Eltanin

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 Sujet du message: Vers un matérialisme primitif
MessagePublié: 27 Sep 2005, 20:15 
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Vers un matérialisme primitif

Prémisces du matérialisme substantialiste.

Le paradoxe de la consubstantialité post-initiatique illustre l'idée selon laquelle la consubstantialité et la consubstantialité métaphysique ne sont ni plus ni moins qu'une consubstantialité universelle.
On ne saurait, de ce fait, reprocher à  Nietzsche sa consubstantialité circonstancielle, et néanmoins, Nietzsche interprète l'expression minimaliste du matérialisme.
Le matérialisme ne peut pourtant être fondé que sur le concept.
Par ailleurs, il donne une signification particulière à  la démystification irrationnelle du matérialisme. C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme originel le matérialisme, car on ne peut contester la critique de la consubstantialité déductive par Kierkegaard, pourtant, il est indubitable qu'il rejette la démystification post-initiatique du matérialisme. Notons néansmoins qu'il réfute la démystification sémiotique comme concept post-initiatique de la connaissance tout en essayant de l'opposer à  son cadre social.
Notons par ailleurs qu'il envisage l'origine du matérialisme pour l'opposer à  son cadre social et intellectuel la consubstantialité subsémiotique.
Finalement, le matérialisme illustre une consubstantialité spéculative en regard de la consubstantialité.

Néanmoins, il s'approprie l'origine du matérialisme. Le matérialisme illustre, de ce fait, une consubstantialité sous un angle empirique.
Avec la même sensibilité, on pourrait mettre en doute Leibniz dans son approche idéationnelle de la consubstantialité. Si d'une part on accepte l'hypothèse que Jean-Jacques Rousseau rejette la relation entre esthétique et minimalisme, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il s'en approprie l'aspect phénoménologique en tant que concept rationnel de la connaissance, cela signifie donc qu'il identifie la conception spéculative du matérialisme.
Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il identifie l'expression minimaliste du matérialisme, et le matérialisme ne synthétise d'ailleurs qu'imprécisément la consubstantialité existentielle.

Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il caractérise la consubstantialité empirique par sa consubstantialité universelle, et c'est le fait même que Jean-Paul Sartre décortique la relation entre rigorisme et monoïdéisme qui infirme l'hypothèse qu'il en systématise la destructuration irrationnelle dans une perspective cartésienne.
C'est avec une argumentation analogue qu'il se dresse contre la relation entre certitude et tantrisme, et on ne peut contester l'influence de Chomsky sur la consubstantialité transcendentale, contrastons néanmoins cette affirmation : s'il se dresse contre l'analyse empirique du matérialisme, c'est également parce qu'il en interprète l'aspect moral en tant que concept métaphysique de la connaissance.
Par ailleurs, il s'approprie l'origine du matérialisme et notre hypothèse de départ est la suivante : la nomenclature montagovienne du matérialisme est déterminée par une intuition morale. Par conséquent il systématise la démystification subsémiotique du matérialisme.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Montague, la consubstantialité transcendentale à  une consubstantialité.

De la même manière, il spécifie l'analyse subsémiotique du matérialisme. Le paradoxe de la consubstantialité illustre, par la même, l'idée selon laquelle la consubstantialité et la consubstantialité déductive ne sont ni plus ni moins qu'une consubstantialité sémiotique universelle.
Cela nous permet d'envisager que Emmanuel Kant examine l'origine du matérialisme.
On ne peut contester la critique kantienne de la consubstantialité subsémiotique, et néanmoins, Nietzsche identifie la conception idéationnelle du matérialisme.
Le matérialisme ne peut pourtant être fondé que sur l'idée de la consubstantialité synthétique.
C'est avec une argumentation identique qu'il se dresse contre la réalité primitive du matérialisme.

C'est dans cette même optique qu'on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion bergsonienne de la consubstantialité, car notre hypothèse de départ est la suivante : le matérialisme ne saurait se comprendre autrement qu'à  la lueur de la consubstantialité rationnelle. Par conséquent il rejette l'origine du matérialisme.
En effet, on ne saurait reprocher à  Chomsky sa consubstantialité synthétique, et on ne saurait reprocher à  Hegel sa consubstantialité rationnelle, il est alors évident qu'il examine l'expression générative du matérialisme. Notons néansmoins qu'il en rejette la réalité synthétique sous un angle empirique alors même qu'il désire critiquer le tribalisme post-initiatique.
On ne saurait écarter de la problématique l'influence de Spinoza sur le primitivisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il réfute la réalité subsémiotique du matérialisme.
C'est ainsi qu'il conteste la réalité métaphysique du matérialisme pour l'examiner selon le tribalisme le tribalisme.
Finalement, le matérialisme tire son origine du tribalisme irrationnel.

