Eltanin

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 Sujet du message: Les films à  voir ?
MessagePublié: 03 Nov 2006, 02:30 
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Pamplemousse Panchromatique
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Inscription : 28 Avr 2004, 01:00
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Localisation : Paris, France.
Chacun d'entre nous en connaît, des films qu'il conseille à  tout le monde, des oeuvres qui apportent vraiment quelque chose, que ce soit une réflexion ou simplement des émotions, une expérience, une vision d'un monde...
Contrairement au reste d'Eltanin, ce type de sujet n'est pas lié à  la critique, à  l'analyse à  tout crin ou au battement des ailes de papillon qui déclenche une tempête, non, c'est juste un sujet pour conseiller des oeuvres qu'on a grandement apprécié.







"Terminator"

Putain de grand film ! Ultra sombre, actif, on peut éviter les suites, on peut, même T-1000 n'est pas si fort que ça, mais le premier, à  voir absolument ! Quelle ambiance décapante, ça déchire, pour tout dire, sans le moindre temps mort !



"Brazil"

Le premier film auquel je pense en matière d'incontournable. "Brazil" se déroule dans un univers impitoyable, mais au regard de sa longueur, le film est captivant, envoûtant, et nous décrit un rêve, surtout, une échappatoire, la grande évasion...
Grand film de Gilliam, classique du Septième Art, à  voir et à  revoir.



"Monty Pythons : Sacré Graal"

Encore un film avec Gilliam ! Je vais essayer de ne pas trop en parler, car c'est clairement un réalisateur qui me fait tripper. Mais dans ce film, il a surtout des petits rôles, comme le fameux "vieillard de la scène 24".
Les Monty Pythons au sommet de leur art, peut-être leur truc le plus décomplexé et le plus (dé)structuré, le plus uni, aussi, au niveau de l'ambiance, grands moments, bon sang, le lapin, le lapin !



"Jumanji"

Bon, okay, celui-là  n'est pas si génial que ça... mais j'ai beaucoup d'affection pour lui, dans le sens où j'ai lu le livre d'abord, je m'identifie plus aux personnages, peut-être. Robin Williams est excellent, comme toujours, et tous les obstacles qui attendent nos héros, c'est l'aventure à  la maison ! Au sens propre. :twisted:



"A History of Violence"

Un grand choc en le voyant, celui-là . Cronenberg au meilleur de sa forme avec des plans-séquences hallucinants, un scénario ultra-froid, des acteurs fusionnés à  leur rôle (Viggo Mortensen montre définitivement, s'il en était encore besoin, qu'il ne sera jamais dévoré par Aragorn), bref, la baffe.

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MessagePublié: 03 Nov 2006, 03:44 
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Des moulins, Sancho !
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Inscription : 23 Nov 2005, 22:50
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Localisation : Vers l'est, dit le pendule.
Je vais procéder par catégories, c'est tellement plus dogmatique. Et ça me permettra de faire plusieurs épisodes, pour éviter les posts trop longs.

Episode Un : Les films anti-guerre
Un de mes genres préférés, tellement la guerre est une des plus grandes épreuves humaines (rappellez-vous, les Quatre Cavaliers). Loin de la propagande américaine fraîche et joyeuse, ces films-là  sont faits pour retourner les tripes.

- A l'Ouest rien de nouveau
Le célèbre roman d'Erich Maria Remarque sur la guerre 14-18 a connu deux adaptations, toutes deux assez bonnes. On y retrouve bien le désarroi face à  la guerre d'un groupe de jeunes Allemands ; les scènes les plus fortes du livre de Remarque sont bien reprises. La version 1930 est préférée par la critique ; elle est plus forte, mieux ficelée, et me semble-t-il, mieux jouée ; mais j'ai une partialité envers le noir et blanc. Si on n'aime pas, la version 1979 est tout à  fait honorable, avec des approches un peu différentes.

- Les Sentiers de la Gloire
Autre adaptation, par Stanley Kubrick cette fois-ci, d'un livre célèbre. Kubrick prend plus de libertés avec l'oeuvre, ce qui est parfois un peu regrettable ; mais il compense largement en ajoutant des scènes très marquantes, notamment à  la fin. Là  aussi, de très bons acteurs et notamment, un magnifique personnage de général jovial et raffiné, mais d'une froideur totale, capable de parler de condamnation à  mort avec un petit sourire patelin... Ici, le thème principal est, plus que la guerre 14-18 elle-même, la cruauté de la justice militaire, au nom des "nécessités de la guerre". Très belles scènes de procès.

