aux jeux de la Super Nintendo. Il n'y avait aucunement matière à  la surprise, pour personne, et pourtant, nous étions tous devant l'écran (avec un temps de différé et un magnétoscope, car nous avions SVT et histoire-géo, le mercredi matin!), et nous faisions de Dragon Ball le premier ultra-succès commercial en France d'un manga. L'intérêt de l'histoire de Dragon Ball n'était pas la surprise, je crois, mais c'est un autre sujet, restons collés à  mon argumentaire pour le moment.
Dans ce présupposé, tu conviendras que le fait que "tu pouvais tout prévoir un tome en avance" n'a aucune valeur, puisque tu ne prévoyais en fait rien: tu savais.
2) pour une raison X ou Y (ton âge, ou le fait que tu vivais dans une grotte coupée du monde en 94-95), tu as découvert Dragon Ball après sa publication (le présupposé selon lequel tu l'as découvert avant n'existe pas, à  moins que ta mère s'appelle Bulma et que ton mentor ait perdu un bras puis la vie contre des cyborgs vicieux). Dans ce cas de figure, je pense toujours que ton argument n'est pas valable. En France, Dragon Ball a influencé durablement et en profondeur nos manières d'envisager les histoires d'imaginaire populaire, et plus précisement les mangas, et même si par solitude extrême tu n'as été mis au courant d'aucun détail de l'intrigue avant de le lire dans le manga, je suis persuadé (là  pour le coup c'est une certitude, pas une constatation) que ton inconscient avait déjà  emmagasiné la tournure propre à  Dragon Ball. Tu fréquentes ici un forum qui, s'il se veut généraliste, est cependant assez orienté imaginaire, jeux vidéo et animation japonaise. Je pense que tu n'es pas là  par hasard. Or, une bonne partie de l'imaginaire japonais contemporain doit quelque chose à  Dragon Ball, qui devait déjà  pas mal à  d'anciennes légendes internationales (je ne fais pas ici référence au Roi des singes, référence initiale de Dragon Ball, bien vite oubliée, mais plutôt aux idées diffuses des Chevaliers de la Table Ronde, ou de la mythologie nordique). Je pense donc, dans ce présupposé, que le fait que tu "prévoyais l'intrigue à  l'avance" ne signifiait en fait qu'une chose: que la dite intrigue était en fait déjà  autour de toi avant ta lecture, imprégnant d'autres de tes lectures, d'autres oeuvres que tu as parcourues.

