Eltanin

non, gratuité n'esty pas un gros mot .... sauf quand il sert à  cacher un échange marchand ... ou une dépendance

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Smouales étaient les borogoves

Mais apparemment, pour Relent d'Eau Odieuse de Vache, c'est un gros mot. Un peu comme "égalité" pour un aristocrate du XVIIIème siècle, quoi.

EDIT : tiens, d'ailleurs, de Vabres. C'est p'têt ben une particule, ça.
Je connais un Robespierre qui n'a pas bien fait son boulot.

Merci pour ce message constructif.
Si tu tiens absolument à  terminer le boulot de Robespierre, commence donc par moi...

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Is it can be hugs tiem now plees?

D'accord. D'ailleurs, je devais déjà  te torturer, alors...

Je remarque juste que dans ce gouvernement, il y a pas mal de gens qui ont une particule. Ce n'est pas une tare en soi, mais eux auraient tendane à  le revendiquer. Et encore il y a peu, le baron Seillières sévissait dans le roy... euh, la république. C'est à  vous donner envie de vous mettre un bonnet phrygien sur la tête.

Ah ça ira ça ira ça ira,
Les aristocrat's à  la lanterne !
Ah ça ira ça ira ça ira,
Les aristocrat's on les pendra !

Il y a encore des gens pour employer ce genre d'horreurs...
Décidément, la révolution n'a servi à  rien.

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Is it can be hugs tiem now plees?

Notons, cependant, qu'en toute rigueur "aristocrate" n'est pas synonime de "noble", et que le sens premier d'aristocrate est celui de "partisan de l'aristocratie".

précisions:

- la particule ne veut rien dire. Les membres des plus anciennes familles nobles de france mettent même un point d'honneur a faire sauter ladite particule (histoire de monter qu'ils sont "au-dessus" des autres nobles. Arf!)

- le cas particulier du "Baron" selliéres est a hurler de rire: Il est devenu noble par mariage (les savonettes a vilains existent toujour les enfants! XD) et que depuis il met son titre, aussi ronflant que vide de sens, bien en avant XD

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Une lame qui glisse silencieusement hors du fourreau, une gorge ouverte sans un cri, un corps qui glisse sans bruit au sol.

Voila une agréable soirée en perspective...

Ca n'est pas surprenant de la part d'Ernest... Et je pense que la plupart des membres du gouvernement, s'ils se trouvaient dans une situation pareille au Baron, feraient de même. Sauf peut-être quelques exceptions.

Tout ce manège me donne l'impression de voir la cour de Louis XIV...

Mais, Tovarich, si les aristocrates sont des partisans de l'aristocratie, comme tu le dis, ils ont tout de même énormément à  voir avec la noblesse (s'ils n'y sont pas déjà  rentré). Je me trompe ?

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Nouveau compte d'Erwan Linvorge, pour les non-informés, c'est à  dire tout le monde.

Vanités des vanités, tout est vanités.

Le plus vaniteux est le grand père de M Giscard qui a ajouté à  Giscard le nom d' Estaing sur lequel il n' avait aucun droit !

A moins que ce ne soit le petit fils qui revendique une descendance imaginaire d' une demoiselle d' estaing qui a eu l' honneur de recevoir les hommages nocturnes de sa majesté Louis XV.

Aristocratie : le mot vient du grec et signifie le gouvernement des meilleurs, en fait désignant si mon souvenir est exact, les grandes familles athéniennes, formant une des factions politiques fournissant tyrans et autres hommes politiques.

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Smouales étaient les borogoves

Aristocratie désigne effectivement, à  l'origine une forme de gouvenement, et l'éthymologie que tu en fais est exact Morgan. Mais ce n'est pas en rapport avec la tyrannie.

L'aristocratie grecque se rapproche d'avantage de notre défunte IVe République : l'organisation en factions (les familles latifundiaires dans les cités grecques, les partis à  l'époque moderne) réunissant autant que possible de partisans non pour des raisons idéologiques mais très pragmatiques (acquérir du pouvoir et/ou s'assurer un toit et de la nourriture en vendant sa voix) : le phénomène du clientélisme.