- Breaker Morant
Fait forcément penser à  un frère plus jeune, et en couleurs, du précédent. Le sujet central est le même : le peu d'hésitation de la justice militaire à  commettre des procès injustes au nom de la "raison d'Etat". Situé à  la fin de la guerre des Boers (1902), le film est intéressant par ce contexte historique peu connu ; de plus, il traite plus exclusivement le sujet précité, et introduit de très intéressantes nuances. Les "victimes" du procès, notamment, ne sont pas innocentes : chacun des accusés a ses traits humains, et ses crimes... Là  encore, les scènes de procès sont centrales, mais cette fois, entrelacées de flash-backs portant sur les faits jugés. Sans atteindre le sens de la scène d'un Kubrick, le film a tout de même ses traits de génie.

- Gallipoli
Là  encore, la guerre en tant que telle n'occupe qu'une partie restreinte de ce film, qui raconte le long voyage plein de péripéties de deux coureurs australiens (dont un jeune patriote) depuis leur campagne australienne natale jusqu'aux plages de Gallipoli en Turquie, où l'ANZAC (Australia-New-Zealand Army Corps) débarqua en 1915. Le film semble être moins à  thèse, et plus biographique ; mais il montre tout de même bien, avec sa brève scène de guerre finale, toute la dureté de la guerre face à  laquelle l'individu est impuissant.

- From Here to Eternity
Autre film dans lequel la guerre est peu vue ; ici plus encore que dans le cas précédent, elle sert surtout de contexte. L'action se situe à  Hawaii en décembre 1941, près de la ville de Pearl Harbour. Mais on est loin du pitoyable film du même nom. Il n'y a pas ici de triangle amoureux résolu sous les bons auspices de l'amour de la patrie, ni de scènes à  la guimauve. Tout le film a un ton qui mélange mélancolie, ironie, et violence ; mais ce n'est pas la violence de la guerre, c'est la violence inhérente au milieu militaire. Le film montre très bien - et avec un humour très noir - que la violence n'est pas l'apanage du champ de bataille.

- Docteur Folamour
Autre film de Stanley Kubrick. Ici, le ton est beaucoup moins personnel ou dramatique - car les personnages ne sont guère tourmentés. C'est l'humour noir qui domine, pour illustrer la paranoïa de la guerre froide et la logique destructrice de la "dissuasion nucléaire". A ce titre, c'est un film encore d'actualité. Outre ses nombreux traits sarcastiques, le film est intéressant en tant que père des "films catastrophe" à  base d'armes nucléaires. C'est aussi, sans doute, le mieux mené qui soit ; car ici, ce n'est pas le suspense qui est recherché, mais l'ironie du sort qui, d'un général paranoïaque (avatar du maccarthysme) aux "merveilles de la technologie", ôte le contrôle du feu nucléaire aux deux grandes puissances.

- La liste ne serait pas complète sans Full Metal Jacket et Apocalypse Now, mais ils sont suffisamment connus. De même, Jarhead, fort intéressant aussi, qui est assez récent pour que je me dispense d'en parler.

TO BE CONTINUED !


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MessagePublié: 07 Nov 2006, 06:09 
Les 7 samouraïs

LE filme de samouraï, LE chef d'oeuvre de Kurosawa, il faut vraiment en dire plus ?

Versus :

Parce que c'est complètement barré, gore, bourrin et fun. Le genre de filme à  mater entre pote autour d'une pizza

Baby Cart ( les 6 films parce que c'est obligé) :

Une des meilleure série de chambarra que ce soit niveau action ou de l'histoire, des personnages fort/tragiques/imposants/charismatiques, une mise en scène affolante et à  part peut être pour le dernier un scenar excellent. On les trouvent facilement chez HK et Wild style en plus ^^

Zombie (Romero) : Un chef d'oeuvre qui bien qu'ayant un peu vieillit ne perd en rien au niveau de l'histoire et du message distillé toujours d'actualité.


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MessagePublié: 07 Nov 2006, 11:21 
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The Undertaker
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Localisation : Paris
+1 pour les Sept Samourai. Effectivement un chef-d'oeuvre de Kurosawa, mais pas son seul loin s'en faut. Tous ses films sont des chefs-d'oeuvre.

