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Toi tu dois pas avoir beaucoup d'amis communistes

Bande d'enfoirés... Le droit d'auteur commence de plus en plus à miner notre quotidien car le problème est qu'il n'est utile que quand on est auteur (ouais, j'avoue, j'étais super content d'utiliser mon droit d'auteur pour faire virer une fanfic à moi d'un site qui l'avait copiée sans mon autorisation) et qu'il ne sert juste qu'a faire chier la majorité des français, c'est à dire ceux qui sont non-auteurs.

Là , on en arrive dans un abus qui est inacepttable.

Mort à la SACEM >O< !

En pleine polémique autour de l'adoption de la DADVSI (cf plus bas), la SACEM a publié son bilan 2005. Ce sont 757,4 miyons d'euros qui ont été perçus, ce qui devrait quand même faire quelques heureux puisque 627,10 ont été reversés. Certes, il en reste une bonne poignée, mais au prix de la Ferrari aujourd'hui, faut bien vivre.

La part de la rémunération pour copie privée se monte à 52 miyons d'euros, prélevée sur les ventes de media vierges audio et vidéo (CD, DVD).

Pour justifier le maintien de cette taxe malgré l'adoption du DADVSI et l'interdiction de contourner les DRM, la SACEM argue que "les sources de copie privée sont innombrables et restent disponibles pendant des décennies. Il existe des milliards de supports (CD, DVD, fichiers numériquesâ€¦) sur lesquels il nâ€™y a pas de mesures techniques, des services en ligne qui permettent la copie privée, une diffusion dâ€™Å“uvres à la radio et à la télévision, etc. ".

En gros, vous pouvez toujours prier Saint Couillon pour que cette taxe soit remise en cause. Car de plus, la SACEM estime que sa suppression n'améliorerait en rien le développement de la vente de musique en ligne, pas plus que le marché de l'informatique / médias vierges / baladeurs multimédias.

Et de conclure "il apparaît tout à fait normal que la vente de supports de reproduction, qui nâ€™existerait pas à un niveau comparable sans la copie privée des Å“uvres, donne lieu à une rémunération des Auteurs. La protection efficace du droit dâ€™auteur implique donc le maintien de la rémunération pour copie privée, ce qui nâ€™empêche évidemment pas dâ€™adapter son montant en fonction des pratiques de copie constatées sur le marché, ce qui est déjà le cas en France".

Le droit d'auteur est l'une des choses fondamentales qui a mis des siècles avant d'être obtenue (comme l'apparition de lois un tant soit peu raisonnables, une pseudo-égalité entre les hommes ou encore l'abolition de la peine de mort dans certains pays) et il est même effroyable qu'il n'ait été établi qu'à l'orée du XVIIIème siècle et "universalisé" qu'en 1886 !

Aujourd'hui, une logique de pillage artistique globale s'est établie. En gros, de nombreux systèmes de lois se foutent que le moindre quidam repompe jusqu'au trognon des concepts, des structures narratives, des visuels qui ne lui appartiennent pas. Citons le scandale Marc Maggiori.

J'assemble chaque matin des pièces de ma vie
Je rassemble des sourires à montrer aux gens
Pour paraitre bien aimable
Parce qu'au fond je boite, la tête dans une boite
Ca me crève les yeux, empétré, trop anxieux
Alors je lèche mes larmes, rien ne sèche le drame
Quand les autres m'alignent
Quand les autres s'acharnent
De long en large, ma vie en marge
Faudrait que je calque mes pas sur mes voisins de palier
Avec ma vision du monde décalé
Mais y'a rien pour classer ma passion, mon métier.
Je rentre pas dans les cases
Je rentrerais jamais dans votre cage.
Et alors ?
C'est ma vie c'est mon puzzle
je suis souvent soumis à des tonnes d'a priori
Je me répands des fois de trop moi
VOULOIR MONTRER QUE J'ABOIE
Plus fort que toi, mais j'ai les paumes qui tremblent
Et l'inconnu je l'appréhende
Cherchant souvent mes yeux d'enfants
De vieux tourments
Sement le doute font que parfois je mense
Et que même je triche alors sur mes mains je crache
Je mords mes lèvres
J'en bave ma sève
Je pleure mon venin
De ne savoir rien
Coupé par mille larmes je me sens laid
Mais c'est comme ça qu'on m'a fait
Je ne suis pas quelqu'un de sage
j'entrerais jamais dans leur cage
Il n'en tient qu'à moi seul
Lancez moi des pierres à mille contre un seul
Ma vanité me sert, elle me protège de vos sales gueules
Pense comme tu le sens, moi je ne sens plus rien
Je vous tourne le dos, je suis déjà loin
J'entrerais jamais dans cette cage.