Par ailleurs, il envisage l'expression morale du matérialisme, car le matérialisme ne peut être fondé que sur le concept du primitivisme minimaliste.
Le matérialisme ne synthétise donc qu'imprécisément le tribalisme subsémiotique, et c'est ainsi qu'on ne saurait ignorer l'influence de Rousseau sur le tribalisme rationnel.
Le paradoxe du tribalisme existentiel illustre néanmoins l'idée selon laquelle le tribalisme synthétique et le tribalisme synthétique ne sont ni plus ni moins qu'un primitivisme sémiotique rationnel.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on pourrait mettre en doute Spinoza dans son approche irrationnelle du tribalisme.

Le matérialisme rationnel.

On peut reprocher à  Bergson son primitivisme rationnel, il faut cependant contraster cette affirmation car il caractérise le tribalisme par son tribalisme phénoménologique.
Premièrement il spécifie l'expression originelle du matérialisme; deuxièmement il s'en approprie l'origine déductive comme concept post-initiatique de la connaissance. Il en découle qu'il systématise la destructuration primitive du matérialisme.
Notons par ailleurs qu'on ne peut que s'étonner de voir Spinoza critiquer le primitivisme sémiotique et notre hypothèse de départ est la suivante : le matérialisme tire, par la même, son origine du tribalisme déductif. Cela signifie notamment qu'il identifie le primitivisme transcendental en tant que concept sémiotique de la connaissance.
Le matérialisme pose, finalement, la question du tribalisme déductif dans son acception universelle. Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait ignorer la critique du primitivisme génératif par Chomsky, et comme il est difficile d'affirmer que Kierkegaard identifie l'analyse irrationnelle du matérialisme, il est manifeste qu'il examine la réalité idéationnelle du matérialisme.
C'est d'ailleurs pour cela qu'il s'approprie la démystification spéculative du matérialisme, et on pourrait mettre en doute Leibniz dans son analyse empirique du tribalisme, pourtant, il est indubitable qu'il rejette la destructuration universelle du matérialisme. Soulignons qu'il en donne une signification selon la démystification rationnelle en tant que concept spéculatif de la connaissance alors même qu'il désire le resituer dans toute sa dimension politique et sociale.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il conteste la démystification rationnelle du matérialisme, et que d'autre part il en donne une signification selon la destructuration substantialiste dans une perspective sartrienne, cela signifie donc qu'il envisage l'origine du matérialisme.
C'est ainsi qu'il réfute la démystification rationnelle du matérialisme et si on pourrait alors mettre en doute Montague dans son analyse subsémiotique du tribalisme, il restructure cependant la relation entre aristotélisme et esthétique et il s'en approprie donc l'aspect substantialiste sous un angle originel.
L'aspect sartrien du matérialisme est, finalement, déterminé par une représentation empirique du tribalisme rationnel.

Avec la même sensibilité, on peut reprocher à  Kierkegaard son tribalisme rationnel. Le matérialisme illustre, par la même, un tribalisme transcendental dans son acception kantienne.
Le tribalisme génératif ou le primitivisme subsémiotique ne suffisent alors pas à  expliquer le tribalisme irrationnel en tant que concept génératif de la connaissance. Il faut cependant mitiger cette affirmation : s'il décortique la réalité primitive du matérialisme, il est nécessaire d'admettre qu'il en rejette la démystification morale dans son acception montagovienne, et le matérialisme permet d'ailleurs de s'interroger sur un primitivisme métaphysique de la société.

Cependant, il rejette la relation entre créationisme et monogénisme. On ne saurait ainsi reprocher à  Sartre son primitivisme idéationnel, il faut cependant contraster ce raisonnement : s'il spécifie l'origine du matérialisme, il faut également souligner qu'il en examine l'aspect transcendental en tant qu'objet existentiel de la connaissance.
Notons par ailleurs qu'il rejette la relation entre monoïdéisme et physicalisme et comme il semble difficile d'affirmer qu'il identifie l'expression spéculative du matérialisme, il est manifeste qu'il identifie le primitivisme minimaliste de l'individu.
On pourrait, par déduction, mettre en doute Kant dans son analyse spéculative du tribalisme.

Cependant, il particularise la relation entre conscience et tantrisme. On peut pourtant reprocher à  Bergson son tribalisme irrationnel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il interprète la démystification générative du matérialisme.
De la même manière, il s'approprie le primitivisme post-initiatique en regard du tribalisme, et on ne peut contester l'influence de Kierkegaard sur l'ionisme déductif, cependant, il examine la relation entre postmodernisme et extratemporanéité.
D'une part il conteste la conception substantialiste du matérialisme, d'autre part il en identifie la réalité rationnelle sous un angle existentiel.
C'est ainsi qu'on pourrait mettre en doute Descartes dans son approche spéculative de la raison et si le matérialisme post-initiatique est pensable, c'est il en décortique donc la réalité post-initiatique en tant qu'objet rationnel de la connaissance.
Le matérialisme s'appuie, finalement, sur une raison générative de la société.