Les factions passant leur temps à  s'opposer, s'allier et se trahir pour essayer de faire avancer leurs causes respectives, leurs efforts mutuels se neutralisent ; il en résulte un beau bordel en apparence, avec des changements incessants des figures officielles, mais en pratique la vraie autorité reste préservée entre les mains des meneurs des factions - les personnes véritablement importantes, bien plus que les titulaires des charges gouvernementales. C'est exactement ce que souhaitent les aristocrates : la stagnation du pouvoir entre leurs mains.

Les aristocrates s'opposent donc férocement aux autocrates (les tyrans) - sauf bien sûr la faction à  laquelle appartient le tyran - et à  tous les efforts faits pour donner un réel pouvoir aux instances publiques (ce que firent les réformes de Clisthène à  Athènes). Car l'aristocratie est, comme je viens de l'expliquer, une accaparation du pouvoir publique par des personnes privées (les chefs des factions) qui l'exercent hors de tout contrôle institutionnelle.

Ce qui fait le lien avec la noblesse de l'Ancien Régime, qui à  l'origine (c.à .d. quelques générations plus tôt) s'était constituée ainsi : des individus profitant de l'affaiblissement d'une autorité publique centrale durant le Haut Moyen Age pour s'en approprier les prérogatives.
Et l'histoire se reproduisit avec les rois de France qui passèrent leur temps à  recréer une puissance publique autour de leur personne et de leur famille. "L'Etat c'est moi" de Louis XIV n'est pas une rodomontade, c'est le résumé de la vision politique royale : la personne du roi se confond avec sa charge, et celles-ci relèvent du domaine publique. Le roi est l'incarnation de l'autorité publique, de l'Etat donc. Cette vision est la même que celle qu'avait De Gaulle avec la charge de président, et qui est aujourd'hui un des fondements de la Ve République - encore une fois l'histoire s'est répétée, le régime des partis de la IVe République, aristocratique dans les faits, ayant été brisé par la reconstruction d'une autorité publique forte.

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Il est facile de distinguer les jours où je suis de bonne humeur de ceux où je suis de mauvaise humeur : les premiers, je me définis comme obscurantiste et professe que l'Humanité a désespérément besoin d'être ramenée au niveau technologique d'il y a trois siècles ; les autres, je me définis comme nihiliste et professe que le meilleur avenir auquel l'Humanité puisse aspirer, c'est une extinction sans douleur.

Voici les suites de l'affaire. Les débats doivent bientôt reprendre, et beaucoup de changement en perspective.
Je vous laisse constater par vous même de ce qui nous attend.

L'Atelier

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بريس
ᄇ리ᄊ에
Βρικε
בּריסס
βɾɨçɛ
บริซซเ
Брице

Les logiciels P2P restent dans le collimateur, et pas seulement eux !

http://www.liberation.fr/page.php?Article=379162

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Smouales étaient les borogoves

Etrange. Il me semblait avoir déja évoqué que les blogs, eux-aussi étaient dans le colimateur de RDDV. Peut-être était-ce dans une autre section du forum. Certainement même.

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Alors, les "dernières nouvelles" sur cette bonne vieille loi DADVSI, l'ennemie de toute culture et de toute liberté...




Le premier décret d'application de la loi DADVSI vient de tomber ! Il est encore tout frais ! Tout comme les premiers débats et votes, on s'en souvient, avaient été orchestrés pendant les fêtes, en catimini, ce décret a été confirmé le 23 décembre 2006 et publié dès le 30. Il ne faudrait pas que quelqu'un ait le temps de s'insurger, ou même la tête à  ça...
Joyeux Noël et bonne année !


(Source, Atelier.fr.)



Le ministre de la culture, Renaud Donnedieu de Vabres, aurait reconnu publiquement avoir été lié aux majors, puisqu'il se serait plaint de leur trahison. On peut imaginer, par exemple, qu'il a signé de son sang un pacte des plus impies.



Une saisine des socialistes, supposée mettre des bâtons dans les roues des vélléités liberticides, a eu pour conséquence finale de durcir et de flouter encore davantage la loi.
Voir à  ce sujet les articles du 10 et du 28 juillet 2006 sur le site News.fr.



Ici, un très bon article de Lawrence Lassig, j'en retiens avant tout cette phrase :




Et ailleurs :

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Soutien et réserves de l'empire américain sur la loi DADVSI.

http://www.pcinpact.com/actu/news/33491 ... decret.htm

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