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Harry Potter https://www.pantagrame.com/eltanin/forum/viewtopic.php?f=6&t=190 |
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Auteur: | Raphychou [ 24 Mai 2004, 03:16 ] |
Sujet du message: | Harry Potter |
Série de livres à succès de la romancière J.K. Rowling, les "Harry Potter" sont avant tout des oeuvres magistrales fondées sur un univers cohérent et particulièrement envoûtant. |
Auteur: | MmeSnape [ 24 Mai 2004, 18:31 ] |
Sujet du message: | |
J'adore, moi. Plus les tomes avancent, mieux c'est. Dommage que les films ne sont pas à la hauteur des livres. Et ce qui est bien, avec Harry Potter, c'est que ces bouquins ont donné le goût de la lecture à bien des jeunes (bonne chance pour les tomes 4 et 5, pauvres enfants lol). En fait, il y a juste un truc qui m'agace vraiment avec Harry Potter. C'est l'unique point de vue. Personnellement, je me fiche du point de vue d'Harry. C'est un petit con (surtout dans le 5). ^^; Hey oui, j'aime les bouquins, mais pas le "héros". Mais bon, j'ai bien hâte de lire les 2 derniers tomes. Espérons qu'ils ne prennent pas trop de temps à sortir. |
Auteur: | parkko [ 25 Mai 2004, 11:37 ] |
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Harry Potter, est un des meilleurs livres destinés au départ pour la jeunesse, vu que de toute façon nombres adultes ou "jeunes" ont déjà lu un tome. L'écrivain, a reussit à construire tout un autre univers, dans le même monde que le notre mais en parrallèle, chose qui devait être encore plus difficile. Les livres sont des vrais chef d'oeuvres (je viens de finir le dernier que je n'avais pas lu). Plus on avance, mieux ils sont, ca c'est vrai (y'a quand meme des exeptions le numéro 2 étant celui que j'aime le moins). Dommage qu'il y'ait trop de marketing à côté. Pour en revenir au livre, ce que j'aime le moins c'est l'exagération des personnages, au début du livre, un seul trait de caractères les définissait et ils n'évoluaient pas, depuis quelques tomes, ils commencent enfin à bouger et donc à être plus attachant (peut être l'adolesence arrive t'elle.) |
Auteur: | Halvorc [ 25 Mai 2004, 17:59 ] |
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Les trois livres les plus lus au monde sont les outils d'une acculturation forcée, d'un endoctrinement massif tout ce qu'il y a de plus douteux. La Bible, le Petit Livre Rouge, mais aussi Harry Potter. Au même titre que ces deux premiers, le livre de J. K. Rowling se fait le cheval de Troie du modèle McWorld, et se diffuse partout des Etats-Unis au Japon, uniformisant toutes pratiques, si bien que les japonais déblatèrent des expressions anglophones qu'ils ne comprennent pas pour faire "cool", et délaissent les sushis nationaux pour les hamburgers. Il serait faux d'affirmer que le succès de Harry Potter n'est dû qu'à son mérite littéraire autoproclamé "tour de force", mais somme toute assez relatif. Faisant partie de la littérature enfantine, cette série au style de Super U est certes plaisante à lire, par définition, mais n'encourage que peu le lecteur à aller jusqu'au bout. Bref, il n'y a certainement pas de quoi siéger à l'Académie Française. Arborant avec fierté son statut de Mickey Mouse des années 2000, le héros à lunettes rondes cristallise de façon édifiante tous les rouages interconnectés de la culture hégémonique anglo-saxonne. Les maisons d'édition fusionnent, éclatent la concurrence pour asseoir leur oligopole sur le marché, étouffant les petits auteurs peu connus. Ensuite, les firmes hollywoodiennes adaptent cette oeuvre au cinéma, et distribuent leur bande originale que l'on écoutera sur des baladeurs Sony, avant d'aller au MacDo consommer éventuellement un Happy Meal comportant des jouets... Harry Potter. Bref, succès commercial évident, mais est-ce de la vraie littérature ? |
Auteur: | Raphychou [ 27 Mai 2004, 03:24 ] |
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Ou comment se rendre ridicules par élitisme. Bravo, Tommy, PhénixNoir, belle leçon de snobisme envers un succès populaire. La popularité d'une oeuvre n'a pas grand-chose à voir avec sa qualité. Citer: Le sage montre la Lune, l'idiot regarde le doigt.