3 zéros : Parce que j'ai de la figuration dedans, et que ça parle de foot. :lol:

Brice de Nice : Hormis un scénario qui laisse à  désirer, des sketches réchauffés mille et une fois, il y a quand même de très bons Dujardin et Cornillac. Simply Brice.


... Voilà  pour le premier jet.

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MessagePublié: 07 Nov 2006, 21:47 
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Des moulins, Sancho !
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Inscription : 23 Nov 2005, 22:50
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Localisation : Vers l'est, dit le pendule.
Kurosawa est un très bon réalisateur, mais justement... Je ne dirais pas que Les Sept Samuraïs est son meilleur film. Il est très bon, certes, mais pour moi il représente la transition vers les films les plus récents de Kurosawa, qui sont loin d'être son zénith... Je préfère de loin ses films noirs de jeunesse, à  savoir (et par ordre de préférence) :

Épisode Deux : Kurosawa


- Les Salauds Dorment en Paix
Deux jeunes hommes et deux fausses identités entreprennent une vengeance méthodique et froide contre une grande corporation véreuse. Inspiré de Hamlet, avec effectivement des scènes très théâtrales - dans le bon sens du terme.

- Le Ciel et l'Enfer
Non moins théâtral, il tourne autour du dilemme cornélien d'un dirigeant obligé de choisir entre le pouvoir et la vie d'un enfant. Dit comme ça, ça a l'air moralisateur. Mais la force de Kurosawa est justement de mettre de l'humanité dans tous les protagonistes (dirigeant, policiers, ravisseurs) avec ce que ça implique, pour chacun, à  la fois de circonstances atténuantes et d'absence d'innocence.

- Rashomon
L'enquête sur un assassinat sous forme d'une multitude de flash-backs contradictoires, selon le récit de chaque témoin. Là  aussi, grande habileté, dans la répétition d'une même scène tout en gardant le spectateur en haleine selon la tradition du polar. D'ailleurs, c'est un polar médiéval : ça change.

- Chien Enragé
Un jeune policier, à  qui l'on a volé son arme de service, la recherche désespérément, car il se sent responsable des crimes qui pourraient être commis avec. C'est le plus classiquement "polar" de ces quatre, avec une enquête linéaire, mais dont l'intérêt est de bien montrer le monde du Japon de l'après-guerre, avec plusieurs scènes très picturales.

TO BE CONTINUED !


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MessagePublié: 07 Nov 2006, 23:30 
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Inscription : 18 Déc 2005, 23:29
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Tu peux ajouter le chateau de l'araignée ..... sur le thème de Macbeth !

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Smouales étaient les borogoves


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MessagePublié: 08 Nov 2006, 00:05 
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The Undertaker
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Inscription : 09 Juil 2004, 22:25
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Localisation : Paris
Ou alors la "Forteresse Cachée" (Kakushi-toride no san-akunin), qui date de 1958.

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MessagePublié: 09 Nov 2006, 02:19 
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*Sabrolasers qui s'entrechoquent*
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Inscription : 31 Mai 2004, 18:07
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Starship Troopers.
Excellent film tiré d'un bouquin pas trés folichon, mais qui prends un virage sec à  90° vers le second degrés. ( tellement que les américains ne l'ont pas compris ). En plus d'un message claire et fort s'allie des effets spéciaux géniaux, d'acteurs qui n'ont rien à  foutre là  ( et c'est pour ça que c'est énorme ) et du gore, du gore, du GORE !

Aliens
Franchement, James Cameron s'en tire à  merveille, la version longue est un vrai chef d'oeuvre. Bref, je voue un culte à  ce film.

Dodgeball.
Rahhh, panthéon des films comique pour moi, un Ben Stiller plus chaud que jamais, jouant un demeuré fini et une compétition ridicule au possible, et une avalanche de gags monstrueux. :P

Premutos
Film gore allemand de 1997, qui va encore plus loin que brain dead. C'est vraiment gore et dégueulasse à  souhait dans certaines scènes, mais qu'est ce que c'est jouissif ( en plus du fait que c'est mal foutu. ) Et un humour vraiment trés prononcé tout le long du film, jusqu'à  la fin, en apothéose. ^^