Voilà  pour le premier argument. Mais comme je risque de ne pas passer souvent sur Eltanin, je compte bien remplir ce message, donc ce n'est pas fini!
Tu reproches à  Dragon Ball son incapacité à  se renouveller, le côté téléphoné de son intrigue. Là  encore, je pense que cette critique ne peut avoir de sens que mise dans un certain cadre de lecture.
En tant que série étalée sur dix ans, Dragon Ball peut en effet donner l'air de se répéter, de jouer en boucle le même film en se contentant de changer légèrement le casting.
Sauf qu'aujourd'hui, Dragon Ball est terminé, et que si son mode de perception initiale aura forcément toujours une certaine importance dans son analyse sérieuse (je pourrais développer son rôle de symptôme d'une émancipation des cités de banlieue parisienne, par exemple, si ça intéresse quelqu'un), il convient d'analyser son contenu propre comme un bloc terminé, une oeuvre bouclée.
Et là , putain, j'envie à  mort un mec qui va se lire toute la série d'une traite pour la première fois!
RIEN ne se répète, dans le manga, lorsqu'il est pris en tant que bloc, rien n'est téléphoné! Il n'y a en fait que peu d'arcs: Songoku découvre le monde, le Ruban Rouge, Piccolo, Végéta, Freezer, Cell et Boo. Sept arcs, tous en fait très spécifiques.
Je ne vais pas faire le candide: l'accusation de répétition, d'incapacité au renouvellement, cible en fait seulement les quatre derniers arcs, la partie "Z" de la série. Considérons un instant la série comme une histoire en un bloc, ce qu'elle est en fait.
Végéta est une confrontation courte, plus une introduction de personnage qu'autre chose, à  l'échelle de la série. C'est également le premier pas indispensable à  la thématique la plus passionnante de tout Dragon Ball: l'opposition Végéta-Songoku, que j'adorerais développer également, mais ici n'est pas le sujet.
Ensuite, Freezer. Une histoire de totalitarisme fasciste dont l'arc permet tout d'abord de donner des origines à  la plupart des personnages (Nameks et Sayans, surtout), de transformer Songoku en super-sayan, et d'aborder la puissance sous l'angle de la souffrance (les gains de puissance sont faits dans cet arc en approchant de la mort, rappelez-vous).
Cell: une histoire de refus du fatalisme, que ce soit dans l'histoire post-apocalyptique de Trunks ou dans le refus de Végéta de se contenter de la deuxième place. Une histoire de fatalisme, aussi, avec Songohan qui accompli son destin et devient ce qu'il devait être depuis le début: le vrai numéro un. La puissance est ici abordée sous l'angle de l'inné, contrairement à  Songoku qui n'est qu'acquis. Il y a également dans cet arc une réfléxion rapide sur le sacrifice (que Songoku aborde avec bien plus de sérénité que dans l'arc Freezer) et sur l'acceptation de sa nature (Songohan et Cell, qui se désintéresse de sa mission et de sa nature pour ne plus vouloir grand-chose; il est l'ennemi le plus humain de Dragon Ball, le plus désespéré, finalement; il ne veut rien).
Boo: pour moi un chef-d'oeuvre, à  la fois conclusion de tous les arcs et retour à  certaines sources. Le dernier Boo, le petit, est l'antithèse de Songoku, qui dit d'ailleurs cette phrase: "Tu es incroyable... Te battre seul aussi courageusement... Dans ta prochaine vie, sois réincarné en quelqu'un de bien... J'aimerais me battre seul à  seul contre toi... je m'entraînerai d'avantage et je t'attendrai...". L'arc Boo est à  la fois une auto-critique de Toriyama, qui pousse au ridicule (SS3 et fusion) la course à  la puissance que ses éditeurs lui ont exigée, et un pied de nez glorieux à  ce qu'on attendait de lui: les sources ne sont jamais oubliées, et la fin se fait sans fusion, sans SS3. Ces épouvantails commerciaux ne sont agités que quelques chapitres chacun, et c'est finalement un Songoku presque originel qui achève un autre Songoku originel, même si en négatif. Deux personnes qui se battent contre elles-mêmes, chacune incarnant la limite de l'autre. Songoku gagne parce qu'il n'est pas seul, et Boo aurait pu gagner parce qu'il était seul, justement.

Prise comme un bloc uni, la série me semble ne jamais se répéter (aucun affrontement important ne suit le même schéma), et être très fidèle à  elle-même dans sa narration. Songoku est le fil rouge, la droiture et la persévérance les thèmes majeurs, et les histoires s'enchaînent les unes aux autres sans jamais être complètement indépendantes. Et puis merde, pour ce qui est de l'effet de surprise... Bordel, j'envie tellement les gosses qui découvrent complètement Dragon Ball... La deuxième mort de Végéta est tellement belle qu'on a toutes les raisons de la croire finale. La série peut être terminée deux fois. le Songoku divinisé qui arrive sur Namek est tellement grandiose dans ce qu'il représente qu'on a toutes les raisons de croire à  la fin de l'histoire. Aucun coup de coude complice n'abouti (ni Songohan, ni Trunks, ni Songoten ne deviennent les personnages principaux).
Et même lorsqu'en effet, soyons lucide, la série n'est pas au top de la surprise, l'intérêt reste, le propos ne dévie pas d'un poil, les personnages restent des maîtres à  penser qui s'ignorent. Je le disais plus haut: même en connaissant les trente épisodes à  venir, on était tous devant la télé le mercredi. Pourquoi? Parce que la simplicité, la pureté de cette histoire dépassait l'histoire elle-même. Dragon Ball, c'est un grand mythe, une histoire qui aurait pu être un livre religieux. Une fresque avec des héros et des monstres, et un écho à  une société alors en plein bouleversement. Dragon Ball est le manga qui, je pense, a eu le plus d'impact dans les cités. Et il représente un héros humble, anonyme, qui se fout de tout sauf de rester droit et de se dépasser. L'un des messages de Dragon Ball est "n'abandonne jamais. Reste loyal à  tes idéaux et n'abandonne jamais". Je ne suis pas étonné que les cités aient aidé à  l'ascension de Songoku au panthéon des personnages de fiction du vingtième siècle.

