Passionnel amateur de l'humour québécois (à commencer par Peter Mac Léod et François Pérusse), votre cher camarade Darly Injordel se trouve présentement piqué par les imprécisions et autres répétitions dignes d'un quadrumane cacochyme. Oui, ce crapuleux galimatias doit voir sa quiddité pointée du doigt : c'est une ignominie qui mériterait de se voir remplacée par une langue véritable et davantage charpentée,
l'anglais, à tout hasard. Dans le but d'une attaque claire de ce primitivisme sémistique, je vais apporter ci-dessous deux pièces substantielles au dossier, sans développer d'argumentation concomitante autant que redondante.
1) Une citation très claire.
P. Chamberland, dans 'Les Lettres nouvelles', a écrit:
Le « joual » est une sous-langue : il est, par nature, confusion, appauvrissement, privation, désagrégation. Le « joual », c'est le français parlé par un groupe linguistique dont la langue maternelle est gravement ébranlée par la proximité et la pression d'une langue étrangère, l'anglais. (...) le « joual », c'est le français ébranlé non seulement dans son articulation et son vocabulaire mais aussi, mais surtout dans sa syntaxe.
2) Une page Web ravageuse sur l'inqualifiable joual.
http://quebecjoual.wordpress.com/