Auteur:	Cimetiere [ 17 Juil 2006, 16:33 ]
Sujet du message:	SACEM 1 - Ecole 0
L'école doit payer des droits pour une chanson La directrice et les enfants pendant la fête du 17 juin. DR À la fête de fin d'année, des élèves de l'école de Peillac (Morbihan) ont chanté Adieu monsieur le professeur. La Sacem leur réclame 75 â‚¬. Le spectacle de fin d'année a eu lieu, samedi 17 juin, en fin de matinée, à la salle polyvalente de Peillac, près de Redon. Les enfants de l'école publique Â« La marelle Â» sont montés sur scène pour chanter, danser, conter et jouer devant leurs parents. L'événement a son importance. Et cette année, plus encore, avec le départ de trois enseignantes. Â« Les enfants avaient prévu une surprise, raconte la directrice, Solenn Boussicaud. Je leur ai donné le micro à la fin du spectacle et ils ont commencé à chanter Adieu monsieur le professeur, d'Hugues Aufray, en hommage à leurs maîtresses. Â» Fin juin, la directrice reçoit un coup de fil de l'antenne lorientaise de la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique). Â« On m'a demandé l'adresse exacte de l'école. J'ai voulu en savoir plus. Elle m'a dit que c'était à propos de cette chanson. Â» Un courrier est arrivé lundi dernier. L'enveloppe comprenait une note de débit de 75 â‚¬, ainsi qu'un courrier : Â« Vous avez utilisé des oeuvres du répertoire de la Sacem sans avoir demandé à notre société l'autorisation préalable, formalité obligatoire prévue par le code de la propriété intellectuelle. Â» Et l'utilisation de ce répertoire est considérée comme un délit de contrefaçon. Solenn Boussicaud est abasourdie. Faute de paiement, conclut la Sacem, une procédure judiciaire sera intentée. Â« Notre rôle est d'autoriser la diffusion et de percevoir des rémunérations pour le compte des auteurs. Les écoles le savent. Elles reçoivent des formulaires en début d'année Â», commente Éric Bourson, responsable de la Sacem dans le Grand Ouest. C'est en épluchant la presse locale que la Sacem a relevé Â« la faute Â». Â« L'école n'a pas fait de déclaration préalable. Nous appliquons donc le forfait minimum d'un spectacle d'enfants avec sono, c'est-à -dire 75 â‚¬ pour utilisation de mélodie musicale. Â» Même tarif quand le spectacle est gratuit et réservé aux parents ? Â« Oui Â», répond la Sacem. La cour d'appel de Bordeaux avait rendu une décision en ce sens en 1993 estimant Â« qu'une représentation d'une oeuvre au Noël des enfants est soumise au droit d'auteur Â», rappelle Me Lamon, spécialiste en droit de la propriété intellectuelle. L'avocat rennais défend l'idée que l'État devrait donner un budget Â« droits d'auteur Â» aux écoles pour la musique et les photocopies d'ouvrages. L'école a expédié une lettre de réclamation, mardi. La directrice y détaille que cette matinée n'avait aucun but lucratif et que les enfants ont juste chantonné une partie d'Adieu... Elle espère être entendue. Nathalie FLOCHLAY. Ouest-France du jeudi 13 juillet 2006

Auteur:	Morgan Kane [ 17 Juil 2006, 16:43 ]
Sujet du message:
Le marché est il totalitaire ? Vous me ferez une dissertation pour demain matin. Autrte exemple : un bistrot autorise un guitariste de passage à chanter une ou deux chansons pour ses clients. S' il entre sur la aprtie terasse ou dans la salle, la SACEM a droit à son dû. Je crois qu' il existe de stolérances pour les extraits de moins de 30 secondes. Une solution, écrire à H. Auffray ? En principe cela ne marchera pas.