Enfin, ta dernière critique, sur la non-évolution des personnages... Pfff, quelques simples exemples: Songohan qui devient effectivement le numéro un lors de l'arc Cell, et qui n'arrive pas à  apprécier, puis qui redevient le numéro un et arrive à  apprécier lors de l'arc Boo. Songoku qui perd de sa pureté lorsqu'on comprend en même temps que lui qu'il a été un mauvais père. Végéta qui fini par se sacrifier pour les autres, puis à  accepter d'être le numéro deux.
Par exemples.

Ha, et pour l'humour gamin, ça fait, je pense, partie de la force mythologique des personnages. Ils sont "bons", à  l'exception de Végéta et de Piccolo au début, aucun ne doute jamais, ne fait jamais un pas vers l'autre côté. L'histoire ne fait que très rarement cas de leur quotidien, ne nous les présente la plupart du temps qu'en période d'entraînement ou de combat. Dans cette configuration, l'humour dont ils font preuve renforce leur "innocence", souligne la droiture de leurs vies, toutes entières tournées vers le combat contre soi-même. Songoku et sa bande sont des moines combattants, qui ne vivent que pour se dépasser, s'accomplir, s'améliorer. Sans l'humour léger, symbole à  mon sens de leurs quotidiens non-racontés, de leurs liens les uns aux autres, de leurs amitiés, ils perdraient je pense de leur innocence, et donc de leur force.
Et au passage, je rappelle quand même que l'humour est loin d'être omniprésent, et n'entache jamais des scènes comme la deuxième mort de Végéta, ou le tabassage de Cell par Songohan. La série est d'une violence extrême qu'on a tendance à  oublier, et d'une abnégation dans l'entraînement qui n'a rien de drôle, et tout de philosophique. Et puis les puissances physiques dont il est question dans Dragon Ball n'ont quasiment jamais été surpassées dans une autre d'imaginaire non-créationniste (à  l'exception de Tengen Toppa Gurren Lagann, je n'en vois même aucune), et cette escalade de force n'a rien de drôle non plus, même si le grotesque assumé de l'arc Boo en fait quelque chose d'ambigu...

Bon, voilà , un bon gros pavé en guise de premier message, j'espère que ça n'a pas été indigeste... Kraken, ne prend pas ma véhémence personnellement, j'écris sur un forum public, le message s'adresse donc à  tous.

Merci aux deux trois personnes qui seront venues à  bout de ma diarrhée verbale.


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 Sujet du message: Re: Dragon Ball : le film
MessagePublié: 10 Sep 2008, 16:39 
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Le Chevalier Servant des Citrouilles
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Inscription : 06 Juil 2004, 15:59
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Je crois que j'ai arreté de lire le message à :

"De par son fond et son impact, je pense que Dragon Ball a plus influencé notre génération dans son ensemble que la plupart des grandes oeuvres littéraires du siècle." Dois-je être affligé ou rire?

Comment prendre un message au sérieux après ça, non seulement, c'est loin d'être un chef d'Å“uvre du manga (c'est un shonen de base). Mais en plus, seul quelqu'un ayant très peu de culture littéraire peut trouve qu'il a un très bon scénario non répétitif (en dehors de saint seiya, tout les grand shonen ont un scénario largement meilleurs).