Dumb And Dumberer
Suite d'un film qui a eu son succés à  l'époque. Ce long métrage a été dénigré, insulté... Mais une fois qu'on s'attends à  voir ce genre de film, il passe comme une lettre à  la poste et on se tape des barres de fou rire d'anthologie. ( je crois qu'en l'espace de 5 minutes, 2 crises de pleures, et j'ai failli m'étouffer ). C'est con, c'est lourd, et personellement, j'en redemande. :D


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MessagePublié: 09 Nov 2006, 16:07 
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Wicca, juive, lesbienne délaissée
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Inscription : 29 Déc 2005, 02:06
Message(s) : 327
Les enfants du paradis,sublime film en deux parties sur une troupe de théatre dans le Paris du début du siècle dernier. Les deux films arrivet à  faire ressentir l'impression d'assister à  une pièce de théatre.La beauté des images et des dialogues(de prévert) en font une oeuvre magique. Le deuxième film parvient à  surpasser le premier en rendant tous ses personnages attachants et en évoquant leurs regrets.

Le salaire de la peur,encore un vieux film.Un groupe d'hommes qui n'ont rien à  perdre accepte de convoyer en camion un chargement de Nitroglyceryne.Un suspen tout bonnement incroyable

Lost Highway et Mulholland Drive,deux chef d'oeuvres de David Lynch ayant en commun de perdre leur spectateur dans la complexité de leur intrigue et qui donne pourtant une grande impression de cohérence. Le réalisateur joue avec son média en faisant preuve d'une virtuosité exemplaire et en nous faisait constament ressentir une foule d'émotion.


Dernière édition par Alucard le mordant le 09 Nov 2006, 20:58, édité 1 fois.

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MessagePublié: 28 Déc 2007, 15:04 
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Miroir
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Inscription : 12 Mai 2004, 18:19
Message(s) : 690
Sonatine de Kitano: Il est vrai que Kitano fait dans la longueur. Deux heures de film pour trois scènes clefs. " Quand il est facile de tuer, il est facile de se tuer...Mais c'est plus beau quand la peur est grande."

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Je suis l'incapacité d'aimer de Jack.


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MessagePublié: 29 Déc 2007, 12:23 
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Il est les ténèbres
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Inscription : 01 Mai 2005, 12:16
Message(s) : 1448
Localisation : Grenoble
Je ne suis pas un grand cinéphile, je le confesse. Mais j'ai tout de même quelques titres dans ma besace.

Blade Runner

Parce que.

Seuls ceux qui ne l'ont pas encore vu peuvent demander de plus amples explications, ils sont priés de corriger cette erreur dans les plus brefs délais. Je parle bien sûr de la version du réalisateur, hein.

Dark City

Là  encore, je serais presque tenté de dire "parce que". Et je vais le refaire, vu que BDN a dit en entrée de ce sujet qu'on n'était pas là  pour expliquer et analyser, et que c'est quand même le genre de film sur lequel on part très rapidement dans ce sens.

_________________
Il est facile de distinguer les jours où je suis de bonne humeur de ceux où je suis de mauvaise humeur : les premiers, je me définis comme obscurantiste et professe que l'Humanité a désespérément besoin d'être ramenée au niveau technologique d'il y a trois siècles ; les autres, je me définis comme nihiliste et professe que le meilleur avenir auquel l'Humanité puisse aspirer, c'est une extinction sans douleur.


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MessagePublié: 29 Déc 2007, 19:54 
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Balrog de Morgoth
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Inscription : 22 Mai 2007, 15:16
Message(s) : 797
Localisation : No man's land (57)
J'approuve ces deux films...parce que :twisted:

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MY FIST FOR SATAAAAAAAAAAN §§§


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MessagePublié: 15 Avr 2008, 04:11 
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Absent mais cool

Inscription : 06 Juin 2004, 22:42
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Localisation : Vallée
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The Wall (1982)

Sublime. Contentez-vous de le voir, avec une excellente sono.


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MessagePublié: 15 Avr 2008, 14:18 
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Sédateur/Disciple Satanique de Vitriol

Inscription : 18 Juil 2004, 12:31
Message(s) : 579
Marrant, je viens tout juste d'acheter le poster de ce chef d'oeuvre.

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J'avais envie de tout salir d'une fumée bien noire...


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MessagePublié: 15 Avr 2008, 16:29 
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Absent mais cool

Inscription : 06 Juin 2004, 22:42
Message(s) : 810
Localisation : Vallée
Dans mes bras mon amour...


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