Auteur:	Amo [ 17 Juil 2006, 17:16 ]
Sujet du message:
Bande d'enfoirés... Le droit d'auteur commence de plus en plus à miner notre quotidien car le problème est qu'il n'est utile que quand on est auteur (ouais, j'avoue, j'étais super content d'utiliser mon droit d'auteur pour faire virer une fanfic à moi d'un site qui l'avait copiée sans mon autorisation) et qu'il ne sert juste qu'a faire chier la majorité des français, c'est à dire ceux qui sont non-auteurs. Là , on en arrive dans un abus qui est inacepttable. Mort à la SACEM >O< !

Auteur:	Jamic [ 24 Juil 2006, 12:18 ]
Sujet du message:
Aux dernières nouvelles, c'est Hugues Aufray qui paiera l'amende.

Auteur:	cap.peter [ 24 Juil 2006, 19:37 ]
Sujet du message:
Nous ne sommes propriétaires de rien sur cette bonne vieille Terre, aussi bien matériellement que spirituellement... Tout ce que à quoi nous pensons ne nous est pas entièrement propre, mais appartient en partie à ce qui nous entoure, etc. La SACEM n'est qu'un cafard qui tente en vain de faire survivre une idéologie malsaine, renchérit par notre notre fonctionnement actuel de la société : - consomme et tais-toi. - dieu te divertit, alors arrête de penser par toi-même. - ne sois pas différent, confonds-toi avec ce grand groupe qu'est le monde. J'en aurai presque la gerbe, presque...

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Auteur:	Cimetiere [ 24 Juil 2006, 21:26 ]
Sujet du message:
Toi tu dois pas avoir beaucoup d'amis communistes

Auteur:	cap.peter [ 24 Juil 2006, 21:54 ]
Sujet du message:
Cimetière a écrit: Toi tu dois pas avoir beaucoup d'amis communistes Pas d'amis tout court en fait...

Auteur:	Morgan Kane [ 24 Juil 2006, 21:55 ]
Sujet du message:
Vive l' anarchie ! Les anars rejettent la société de consommation, Dieu et le capital. Par ailleurs, ils affirment la liberté et la responsabilité de l' homme .....