Dragonball a influencé mon enfance, mais il n'est pas le seul, les autres séries du club Dorothée m'ont autant marqué voir plus (Saint seiya), le cinema, les disney, les comics (principalement les Xmen) aussi, les BD francophone et pas mal de roman aussi.

Mais ma vie ne se limite pas à  mon enfance, j'ai depuis découvert d'autre chose et j'ai relu dragonball et c'est en grandissant que je me suit rendu compte des énorme défauts de l'oeuvre, des defauts que je ne voyait pas dans mon esprit d'enfant.

Il y a un humour pathétique, parfait pour les gamins mais qui nuit au sérieux pendant la première partie de l'oeuvre. C'est donc un très bon divertissement sans profondeur.
Et à  partir du mariage de Sangoku, il n'y a plus cet humour, malheureusement, le scénario ne s'améliore pas pour autant car on tombe dans la surenchère de puissance, des résurrections à  gogo et un scénario très très simple et des arc qui se répètent, on se demande même pourquoi le manga s'appelle Dragonball.

Dragonball n'est donc rien de plus qu'un très bon divertissement, on peux donc le comparer à  un film hollywoodiens jouant à  fond soit sur l'humour basique (pour la partie dragonball) ou bien sur des combat fabuleux bourré d'effet spéciaux

En plus, si je défend ce film, c'est pour une raison toute simple, je le voit comme une adaptation et une adaptation n'a pas besoin d'être fidèle pour être bonne. les film Xmen sont excellents et pourtant niveau fidélité, c'est très mauvais. Alors que les 4 fantastiques sont assez fidèle et pas géniaux.

Et puis, oui, en dehors de Tortue géniale, les personnages me plaisent comment ils sont rendu.

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Vitriol m'a prété son coutela, je ne lui ait pas rendu, bref, le coutela de Vitriol est à  moi!!!


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 Sujet du message: Re: Dragon Ball : le film
MessagePublié: 10 Sep 2008, 18:33 
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Inscription : 10 Sep 2008, 00:27
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kraken a écrit:
Je crois que j'ai arreté de lire le message à :
"De par son fond et son impact, je pense que Dragon Ball a plus influencé notre génération dans son ensemble que la plupart des grandes oeuvres littéraires du siècle." Dois-je être affligé ou rire?
Comment prendre un message au sérieux après ça, non seulement, c'est loin d'être un chef d'Å“uvre du manga (c'est un shonen de base). Mais en plus, seul quelqu'un ayant très peu de culture littéraire peut trouve qu'il a un très bon scénario non répétitif (en dehors de saint seiya, tout les grand shonen ont un scénario largement meilleurs).

Je ne réponds qu'à  ça, le reste, j'y ai déjà  répondu dans mon premier message (mais je comprends parfaitement qu'on vienne sur un forum pour ne pas lire les messages, hein...).

Déjà , je n'ai pas dit que Dragon Ball était un "chef-d'oeuvre du manga". D'ailleurs, je parle finalement peu de manga dans mon message, mais peu t'importe, je pense. Je ne suis même pas sûr de savoir exactement ce qu'est un shonen, pour te dire...
Ce que j'ai dit (et ça fait partie de la phrase que tu as lu avant d'être las), c'est que Dragon Ball avait été une influence culturelle que je pense être majeure pour notre (ma?) génération.
Génération qui n'a pas, dans son ensemble, énormément de culture littéraire, d'ailleurs.
Tu me parles des "autres grands shonens"... Sauf que des "autres grands shonens", ça n'existe que pour les mecs qui s'y connaissent en mangas. Pour le gros du public, celui des mecs de vingt-cinq/trente ans qui ne sont pas du tout des spécialistes mais des gens lambdas, Dragon Ball n'est pas un "shonen", ils ne connaissent même pas le mot. Pourtant, ils connaissent tous les noms de tous les personnages de la saga.
L'impact d'une oeuvre, l'influence qu'elle a, n'est pas directement liée à  sa qualité, ou à  son innovation. Dragon Ball est une histoire très simple, très directe, presque mythologique, et la forme et le message qu'elle supporte étaient en adéquation parfaite avec l'époque à  laquelle elle était publiée. Le reste, "grands shonens" et autres, c'est des salades.

