D'un autre côté, à ce que j'ai cru entendre de la façon de jouer aux jeux de rôles la plus répendue outre-atlantique, il faut bien reconnaitre que les RPGs console/PC se rapprochent déjà plus du Jeu de Rôle
Ensuite, il y a eu quelques tentatives interessantes pour s'en rapprocher, du jeu de rôle. Fallout qui a été cité, mais aussi Neverwinter nights avec son mode multijoueur fesant intervenir un maître du jeu, ou encore, Daggerfall. Mais là encore, malgré toutes les possibilités (larges reconaissons-le) offertes, il y a certains limitatifs, comme par exemple le fait de ne pas pouvoir passer un peu outre les règles, fesant passer son 16 pour un 12 derriere son écran de meujeu, ce pour les besoins du scénario. Alors que dans les jeux de rôles, tout comme dans les LDVELH, "Tout est dans le scénario..." comme dirait Genju.
Dans un RPG, l'essentiel du jeu est occupé par la baston. Et c'est normal: le reste est ludiquement parlant plus chiant très souvent. Dans un LDVELH, non, certes.
Dans un domaine approchant, autant dans les RPGs les règles peuvent s'approcher énormément de jeux de rôles, façon Baldur's Gate, autant dans les jeux de rôles, la simplification peut être pousée à l'extrême (Ambre par exemple)
Mais il reste un point pour le moins critique différenciant les deux jeux d'un jeu de rôle à proprement parler. Dans un jeu vidéo ou un bouquin, on va d'un point A à un point B. A la rigueur, des points C, D, etc.. mais un nombre fini de fins ; plus le game over.
Dans un Jeu de Rôle, on a un nombre infini de fins ; sauf MJ dirigiste et rigide bien sûr. On a la possibilité de sauver la princesse, de la violer avant de l'égorger en accusant les orcs, de ne l'avoir jamais rencontré parce qu'on était torché au bar, ou encore parce que les orcs, prévoyant l'embrouille, ont passés le groupe à tabac...