Je vois qu'il toujours aussi désagréable de subir un passage de serpillière sous son nez, tout spécialement lorsque la femme de ménage n'a strictement rien à dire, ni même à en penser. De façon plus générale, les raisons du nettoyage sont suffisamment basses, torves et rampantes pour demeurer inavouées dans la mesure du possible.
Tenez, par exemple : je suis certain que le modérateur incriminé à peur de cette terrible vérité du combat, de ce retour progressif mais inexorable à la pulsion bestiale, qui devra, tôt où tard, entraîner l'irréparable. Pour ma part, je sais que viendra le jour ou j'enfoncerai le cartilage de trop -mais je l'assume, moi.
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