Eltanin

J'ai vu, verdict : XDDD.

Non, vraiment, ce film procure une sensation durable d'euphorie, complètement déjanté, sans queue ni tête, plein de rebondissements tous plus improbables et grosbillesques les uns que les autres. Bref, ce film DOIT être vu !

Note : 42, of course...

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Is it can be hugs tiem now plees?

Je pensais qu'il sortait mercredi prochain ! Ce midi en me levant, je me suis dis "tiens j'vais descendre à  Caen" et en voyant l'affiche d'H2G2 sur le cinéma mes yeux ébahis et mon cerveau n'a fait quu'n tour: go !

Alors bon, comment dire, ce film je l'ai attendu avec excitation durant deux mois, j'ai tout fait pour le promouvoir, j'ai cherché le livre partout (et évidemment ma fnac n'en a reçu qu'aujourd'hui ê_ê ) et là ...et là ..

Je n'ai pas été deçu, le film est drôle, hilarant même (particulièrement le début, avec les dauphins, j'ai mis 30s à  rire comme un bossu pendant que mes voisins, qui faisaient pareil, faisaient pareil ) et se permet de ne pas souffrir d'une seule longueur. On ne s'ennuie pas, le film est intéressant juste au bout, la galerie de personnages est formidable (mes préférences vont à  Eddie et à  Marvin, les deux robots du film ) et caricaturale u point qu'on se marre toujours.
Bon l'amour entre les deux persos est assez miévre et n'apporte, je trouve pas grand chose, mais enfin ...

Rah puis les références, les blagues "intellos", le style très Monthy Python... en gros j'adore.

Je pense que j'irais même pousser l'indécence à  aller le revoir tellement je suis fan.

[spoiler] Par contre je doute que les souris nous supplantent intellectuellemnt è__é ! * prépare une demi-milliard de tapettes * [/spoiler]

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Néant Vert, le premier site sans slogan.

Je n'ai pas aimé ce film. L'humour est lourd, enfin il est spécial (humour anglais ... pourtant j'aime bien les monthy Phyton...) et les scènes ne sont pas très fluides.
Les bonnes idées sont aussi nombreuses que les mauvaises, celles qui cassent le rythme et qui sont ennuyeuses.
Enfin bof, je m'attendais à  mieux, la bande-annonce est dix fois plus drôle.

[spoiler]
Le guide intergalactique est parfois marrant mais vraiment lourd le reste du temps...
La scène d'intro avec la chanson des dauphins est délirante XD mais trop longue. Ford fait bien l'homme venu d'ailleurs, mais son délire avec les serviettes va trop loin... "Je contrôle la situation! J'ai une serviette !" et les Govon fuient ... O_O Ces extraterrestres-là  sont délirants ... mais le meilleur personnage reste bien évidemment Marvin
Je trouve la création du monde exceptionnelle belle... ce qui n'est pas le cas de l'histoire d'amour infligée. Bof[/spoiler]

Donc voilà , un avis fort mitigé.

Grand fan des bouquins et très alléché par la bande annonce, je ne pouvais laisser passer ce film non plus. Bilan : tout comme Saucisson, très mitigé. On retrouve en trame de fond toute la débilité de Douglas Adams, le casting n'est pas trop mal choisi (Marvin est effectivement plutôt bon), mais un humour déglingué n'a jamais fait un bon film à  lui tout seul.
L'intrigue s'étale un peu paresseusement, sans que l'on sache trop où l'on va, d'où pas mal de longueur, j'ai trouvé. Des scènes où l'on ne sait pas trop ce que le scénariste cherchait à  montrer. D'autre part, les explications du guide du routard, pour aussi savoureuses qu'elles soient, ne sont pas particulièrement bien réparties, j'ai trouvé.
Reste un univers fantastiques, les trouvailles de Douglas Adams (le propulseur à  improbabilité, les Vogons, et l'apparition savoureuse de Malkovitch), mais ce film prouve parfaitement qu'une adaptation doit être confiée à  quelqu'un de très très sûr de lui, sous peine de faire une sorte de truc mou mou.

Ah si, mention spéciale à  la chanson : "So long so long and thank you for the fish !"

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There is no room for '2' in the world of 1's and 0's, no place for 'mayhap' in a house of trues and falses,
and no 'green with envy' in a black and white world.

Pour comprendre le trip de la serviette faut lire le livre :

[spoiler]
" Le guide du voyageur galactique a son mot à  dire au sujet des serviettes :
La serviette, nous apprend-il, est sans doute l'objet le plus vastement utile que puisse posséder le voyageur interstellaire. D'abord, par son aspect pratique: vous pouvez vous draper dedans pour traverser les lunes glaciales de Jaglan Bêta ; vous pouvez vous allonger dessus pour bronzer sur les sables marbrés de ces plages irisées de Santraginus V ou l'on respire d'entêtans embruns ; vous pouvez vous glisser dessous, pour dormir sous les étoiles, si rouges, qui embrasent le monde désert de Kakrafoon; vous en servir pour créer un mini-radeau sur les eaux lourdes et lentes du fleuve Mite; une fois mouillée, l'utiliser en combat à  mains nues ; vous encapuchonner la tête avec afin de vous protéger des vapeurs toxiques ou bien pour éviter le regard du hanneton glouton de tron (un animal d'une atterante stupidité : il est persuadé que si vous ne le voyez pas, il ne vous voit pas non plus - con comme un balai mais très, très, très glouton) ; en cas d'urgence, vous pouvez agiter votre serviette pour faire des signaux de détresse, et, bien entendu, vous pouvez toujours vous essuyer avec si elle vous paraît encore assez propre.
Plus important, la serviette revêt une considérable valeur psychologique: si, pour quelque raison,un rampant[/i] (rampant : non-voyageur) découvre qu'un voyageur a sur lui une serviette, il en déduira illico que ce dernier possède également brosse à  dents, gant de toilette, savonnette, boîte de biscuits, gourde, boussole, carte, pelote de ficelle, crème à  moustiques, imperméable, scaphandre spatial, etc. Mieux encore le rampant sera même heureux de prêter alors au voyageur l'un ou l'autre des susdits articles (voire une douzaine d'autres) que ledit voyageur aurait accidentellement pu "oublier" ; son raisonnement étant que tout homme ainsi capable de silloner de long en large la Galaxie en vivant à  la dure, de zoner en affrontant de terribles épreuves et de s'en tirer sans avoir perdu sa serviette ne peut être assurément qu'un homme digne d'estime.
D'ou cette phrase, désormais passée dans l'argot du voyage : Eh t'as coincé ce padard de Ford Perfect ? Voilà  un ponton qu'a pas perdu sa serviette ! (coincer: percevoir / connaître / rencontrer / avoir des rapports sexuels avec // padard : mec vraiment chié // poton : mec vraiment superchié ) [/spoiler]

Sinon je viens d'entamner le livre et je peux dire que je trouve ça encore plus drole.

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Même avis (complètement), surtout sur les longueurs.

Une merde, en deux mots.

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