En attaquant les "Harry Potter" sur la seule base de leur succès commercial, ne passez-vous pas à côté de l'essence même de la saga, les livres de J.K. Rowling ? C'est là que se situe la réelle âme de l'oeuvre, pas dans les pâles dérivés cinématographiques de Chris Columbus ou vidéoludiques de Warner Bros Interactive. La romancière ne se contente pas de créer un univers riche, cohérent et enchanteur et de développer une galerie de personnages toujours plus profonds. Chaque volet de son chef-d'oeuvre sert un propos toujours affiné, un ensemble de valeurs finement intégrées. Par exemple, dans "Harry Potter et la Coupe de Feu", Sirius Black dit à Ron, au sujet de M. Croupton et de l'elfe de maison Winky : "Si tu veux savoir ce que vaut un homme, regarde comment il traite ses inférieurs, pas ses égaux". Idée simple mais ô combien pertinente. Le cinquième volume, "Harry Potter et l'Orde du Phénix", quant à lui, opère un délicat sacrifice, celui de l'action au profit d'une critique de l'aveuglement gouvernemental, l'endoctrinement par l'éducation corrompue, les services secrets et la politique de la langue de bois. Ce n'est pas pour autant que le personnage de Harry est délaissé, car il subit là une évolution psychologique menant à la prise de conscience de son orgueil intrinsèque et de son propre égoïsme, qui lui sont aussi bien renvoyés à la figure par la tragique fin de l'un des protagonistes que par la figure anéantie de James Potter, ici enfin dépeint comme un être humain, avec ses failles et surtout... sa cruauté. Enfin, le rythme du livre est lui aussi exemplaire, car toute la première partie n'a pour objet que de faire en sorte que le lecteur accumule une frustration à l'égard des événements injustes qui se produisent. La tension est libérée en un splendide enchaînement de catharsis jusqu'à un dénouement qui jette les bases d'un affrontement futur que l'on devine d'ores et déjà mythique. |
Auteur: | PN [ 27 Mai 2004, 11:39 ] |
Sujet du message: | |
Citer: La tension est libérée en un splendide enchaînement de catharsis jusqu'à un dénouement qui jette les bases d'un affrontement futur que l'on devine d'ores et déjà mythique.
l'image d'un critique d'art contemporain m'a traversé l'esprit. Si c'est pour voir de bons thèmes pourquoi le faire dans les livres de J.K. Rowling plutôt qu'un autre? Je n'aime pas ce genre d'univers je ne chercherai donc pas à lire pour avoir lu comme on peut aller voir un film pour l'avoir vu. |
Auteur: | Raphychou [ 29 Mai 2004, 10:47 ] |
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Ton argument ultime à l'encontre de "Harry Potter" consiste en une inimitié personnelle à l'égard de l'univers. Il ne s'agit là que de tes goûts, non pas d'une attaque critique. Dire que tu n'aimes pas le monde de "Harry Potter" (alors que tu ne les as pas lus, je gage) n'enrichit pas le débat. Ta dernière missive démontrer donc toute l'inutilité des précédentes. |
Auteur: | PN [ 31 Mai 2004, 21:33 ] |
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*voix endormie* moui... moui... je le concède. critiquer un bouquin que tu apprécies est inutile. tout comme le refus de se laisser vendre le succès. Je ne vais tout de même pas acheter/emprunter/voler ces bouquins et les lire sachant que je n'aime pas le genre d'univers traité pour le plaisir d'en trouver de vrais défauts que je pourrai citer fièrement? Si j'étais assez puéril pour le faire, j'irais direct chercher une critique assassine sur le net... conclusion : si donner des préimpressions relèves de "l'inutile" surtout si elles s'opposent à l'avis du créateur du fil, et bien je vais aller poster des trucs sur des trucs que vus/lus par moi... comme ça je pourrai casser les critiques aussi |
Auteur: | Noe [ 13 Juin 2004, 13:20 ] |
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Arkh a écrit: Cet univers me répugnait précisément ... avant de lire.