Auteur:	Raphychou [ 25 Juil 2006, 02:03 ]
Sujet du message:
Amo a écrit: Bande d'enfoirés... Le droit d'auteur commence de plus en plus à miner notre quotidien car le problème est qu'il n'est utile que quand on est auteur (ouais, j'avoue, j'étais super content d'utiliser mon droit d'auteur pour faire virer une fanfic à moi d'un site qui l'avait copiée sans mon autorisation) et qu'il ne sert juste qu'a faire chier la majorité des français, c'est à dire ceux qui sont non-auteurs. Là , on en arrive dans un abus qui est inacepttable. Mort à la SACEM >O< ! J'espère que c'est du second degré... Le droit d'auteur est l'une des choses fondamentales qui a mis des siècles avant d'être obtenue (comme l'apparition de lois un tant soit peu raisonnables, une pseudo-égalité entre les hommes ou encore l'abolition de la peine de mort dans certains pays) et il est même effroyable qu'il n'ait été établi qu'à l'orée du XVIIIème siècle et "universalisé" qu'en 1886 ! Aujourd'hui, une logique de pillage artistique globale s'est établie. En gros, de nombreux systèmes de lois se foutent que le moindre quidam repompe jusqu'au trognon des concepts, des structures narratives, des visuels qui ne lui appartiennent pas. Citons le scandale Marc Maggiori. Pire encore, le public lui aussi développe une indifférence à l'égard de la question des droits d'auteurs. La réaction la plus commune d'un cinéphile, d'un lecteur ou d'un joueur qui apprend qu'une oeuvre quelconque, en fait "d'intégration et de synthèse de diverses influences", ne fait que repomper à droite et à gauche sans imagination, est aujourd'hui le haussement d'épaule. C'est un mépris tacite, au final, qui s'installe. La propriété intellectuelle se meurt un peu partout sans qu'on lui accorde un regard. La France est l'un des rares pays où le système des droits d'auteur se rapproche de quelque chose de "juste". Et encore ! Renseigne-toi un peu sur les "preuves légales", les "procédures" et autres billevesées et tu verras que toute cette cabale est loin d'être au point, et surtout à mille lieues de constituer une protection efficace contre le brigandage de tout poil. Je ne parle pas de verrouiller notre monde, artistiquement parlant, de tout déposer, de cloisonner chaque idée. D'autant plus que ce serait comme souhaiter un brevet sur une couleur : les idées, à la base, tout le monde en a, et souvent les mêmes. Nous sommes encore loin d'une détention abusive de la propriété intellectuelle... c'est plutôt l'inverse ! Ne te bats pas pour faire empirer les choses, pitié... c'est déjà suffisamment dur comme ça.

Auteur:	Amo [ 25 Juil 2006, 19:02 ]
Sujet du message:
Vala, quand je serais président, je réformerais tout ça pour un truc plus juste . (... J'ai encore 20 ans pour réfléchir cébon ) * j'ai écris mon post précédent alors que j'étais plutot en colère, je ne suis plus trop d'accord avec moi, si ce n'est que la SACEM, néanmoins, continue à me saouler grave avec cette histoire de 75â‚¬ que je trouve totalement déplacée. Encore deux ou trois bévues comme ça et je perds espoir en la vie. *

Auteur:	Brice [ 25 Juil 2006, 19:44 ]
Sujet du message:
Faites un voyages en Turquie mes amis. Là -bas droits d'auteur et propriété intellectuelle n'existent pas. Pillez à volonté, et personne ne viendra rien vous dire. Vous serez les maitres du monde.

Auteur:	Amo [ 28 Juil 2006, 20:55 ]
Sujet du message:
Citer: En pleine polémique autour de l'adoption de la DADVSI (cf plus bas), la SACEM a publié son bilan 2005. Ce sont 757,4 miyons d'euros qui ont été perçus, ce qui devrait quand même faire quelques heureux puisque 627,10 ont été reversés. Certes, il en reste une bonne poignée, mais au prix de la Ferrari aujourd'hui, faut bien vivre. La part de la rémunération pour copie privée se monte à 52 miyons d'euros, prélevée sur les ventes de media vierges audio et vidéo (CD, DVD). Pour justifier le maintien de cette taxe malgré l'adoption du DADVSI et l'interdiction de contourner les DRM, la SACEM argue que "les sources de copie privée sont innombrables et restent disponibles pendant des décennies. Il existe des milliards de supports (CD, DVD, fichiers numériquesâ€¦) sur lesquels il nâ€™y a pas de mesures techniques, des services en ligne qui permettent la copie privée, une diffusion dâ€™Å“uvres à la radio et à la télévision, etc. ". En gros, vous pouvez toujours prier Saint Couillon pour que cette taxe soit remise en cause. Car de plus, la SACEM estime que sa suppression n'améliorerait en rien le développement de la vente de musique en ligne, pas plus que le marché de l'informatique / médias vierges / baladeurs multimédias. Et de conclure "il apparaît tout à fait normal que la vente de supports de reproduction, qui nâ€™existerait pas à un niveau comparable sans la copie privée des Å“uvres, donne lieu à une rémunération des Auteurs. La protection efficace du droit dâ€™auteur implique donc le maintien de la rémunération pour copie privée, ce qui nâ€™empêche évidemment pas dâ€™adapter son montant en fonction des pratiques de copie constatées sur le marché, ce qui est déjà le cas en France". Bon je vais faire mon connard aigri mais... Là , c'est pas eux qui nous pillent (y'a 100M on se demande bien où ils passent... Combien d'employés la SACEM déjà ?)

