La coutume ne nait pas spontanément et on ne s' y conforme pas par habitude. La coutume nait elle même de rapports de forces créés, entre autres, par la division du travail.
Pour prendre un exemple, des millions de salariés ont été employés par des millions d'employeurs. Leurs rapports sont la résultante de rapports de force existant à un moment donné.
Ensuite, la coutume constate ces rapports de force et devient obligatoire. Puis elle évolue en droit. Par exemple, dans le code du travail vu par Napoléon, le patron est cru sur parole, sauf preuve contraire.
Ensuite, on ne se conforme pas à la coutume par habitude mais par imprégnation ( " Dis bonjour à la dame " ), par nécessité et par peur de la repression ou par nécéssité Irions nous au travail et ne le ferions nous pas si nous savions que nous serions payés de toute manière.
L'ordre social tient parce qu' ilest le reflet de l'ordre economique et politique existant. L'ensemble de systemes sociaux s' inscrit dans la logique du système de production.
Il a été dit que le bulletin de vote et le fusil forment les deux machoires du mpiège que la bourgeoisie tend au révolutionnaire. Mais la violence de la classe dominante et de l'appareil d' état est justifiée idéologiquement non par la force de l' habitude mais parce qu'elle aprait légitime. Elle est légitime parce que l' ordre social est lui même perçu comme naturel et légitime, indépassable.
Max Weber qui n'était pas marxiste a défini l' état comme le détenteur du monopole de la violence légitime. En fait, la violence est aussi idéologique que physique.
Il est vrai que, dominés idéologiquement, les vicitmes admettent cette légitimité.
Pour en revenir au niveau individuel, si on analyse les dix commandements, on s'apperçoit qu' ils constituent ni plus ni moins que els principes de base habituellement nécessaires au fonctionnement de toute société humaine. Il ne s'agit pas de conscience mais de pratique.
Une société où on pourrait s'emparer des biens et de la femme de son voisin, où les enfants s'emparertaient des biens de leurs parents etc ne survivrait pas. Ceci dit, il existe des sociétés primitives, notament nomades, où en cas de disette, les eprssones agées sont sacrifiées pour la survie de la société.
Une idéologie est un ensemble d'idées. Ces idées montrent et expliquent la réalité autant qu'elles la voilent. Par exemple, l' idéologie " libérale " montre que le système capitaliste est inévitable et parfait.
Les idées de la classe dominante sont les idées dominantes. Mais il y a une lutte idéologique, y compris au sein des idées dominantes. Par exemple, jusque dans les années 1970, les idées keynésiennes constituaient les idées dominanters de la théorie économique. Les conservateurs ont mené une lutte idéologique pour imposer leurs idées et leur système, y compris la déreglementation financière, avec le succés que l' on sait.
Les idéologies sont mises en forme en tant que doctrines. elles donnet une représentation du monde. L' idéologie dominante justifie le sytème capitaliste, comme autrefois, l' idéologie féodale justifiait le système féodal.
L' intégrisme islamique est une idéologie qui donne une représentation du monde permettant à une partie des dominés de croire en leur libération. elle prépare leur asservissement.
Les dominés ont leur propre représentation du monde, biaisée et résultant d' une conscience aussi fausse que celle des dominants. Elle peut devenir haineuse quand leur situation est insupportable. Mais en génral, les solutions proposées sont fausses.
Pour prendre l'exemple américain, les lmeaders noirs qui se sont présentés come els libérateurs des noirs ont échoué. Obama a réussi parce que volontairement, il s'est posé en défenseur de tous les opprimés.
Ce n'est pas en voulant libérer certains au détriment d'autres qu' on gagne. Le CRAN devrait méditer la dessus.
L' idéologie dominée actuelle à la mode est communautariste. Elle est vouée à l' échec et aura au mieux pour résultat l'éclatement de la société française, pour le plus grand profit des dominants.
Si les individus dominés se définissent comme chrétiens ou musulmans ou juifs et s'opposent aux uns et aux autres entant que tels, au lieu de se définir comme prolétaires, la classe dominante a tout à y gagner.
Pour éviter le piège de la violence, il faut chercher ce qui rassemble et non ce qui divise.
Désolé pour ce texte plein d'imprécisions ...... j'ai fait ce que j'ai pu dans le temps disponible.
_________________ Smouales étaient les borogoves
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