Plus ça va, Arkh, plus j'ai envie de poster "Pauvre type" après chacun de tes posts. C'est effrayant. Cette envie maladive de te dresser corps et âme devant tout ce qui peut paraître populaire avec toujours cette même excessivité dans chacun de tes propos. Honnêtement, ça doit te peser non ? Parce que ne serait-ce que seulement pour moi, je trouve ça lourd, obèse même. Tu es la surcharge pondérale de ce forum. Enfin merci pour cet argument fondateur, qui est, ne le nions pas, formidable ! Il évite un quelconque développement du pourquoi du comment, puisque tu savais déjà que c'était de la merde avant de le lire. N'est-ce pas mêêêêêrveilleux ? J'aimerai être intuitif comme toi. J'arrive, je vois de loin la tranche, ou pire, la couverture d'un bouquin, et tout de suite je me sens révulsé, je sais que ce torchon sera répugnant. Faudra que tu nous apprennes ça un jour ! Continue à poster des messages sans aucun fondement comme le précédent, et je me verrai obligé de faire une liposuccion en bonne et due forme . |
Auteur: | Arkh [ 13 Juin 2004, 16:33 ] |
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*silence dramatique* Il eût fallu lire : "ce livre a changé ma vision d'un univers, qui, auparavant, me répugnait". Par ailleurs, cette réponse n'avait pas à être développée, vu que je ne faisais qu'indiquer à Phénix Noir qu'un livre pouvait modifier la perception d'un univers en lui fournissant de meilleures références - par opposition au gros stéréotype du château-fort et des "sorcières-champignon" qu'évoque Harry Potter pour les profanes. Enfin, je ne vous en veux point. Les "cris du coeur", ça fait toujours du bien ... Etonnant, cependant, vu qu'on me reproche souvent d'être attiré par tout est *commercial* (FFX, Pokémon, Harry Potter, GP RPG). Et pourquoi donc "Plus ça va" ? J'exige des explications, tu me dois bien ça Hors-sujet, mais cette phobie des messages courts devient de plus en plus ridicule. Je fais tous les efforts du monde pour compacter mes posts, afin d'être sûr d'être pris en compte. Est-il donc nécessaire de remâcher dix fois la même idée sous les formes les plus diverses et les plus nuancées, tel un élève soucieux de combler son devoir de français ? Je vous épargne des pâtés de 10-20 lignes, auquels je succombait dans mes débuts. Du reste, autant être excessif. Nuancer ses propos fait "c'est juste un avis personnel, hein, inutile de rédiger des thèses entières pour me contredire". Alors que c'est justement l'intérêt premier de ce type de forums ... non ? On sombre dans le "culturel-zob". |
Auteur: | Raphychou [ 23 Juin 2004, 00:09 ] |
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Arkh, la concision n'est pas tout. Tu dois avoir bien peu de choses à dire. Pour revenir au sujet, une connaissance m'a fait remarquer un élément assez stupéfiant : tout au long de la saga de J.K. Rowling, nous ne cessons de suivre Harry Potter lui-même. Il n'y a aucun flash-back, tout ce qui s'est passé jadis est narré par un quelconque personnage ou bien est revécu par notre héros via la Pensine. On remarque donc une simplicité stupéfiante de la narration et une linéarité captivante. Le fait de rester toujours aux côtés de Harry facilite le processus d'identification et rend les dangers plus palpables, car ils menacent un être dont nous avons suivi le parcours, pas à pas... Edition : J'ai rédigé un message à la gloire de "Harry Potter" sur un autre forum. Je le copie/colle ici. La grande force de Rowling, c´est qu´elle utilise un schéma scénaristique toujours semblable - début chez les Dursley, une année à Poudlard, un méchant qui veut faire le maaaaal et qui a l´air d´être le plus gentil, alors que celui qu´on nous faisait passer pour le méchant pendant toute l´histoire s´avère être inoffensif, et finalement confrontation