Auteur:	Morgan Kane [ 28 Juil 2006, 21:28 ]
Sujet du message:
La nouvelle loi, qui ne prévoit aucune exception même pédagogique, supprime le droit à la copie privée, autorise les producteurs à metre des verrous informatique et rend de fait illégal els logiciels d' échanges P2P, même pour des échanges privés, est un monstre. Le gratuit devient interdit !

Auteur:	cap.peter [ 29 Juil 2006, 12:36 ]
Sujet du message:
Le gratuit n'existe pas réellement, puisque la moindre à un coût, que se soit en matière pour les objets, en temps et énergie pour les pensées, les deux pour la musique (si on utilise des instruments par exemple). La notion de gratuit doit donc se restreindre au coût financier (les pépèttes !), et là , oui, il y a des choses qui sont gratuites, mais on peut les compter sur les doigts de la main, surtout en France, où le principe du "je paye pour être vivant, avoir le droit de travailler, d'avoir une maison, une famille, etc." est ancré depuis des lustres. Nous avons l'illusion de la gratuité pour certaines chose, mais ce n'est qu'un doux rêve (et un cauchmar pour certains !).

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Auteur:	Cimetiere [ 09 Déc 2006, 07:01 ]
Sujet du message:
Raphaël Lafarge a écrit: Le droit d'auteur est l'une des choses fondamentales qui a mis des siècles avant d'être obtenue (comme l'apparition de lois un tant soit peu raisonnables, une pseudo-égalité entre les hommes ou encore l'abolition de la peine de mort dans certains pays) et il est même effroyable qu'il n'ait été établi qu'à l'orée du XVIIIème siècle et "universalisé" qu'en 1886 ! Aujourd'hui, une logique de pillage artistique globale s'est établie. En gros, de nombreux systèmes de lois se foutent que le moindre quidam repompe jusqu'au trognon des concepts, des structures narratives, des visuels qui ne lui appartiennent pas. Citons le scandale Marc Maggiori. Au sujet de cette affaire, l'intéressé aurait répondu, dans le titre "Vanité" extrait du dernier album "Alphabet prison" de son groupe Pleymo, aux accusations de plagiat le concernant : Citer: J'assemble chaque matin des pièces de ma vie Je rassemble des sourires à montrer aux gens Pour paraitre bien aimable Parce qu'au fond je boite, la tête dans une boite Ca me crève les yeux, empétré, trop anxieux Alors je lèche mes larmes, rien ne sèche le drame Quand les autres m'alignent Quand les autres s'acharnent De long en large, ma vie en marge Faudrait que je calque mes pas sur mes voisins de palier Avec ma vision du monde décalé Mais y'a rien pour classer ma passion, mon métier. Je rentre pas dans les cases Je rentrerais jamais dans votre cage. Et alors ? C'est ma vie c'est mon puzzle je suis souvent soumis à des tonnes d'a priori Je me répands des fois de trop moi VOULOIR MONTRER QUE J'ABOIE Plus fort que toi, mais j'ai les paumes qui tremblent Et l'inconnu je l'appréhende Cherchant souvent mes yeux d'enfants De vieux tourments Sement le doute font que parfois je mense Et que même je triche alors sur mes mains je crache Je mords mes lèvres J'en bave ma sève Je pleure mon venin De ne savoir rien Coupé par mille larmes je me sens laid Mais c'est comme ça qu'on m'a fait Je ne suis pas quelqu'un de sage j'entrerais jamais dans leur cage Il n'en tient qu'à moi seul Lancez moi des pierres à mille contre un seul Ma vanité me sert, elle me protège de vos sales gueules Pense comme tu le sens, moi je ne sens plus rien Je vous tourne le dos, je suis déjà loin J'entrerais jamais dans cette cage.