"Ceci n'est pas une porte" est excellent, vraiment.
De nouvelles idées de portes, chopées cet après-midi (un Kanar et un Raphy, ensemble, c'est productif) :
- Il est fermé.
- The door is closed. (à refaire dans toutes les langues possibles.)
- Je sens une présence effrayante derrière cette porte. J'ai trop peur pour ouvrir.
- J'ai pas envie d'ouvrir, na.
- Une force mystérieuse empêche d'ouvrir la porte.
- Un scénario mystérieux empêche d'ouvrir la porte.
- Merde à celui qui lira.
- Cette poignée est trop aiguisée pour pouvoir la tenir !
- Quelqu'un a trouvé amusant de faire de la poignée une éprouvette de nitroglycérine. Pas question d'y toucher.
- Sortir est trop dangereux !
- Cette poignée s'ouvre dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
- La serrure est fermée. Un cÅ“ur gravé. (à refaire avec un trèfle, une étoile, une rose, une épée, un casque, un pique, des pièces de jeu d'échec, des animaux...)
- Cette porte fermée a une serrure de bronze. Je devrais pouvoir trouver la clef correspondante. (à refaire avec divers matériaux)
- Cette porte fermée a des gonds en argent. (à refaire avec divers matériaux)
- Cette porte est constituée de telle manière qu'elle ne peut s'ouvrir.
- Cette porte ne peut être ouverte qu'en la tirant vers soi ; or, au-delà du chambranle, elle est de plus grande taille que l'ouverture elle-même.
- Cette porte est gelée.
- Cette porte est enneigée.
- Cette porte est brûlée.
- Cette porte est poussiéreuse.
- Quelqu'un a craché sur la poignée.
- Cette chaise est éraflée. (à propos d'une porte, hein !)
- Il est mort. (idem)
- Son cœur ne bat plus. (vous connaissez le principe...)
- dlkfjlfd,gf,htg
- J'ignore ce qu'est cet objet.
- Je n'ai pas la compétence requise pour ouvrir cette porte.
- Je n'ai plus besoin d'aller là -bas.
- Pas question d'aller là -bas.
- Pas question de retourner en arrière ! (pour une porte encore inconnue)
- Si j'étais de classe Voleur, je pourrais ouvrir cette porte.
- Je crois être de classe Voleur. Et cette porte semble piégée.
- Cette porte est magique.
- Je n'aime pas ouvrir des portes.
- Moi, j'aime pas les portes.
- Ces commentaires sur les portes impossibles à ouvrir sont d'une lourdeur insensée.
- Vous entendez un bruit au loin. Sans doute le rire des concepteurs du jeu.
- Comme la plupart des constructions humaines, celle-ci est pourvue d'un accessoire très utile : une porte permettant d'entrer et de sortir sans avoir à défoncer une portion du mur. Et cette blague est piquée de "Discworld Noir".
- Le chambranle de cette porte est rectangulaire.
- Cette porte est un panneau d'un mètre sur deux, en pin finement marqueté de bronze selon des motifs héraldiques à l'esthétisme certain. Le tout est d'une épaisseur de cinq centimètres, la poignée a été fondue dans de l'acier inoxydable et la serrure, plus vieille, se présente en fer zingué. Le seuil apparaît tout de bronze. Les gonds sont élégamment peints de manière à se fondre dans la porte. La clef est sûrement d'une magnificence comparable, mais je ne la possède pas et ne la trouverai jamais.
- Dans « Objectivism and the Evolutionary Value of Colour Vision», Don Dedrick suggère qu'une conception raffinée de la valeur adaptative en matière de vision des couleurs conduit à une explication non objectiviste de la couleur. Le raffinement, en l'occurrence, consiste à prendre en considération le rôle que jouent les processus perceptuels internes, contraints par les exigences de l'adaptation, dans la répartition des couleurs selon les catégories familières de rouge, violet, bleu, etc. L'objectivisme, par contraste, est présenté par Dedrick comme la position selon laquelle les catégories de couleur sont proprement déterminées par des facteurs externes à l'esprit - une thèse qu'il attribue à Mohan Matthen. Mon objectif dans cet article est de souligner que les éléments internalistes de l'explication de Dedrick, qui sont rappelés à la section 1, sont parfaitement compatibles avec l'objectivisme chromatique. Cet objectivisme, cependant, n'est pas la thèse que Dedrick entend mettre en cause. Je distingue, dans la section 2, la version critiquée par Dedrick, que j'appelle «l'objectivisme fort», de «l'objectivisme modéré», qui est la thèse selon laquelle la couleur elle-même est indépendante de l'esprit bien que les catégories de couleur soient déterminées par des facteurs internes. La doctrine principale de l'objectivisme même, selon ce que je soutiens, demeure neutre eu égard aux versions fortes ou modérées. Dans la section 3, cette notion centrale d'objectivisme est réconciliée avec une explication de la vision des couleurs qui fait référence à la valeur adaptative en contexte évolutionnaire. Oh, et la porte est fermée.
- Cette porte est en contreplaqué. Bonne chance pour trouver une clef en contreplaqué.
- Cette porte semble vivante.
- C'est une porte en caoutchouc. Je dois trouver la clef en caoutchouc.
- J'ai trouvé la clef en caoutchouc et impossible de la faire tourner. Logique.
- Je possède une multitude de sorts, des munitions pour une myriade d'armes lourdes, beaucoup de lames également. Il est grandement frustrant que ce simple battant soit voué à me résister, de toute éternité.
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