avec le " boss final" avant le passage obligé du sermon d´Albus Dumbledore -, une démarche narrative simpliste ( tout est linéaire, totalement linéaire, tous les flash-backs sont racontés, on ne cesse de suivre Harry Potter lui-même) et un style concis et léger pour exposer une histoire formidable. En effet, qu´est " Harry Potter" sinon une saga fantastique classique, mais renforcée par une myriade de thèmes sous-jacents qui gagnent en maturité à mesure qu´évolue la série. Les Mangemorts, disciples de Lord Voldemort, s´avèrent en réalité être des ersatzs de nazis ( ils veulent que seuls survivent les sorciers " purs") et Rowling leur oppose des valeurs profondément humanistes, si habilement intégrées à l´histoire qu´il faut chercher pour les décler. Ainsi, le parrain de Harry délivre au détour d´une conversation une idée des plus justes mais trop souvent ignorée : " Si tu veux savoir ce que vaut un homme, regarde comment il traite ses inférieurs, pas ses égaux" ( volume 4). Plus tard, Dumbledore explique " que négliger, ignorer les gens fait parfois plus de ravages que la haine et le mépris, et est tout aussi condamnable". Les elfes de maison servent de base à une thématique sur l´esclavagisme approfondie de livre en livre ( avec la problématique de l´esclave heureux : peut-on délivrer les gens contre leur gré ? ) et les centaures sont ici une illustration de la différence culturelle ( leurs coutumes tribales les poussent à exécuter les " traîtres à leur peuple" qui fraient de trop près avec les humains). Le Ministère de la Magie se révèle être un gouvernement conservateur pratiquant l´espionnage, les condamnations expéditives et la politique du silence. La presse passe également sous le fer de Rowling, avec la terrible journaliste Rita Skeeter à la plume de fiel. Et pourtant, que de subtilité déployée dans cette fresque épique ! Les personnages sont ambigus, chacun a ses raisons d´agir. Non seulement des " gentils" sont corrompus et des " méchants" trouvent la rédemption, mais les psychologies sont plus finement dessinées à chaque volume, montrant avec une sorte de tendresse envers la nature humaine comment chacun peut être poussé à accomplir des actes que la morale traditionnelle réprouve. Tout cela ne serait rien sans un univers construit, une réunion d´influences qui évoque, n´en déplaise aux fâcheux, le travail de Tolkien - en son temps, il fut le grand recycleur de la mythologie nordique - mais à une échelle beaucoup plus large, puisque J.K. Rowling récupère des éléments culturels de tous les lieux et de toutes les époques sur lesquels elle peut obtenir des informations. Dans ce monde féérique et tragique à la fois, qui démarre tout en douceur pour se révéler plus cruel, dans les derniers volumes, que les contes de fées les plus sombres ( les connaisseurs apprécieront les Détraqueurs, abominations dévoreuses d´âmes) déambule une foule de personnages dont chacun possède sa propre histoire, son apparence bien définie, son langage et son évolution propre. Conduisant son histoire de main de maître dans cette richesse sans cesse renouvelée, en grande partie grâce à la linéarité précédemment évoquée, la romancière J.K. Rowling nous offre une nouvelle oeuvre intemporelle, une chimère, une ode à la beauté et à la laideur réunies de l´être humain et de l´existence. C´est un rêve éternel. |
Auteur: | MmeSnape [ 29 Juin 2004, 23:12 ] |
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DragonNoir a écrit: Pour revenir au sujet, une connaissance m'a fait remarquer un élément assez stupéfiant : tout au long de la saga de J.K. Rowling, nous ne cessons de suivre Harry Potter lui-même. Il n'y a aucun flash-back, tout ce qui s'est passé jadis est narré par un quelconque personnage ou bien est revécu par notre héros via la Pensine.
