Eltanin

Les amateurs de paradoxes temporels et d'acteurs uniques (Bakula, Stockwell !) se souviennent de Code Quantum (de son vrai titre Quantum Leap - prestigieuse traduction qui fait passer une histoire de bonds dans le temps pour une série d'espionnage - comme d'une époque bénie, et ils se trouvent ainsi dans le secret des dieux. Que reprocher à  cette série ? Elle est parfaite, polie à  tous égards. Un principe constant d'où découlent autant d'histoires indépendantes, le tout restant parfaitement logique. C'est la série des séries, se déroulant avec une fluidité sans frein autour de son duo maître (comme de juste symétrique et marqué). Mystique, humaine, inquiétante, surprenante, Code Quantum marquera son époque.

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Outa-Napishtim : Il existe une plante comme la ronce,
Elle pousse au fond des eaux,
Ses épines te piqueront les mains
À la manière d'une rose,
Et si tes mains arrachent cette plante,
Tu trouveras la vie éternelle.

Tu m'as l'air de beaucoup aimer les phrases toutes faites qui font bien dans une critique de Télérama ou des Inrockuptibles... M'enfin c'est bien aussi de réfléchir un peu à  ce qu'on tape. Son époque étant les années 80, on peut dire qu'elle a déjà  "marqué son époque". Les Leapers se réunissent en convention, tout ca...

Excellente série c'est vrai, avec une fin aux accents de mysticisme judéo-chrétien étrange et pas vraiment soulant comme ca aurait pu l'être.

C'est avec joie qu'on retrouve d'ailleurs Stockwell dans Battlestar Galactica, je desespérait de le revoir un jour.

A noter que y'a des rumeurs sur un film Quantum Leap. Hm hm hm.

Je n'ai que peu de souvenirs de cette série. Je me souviens d'un épisode où le héros (qui a une très bonne gueule, quoique moins que le visage de l'hologramme Al) possédait un aveugle, un autre où il était un singe... les pitchs permis par le voyage temporel de la conscience du personnage principal étaient, je crois, super bien exploités. Est-ce que tous les épisodes étaient comme ça ?

Une chose qui m'a marqué à  tout jamais, c'est le générique.

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Ben à  un moment il était dans la peau d'un cul de jatte... et à  la fin pour empecher une catastrophe il se levait, Sam Beckett ayant toujours ses jambes. La couverture tombait et les gens voyaient le cul de jatte flotter dans les airs.

Y'a aussi les fois où il est une femme et où Al le reluque parce qu'il vois l'hôte, pas Sam...

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j'adorai le "ah bravo!" a chaque fin.

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