Mon erreur était peut-être d'écrire un message parlant d'une vue d'ensemble sur un forum dont les habitués sont assez spécialisés, et ce au sujet d'une oeuvre qui est à  cheval sur les deux plans... En fait non, ce n'était pas une erreur, ce serait insultant pour les quelques personnes qui ont lu mon message. Ca voudrait dire qu'elles sont incapables d'avoir une vue d'ensemble sur un sujet qui pourrait être regardé à  travers la loupe du spécialiste. Or, je ne pense bien évidemment pas ça des habitués de ce forum.
Pas même de toi, Kraken. J'ai raison, n'est-ce pas? :wink:


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 Sujet du message: Re: Dragon Ball : le film
MessagePublié: 10 Sep 2008, 19:07 
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Inscription : 06 Juil 2004, 15:59
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Mouais, si Dragonball a eu une incidence culturelle sur une génération, ça n'a été que pendant une période courte de la vie de cette génération (les 8/15 ans environ). La plupart de ceux qui l'on connu sont maintenant passé à  autre chose.

Hors des oeuvre ayant eu une incidence culturelle peuvent être plutôt mauvaise voir carrement naze, en france, la génération de 8-12 ans jure par Titeuf et les 10-16 ans par Naruto, hors ce sont loin d'être des chef d'oeuvre (Et encore Naruto est largement meilleurs que Dragonball niveau scénario).

Toute personne ayant 16 ans ou plus préférera une autre oeuvre à  dragonball.

Pour moi, une oeuvre qui a eu un vrai impact culturelle doit toucher une plus grande tranche d'age (le seigneur des anneaux, Harry Potter, les roman d'Agatha Christie)

C'est ça que je veux dire, Dragonball reste avant tout une BD pour enfants basé en plus sur l'action et l'humour très basique. C'est d'ailleurs pour ça aussi que je suis plutôt tolérant avec le film, ce serait une erreur d'attendre un grand film tiré de dragonball. Dragonball est un manga pour enfant moyen avec un mauvais scénar qui a profité d'un phenomène culturel. dur de faire un bon film avec ça, au mieux on peu faire un film sympatique.
Sans compter qu'il y a de nombreuse chose du manga que je n'ai pas envie de voir en film car ce qui passe en dessin, ça passerait pas en film (certaines tenues de persos, les monstres mignons, un humain sans nez, un humour qui n'aurait pas sa place avec des acteurs en chair et en os et certains code de couleurs sacrement de mauvais gout).

Et de plus, il ne faut pas s'attendre à  un film très mature vu que c'est tiré d'un manga pour enfant/ado.

Dans les quelques passages que j'ai lu de ton message (tu devrais apprendre à  un peu aérer tes post) tu défends notamment son scénario, et c'est justement sur ce point que le manga est le plus faible. Même à  l'époque du club dorothée, je trouvais que Dragonball avait un mauvais scénario.

Un autre truc que j'ai lu, c'est que tu te demandait comme je faisait pour prédire un tome à  l'avance à  une époque où on avait pas les tomes, on va dire dans ce cas que je prévoyait ce qu'il allait se passer 4,5 épisode à  l'avance, j'ai utilisé le mot tome, car c'était plus facile pour se repérer.

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Vitriol m'a prété son coutela, je ne lui ait pas rendu, bref, le coutela de Vitriol est à  moi!!!


