L'Impôt.
Les gens, comme à leur habitude, guerroyaient.
(Certes)
Quant à la sienne, notre funeste chérubin, d?entre
(La perte)
Les cadavres et les miasmes pourris, sillonnait.
(Brave bambin)
C?est alors que le silence fut déchiré. Le ventre
(Encore un larcin ?)
Arraché, le mourrant poussa un râle caverneux. L?autre,
(Souffrance?)
Par le butin alléché, et par la curiosité piquée, approcha
(Errance ?)
Prudemment de la chair sanguinolente. Le voilà apôtre
(Pitié)
Malgré lui, les dernière volontés d?un héros désormais las
(Excentricité ?)
De sa vie, de son mal. Mais la panique prend le pas,
(Bien sûr?)
Et notre jeune ami, de ses responsabilités, se joue. Encore
(Belle allure)
Agonisant, le héros déchu passe désormais pour un commun,
(Originel)
Car d?entre les tombés, il n?y a aucun pardonné. La voilà ,
(Naturelle)
La mort, insensible. Bien mal lui a pris de la rencontrer, la catain.
(Cette putain)
Désormais, ils sont liés. Où elle officit, il traîne, boitant, les cheveux
(Malsain)
Gras, le corps sal, et les pensées dégueulasses. Voles, à” toi, sale chien,
(Ton destin)
Ta pitence, celle qui nous souille, celle que tout être, désormais, veut.
(Quelle faim !)
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_________________ "Hélas! nous sommes maintenant arrivés dans le réel, quant à ce qui regarde la tarentule, et, quoique l'on pourrait mettre un point d'exclamation à la fin de chaque phrase, ce n'est peut-être pas une raison pour s'en dispenser !"
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