C'est justement ça qui m'agace un peu dans cette saga. On n'a que le point de vue d'Harry Potter. Comme si le monde entier tournait autour de lui. J'aimerais avoir un autre point de vue parfois. Le point de vue de Rogue, ou Voldemort, ou même de Dumbledore. Ou pourquoi pas, de Neville. M'enfin. J'ai bien l'impression qu'il faudra se taper son point de vue jusqu'à la fin. |
Auteur: | Arkh [ 30 Juin 2004, 18:13 ] |
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Les "thèmes sous-jacents" ? A mon sens, ils ne sont là que pour renforcer l'implication "puérile" du lecteur. De là à dire qu'ils font réfléchir ... Je serais bien incapable de citer une phrase particulièrement marquante. Et pour les points de vue, ils faut toujours faire dans les extrêmes : soit un point de vue unique, soit un panorama entier ; mais pas de "mi-figue mi-raisin", c'est fadasse. |
Auteur: | Fab [ 19 Juil 2005, 10:23 ] |
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En tant que fan inconditionnel de Harry Potter, j'ai dévoré dans la journée de Samedi le 6è volume des aventures de l'apprenti sorcier. Je vous préviens tout de suite : préparez les mouchoirs. Pas grand chose à dire en plus de ce qui a déjà été dit : on retrouve tout ce qui a fait le succés de la série. En revanche, pas grand chose au niveau des révélations sur le passé dans ce volume, mis à part [spoiler]quelques semi-nouveautés sur le passé de Lord Voldemort et sur Severus Snape (Rogue en VF).[/spoiler] La force de ce sixième tome réside plutôt dans l'action : il se passe énormément de choses, en particulier [spoiler]une trahison et un mort à la fin.[/spoiler] |
Auteur: | Amo [ 07 Oct 2005, 21:48 ] |
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>>> tout les spoilers viennent du tome 6, donc vala :p D'avoir je reviens sur ça : MmeSnape a écrit: DragonNoir a écrit: Pour revenir au sujet, une connaissance m'a fait remarquer un élément assez stupéfiant : tout au long de la saga de J.K. Rowling, nous ne cessons de suivre Harry Potter lui-même. Il n'y a aucun flash-back, tout ce qui s'est passé jadis est narré par un quelconque personnage ou bien est revécu par notre héros via la Pensine. C'est justement ça qui m'agace un peu dans cette saga. On n'a que le point de vue d'Harry Potter. Comme si le monde entier tournait autour de lui. J'aimerais avoir un autre point de vue parfois. Le point de vue de Rogue, ou Voldemort, ou même de Dumbledore. Ou pourquoi pas, de Neville. M'enfin. J'ai bien l'impression qu'il faudra se taper son point de vue jusqu'à la fin. [spoiler] Chapitre 1 & 2 du tome 6: aucune trace d'Harry Potter. Rowling à laché un peu Harry pour une fois ^_^. [/spoiler] Bon alors j'ai fini le tome 6 hier soir (j'ai essayé en anglais: abandon au 12e chapitre et après découverte que je loupais les 3/4) et après avoir pleuré (le dernier chapitre est super émouvant ) pas mal. Je n'ai pas grand chose à dire sinon que c'est du bon, le ton m'a semblé bien plus adulte et l'intrigue est fortement intéressante. [spoiler] La fin - bien que je la savais -merci hal-- reste saissisante, eheheheh . Le nouveau prof, Slughorn, est plutot pas mal, il me fait bien marrer et est une critique plus qu'efficace des pistonnurs. Mis à part ça, un regret: ça manque de description de cours. Rowling a l'air d'avoir omis ce détail. [/spoiler] Voilà , Harry Potter c'est bon, mangez en :p ! |
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