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 Sujet du message: Re: Dragon Ball : le film
MessagePublié: 10 Sep 2008, 22:54 
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Maître Van Eltanhir
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Pour moi, une oeuvre qui a eu un vrai impact culturelle doit toucher une plus grande tranche d'age (le seigneur des anneaux, Harry Potter, les roman d'Agatha Christie)


C'est pourtant le cas de Dragon Ball... Cette série a touché toutes les tranches d'âges au Japon ou elle est devenue un phénomène littéraire et continue sur sa lancée en Europe puis aux Etats-Unis. Aujourd'hui, Dragon Ball est la première vente de manga en France (et je ne parle que de la France, il faudrait compter le nombre d'éditions qu'à  connu cette BD à  travers le monde). En multipliant par le nombre de volumes de la série, elle doit facilement rivaliser avec Harry Potter. C'est indéniable, Dragon Ball EST une Å“uvre majeure du 9ème art. Et je ne dis pas ça parce que c'est la bande-dessinée qui m'a le plus influencé et continue de le faire dans ma vie d'auteur de BD... Seulement, il faut savoir ouvrir les yeux, autant sur la qualité de la série, comme sur celle de sa future adaptation cinématographique. :mrgreen:


Bref, je trouve assez étrange cette fascination maladive que tu cultives pour le futur film alors que tu rabaisses autant la série d'origine.

Citer:
Dragonball est un manga pour enfant moyen avec un mauvais scénar qui a profité d'un phenomène culturel


Comment peux-tu donc expliquer qu'encore aujourd'hui les gosses en parlent dans les cours de récré, de façon toute aussi passionnée qu'il y a bientôt 20 ans ? La seule différence avec les années 90, c'est que maintenant ils peuvent en parler avec leurs instits et les animateurs, qui s'y connaissent aussi bien qu'eux pour la plupart. C'est donc bien plus qu'une simple "BD pour enfant moyenne avec un mauvais scénar qui a profité d'un phénomène culturel", non ? :awe:

Enfin, t'es toujours un amoureux aveugle de Love Hina ?

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 Sujet du message: Re: Dragon Ball : le film
MessagePublié: 11 Sep 2008, 03:23 
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The Metal
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Noë a écrit:
Enfin, t'es toujours un amoureux aveugle de Love Hina ?


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Même si pour ma part, je ne crierais pas aussi vite au navet. Pour ma part, je n'y connais rien en Dragonball, mais vraiment rien. Autant les chevaliers du zodiaque, je maîtrise, autant celui-là  non. Et le film m'a l'air pour l'instant pas si si si mauvais. Tout au pire aura t-on sans doute un navet rigolo, mais j'aime bien ce que les photos ont eues à  proposer et je compte le voir si jamais il sort au cinéma. Certes, si j'avais connu vraiment DB, j'aurais peut-être crier au meurtre, mais j'ai envie de les laisser tenter le coup.

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 Sujet du message: Re: Dragon Ball : le film
MessagePublié: 11 Sep 2008, 11:11 
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Maître Van Eltanhir
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Pour ma part je ne reproche à  personne de vouloir laisser sa chance à  ce film ! Bien au contraire, chacun est libre de penser ce qu'il veut, fort heureusement (même si on est sur Eltanin :awe: ). Je déplore juste l'attitude de Kraken, et surtout les arguments qu'il invoque pour tenter de discréditer de façon catégorique une Å“uvre artistique comme Dragon Ball, dont les qualités comme les défauts ne sont, je pense, plus à  prouver. ^^

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 Sujet du message: Re: Dragon Ball : le film
MessagePublié: 11 Sep 2008, 12:25 
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Le Chevalier Servant des Citrouilles
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Inscription : 06 Juil 2004, 15:59
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Au, je ne dis pas que dragonball n'a pas de qualité, je critique surtout la faiblesse du scénario (surtout sur la partie Z, Dragonball normal, ça allait encore), certains design de mauvais gout et un humour franchement gamin.

