Tu as raison de dire que les hommes politiques simplifient les données et proposent des solutions simples en faisant croire qu'elles sont infaillibles.
Tu as raison de dire que les individus sont sous informés, hommes politiques ou simples citoyens, .........
Le débat dans un autre topic sur l' endettement de la France le trou d ela sécu etc constitue un exemple évident.S' informer demande un effort et les bases nécessaires pour trier l' info.
Un de sproblèmes, du point de vue de scitoyens, est qu' ils fonctionnent sur els principes de sympathie et de confiance légitime. L' électeur sent que les données sont complexes et il a tendance à faire confiance à l' homme politique proche de leurs idées tenant un discours auquel ils adhèrent a priori parce qu' il corrrespond à leurs préjugés et à leur vécu immédiat.
On peut ajouter que l' électorat n' a pas de mémoire ou a une mémoire partielle et biaisée.
Les jeunes électeurs en contituent un exemple évident. Je me souviens d' une jeune électrice voulant voter Chirac en 1995 parce qu' il faisait campagne sur le thème, je suis un homme nouveau, proche des jeunes et voulant réduire la fracture sociale. Quand on lui a expliqué le passé de Chirac à l' époque, elle en nous a pas cru ce en quopi elel avait raison, elle s' est renseignée et n' a aps voté pour lui.
Ceci dit, autre exemple, en 1974, une personne âgée choisisant de voter Giscard parce qu' il lui rappelle Poincaré !
Il est vrai que les médias n' informent pas, mentent, trichent etc .... Là encore, faire le tri est loin d' être facile.
Dire que la télé et l' essentiel de la presse sont aux mains de grands groupes financiers aux idées bien arrêtées sur beaucoup de sujets est un truisme ......
Maintenant :
Citer:
Mais ce sentiment ne touche maintenant pas seulement les extrèmes ont à pu le voir lors du referendum pour le NON où presque personne n'a voté en connaissance de cause(en gros ceux qui ont voté oui faisaient confiance aux politiques et ceux qui votait non pensais encore à un complot des élites).
est en large partie inexact.
Les partisans du non de gauche ont réalisé un travail d' analyse et d' explication très important, avec des erreurs et des omissions, certes mais réel.
Fabius pour lequel j' ai une estime mitigée y a laissé sa carrière politique ou tout du moins le peu qui restait.
Personellement, j' ai lu le traité, je l' ai analysé et je me suis décidé après avoir accompli ce travail et en avoir discuté avec des amis.
Dans mon entourage amical et professionnel, les discussions ont été passionées mais avec le texte en main et des gens ont changé d'avis dans un sens ou dans l' autre.
Il est vrai que la peur de l' avenir a joué un rôle dans le vote pour le non mais elle n' a pas constitué le seul facteur et l' évolution des opinions contre presque toute la classe médiato-politique est significative.