Le manga a aussi d'énormes qualités, un univers riche et original, un style graphique terriblement maitrisé, un humour qui bien que gamin est très bon pour cet tranche d'âge et des combats excellents (surement ce qu'il se fait de mieux en manga sur ce point.), j'ai déjà  invoqué ces qualité à  maintes reprises

mais soyons franc, imaginons que quelqu'un découvre dragonball à  environ 25 ans? Combien de chance a t'il d'aimer? Très peu.

Ceux de la génération club Dorothée l'aime par nostalgie et après, il faut aller dans les 10/15 ans qui l'ont découvert grace aux jeu sur PS2 (mais la plupart préféreront des oeuvre plus récente comme Naruto qui proposent la même chose que dragonball avec un meilleurs scénario).

Quelqu'un de 40 ans ou plus ne s'interessera pas à  Dragonball.

phenomène Dragonball est un phenomène cours de récré, exactement le même genre que celui de Pokemon.

Ce que je veux juste rapeller, c'est que dragonball est paru dans un magazine visant les 12/16 ans. Et c'est bien connu, les film/Roman/BD visant cette tranche d'age sont rarement des chef d'oeuvre, ce sont des oeuvres sympatiques et facile à  lire.

Je tiens aussi à  préciser que Dragonball est un de mes manga favori (je dirais dans les 5 premiers) mais je sais voir ses défauts.

Pour répondre pour Love hina, Love hina est aussi dans mes manga favori (juste après Dragonball) et j'ai autant d'argument contre lui que contre dragonball.

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 Sujet du message: Re: Dragon Ball : le film
MessagePublié: 11 Sep 2008, 13:53 
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Maître Van Eltanhir
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Inscription : 18 Mai 2004, 11:58
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Si tu pouvais arrêter de balancer tes arguments bancals de façon aussi radicale et absolue, ça sera pas mal ! :uke:

Citer:
Au, je ne dis pas que dragonball n'a pas de qualité, je critique surtout la faiblesse du scénario (surtout sur la partie Z, Dragonball normal, ça allait encore), certains design de mauvais gout et un humour franchement gamin.


Aie au moins la décence de préciser que c'est TON avis uniquement. Car je pars du principe que lorsque tu auras fait aussi bien, voire mieux que Toriyama, tu pourras te permettre d'être aussi catégorique. Pas avant. :wink:

Citer:
Ceux de la génération club Dorothée l'aime par nostalgie et après, il faut aller dans les 10/15 ans qui l'ont découvert grace aux jeu sur PS2 (mais la plupart préféreront des oeuvre plus récente comme Naruto qui proposent la même chose que dragonball avec un meilleurs scénario).


Une fois de plus je ne suis pas d'accord avec toi. Pour ma part, j'aime Dragon Ball non pas par nostalgie, mais bel et bien pour sa qualité d'Å“uvre unique, efficace et pionnière en la matière. Nombreux sont ceux qui suivaient la série chez Dorothée, mais moi je l'ai découvert que tardivement et principalement en manga. Quant à  la série, je la survole en VOst et "pour faire mon original", je ne supporte pas la VF. :sournois:

Quant aux enfants fans de Dragon Ball, ceux que je côtoie tous les jours l'ont connu à  5/6 ans. Ils connaissent la série par cÅ“ur et on l'intelligence de ne pas la comparer automatiquement avec Naruto. Ils l'ont découvert sur la TNT, Internet, à  la bibliothèque ou dans les étagères de leurs aînés. Selon mon expérience, les jeux vidéos ne viennent qu'après.

Mais je ne comprends pas non plus pourquoi tu veux absolument cataloguer Dragon Ball pour une tranche d'âge unique. Si toi en grandissant tu es passé à  autre chose, tant mieux pour toi ! Mais laisse les autres l'apprécier à  sa juste valeur, cracher sur le film qui en toute logique va être une merde, sans venir nous emmerder avec tes déblatérations inutiles qui se contredisent d'un message à  l'autre. :x2d:

Citer:
Quelqu'un de 40 ans ou plus ne s'interessera pas à  Dragonball.


Sur quoi tu te bases pour affirmer ça ?

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