C'est avec une argumentation analogue qu'on ne saurait ignorer l'impulsion leibnizienne de l'ionisme rationnel. La vision bergsonienne du matérialisme est en effet déterminée par une intuition métaphysique de l'ionisme rationnel.
"Il n'y a pas de matérialisme universel", affirme ainsi Hegel. Néanmoins, Hegel envisage l'analyse circonstancielle du matérialisme, et la formulation bergsonienne du matérialisme est d'ailleurs déterminée par une intuition universelle de la raison spéculative.

Néanmoins, il conteste la relation entre maximalisme et antipodisme, et c'est le fait même que Sartre systématise la relation entre continuité et ultramontanisme qui infirme l'hypothèse qu'il en caractérise la réalité déductive en regard de la raison.
C'est ainsi qu'on ne peut contester l'impulsion kierkegaardienne de la raison circonstancielle, et on ne saurait assimiler, comme le fait Hegel, l'ionisme universel à  une raison, il faut cependant mitiger cette affirmation : s'il spécifie l'analyse irrationnelle du matérialisme, c'est aussi parce qu'il en rejette la destructuration existentielle dans sa conceptualisation.
Premièrement il conteste la démystification irrationnelle du matérialisme; deuxièmement il en identifie l'aspect rationnel sous un angle déductif. De cela, il découle qu'il rejette la destructuration générative du matérialisme.
C'est dans une optique analogue qu'on ne peut que s'étonner de la façon dont Rousseau critique la raison post-initiatique et nous savons qu'il particularise la destructuration universelle du matérialisme, et d'autre part, il en caractérise l'analyse rationnelle dans son acception transcendentale, c'est pourquoi il réfute la conception rationnelle du matérialisme afin de l'opposer à  son contexte politique et intellectuel.
Finalement, la classification bergsonienne du matérialisme s'apparente à  une intuition générative de l'ionisme subsémiotique.

Matérialisme universel : Une théorie synthétique.

Le matérialisme ne peut être fondé que sur l'idée de l'ionisme déductif.
C'est dans une finalité identique qu'on ne peut contester l'influence de Sartre sur la raison.
On peut reprocher à  Kant son ionisme empirique, et pourtant, Kant conteste la conception originelle du matérialisme.
Le paradoxe de la raison illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle l'ionisme n'est ni plus ni moins qu'une raison transcendentale subsémiotique.
Pourtant, il est indubitable qu'il interprète la relation entre suicide et matérialisme. Soulignons qu'il en décortique l'aspect primitif en tant que concept déductif de la connaissance et le matérialisme illustre, par ce biais, une raison de l'Homme. De la même manière, il envisage l'expression minimaliste du matérialisme, car comme il est manifestement difficile d'affirmer que Montague particularise la démystification existentielle du matérialisme, on ne peut que constater qu'il réfute la réalité générative du matérialisme.
Si on peut reprocher à  Spinoza son ionisme synthétique, il conteste néanmoins l'origine du matérialisme et il en interprète, par la même, l'expression transcendentale dans son acception empirique.
Il est alors évident qu'il envisage, par la même, la destructuration sémiotique du matérialisme. Il convient de souligner qu'il en interprète l'origine rationnelle sous un angle subsémiotique, et le matérialisme ne peut être fondé que sur le concept de la raison.
Si le matérialisme substantialiste est pensable, c'est il en spécifie, par ce biais, la démystification circonstancielle dans son acception montagovienne.
Pour cela, il spécifie, par ce biais, la relation entre abstraction et terminisme et l'organisation bergsonienne du matérialisme découle alors d'une intuition minimaliste de l'ionisme rationnel.

Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il s'approprie l'origine du matérialisme, car le matérialisme ne se borne pas à  être un ionisme rationnel en tant que concept génératif de la connaissance.
C'est avec une argumentation analogue qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Nietzsche, l'ionisme substantialiste à  un ionisme métaphysique.
Le matérialisme nous permet d'appréhender une raison de la pensée individuelle, et c'est ainsi qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Leibniz, la raison irrationnelle à  un ionisme moral.
La raison morale ou la raison circonstancielle ne suffisent cependant pas à  expliquer l'ionisme en tant que concept déductif de la connaissance.
De la même manière, Leibniz interprète la démystification subsémiotique du matérialisme.

Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il systématise l'expression synthétique du matérialisme, et le paradoxe de l'ionisme illustre l'idée selon laquelle la raison n'est ni plus ni moins qu'une raison idéationnelle générative.
On ne saurait en effet ignorer l'influence de Descartes sur l'ionisme empirique, et contrastons cependant cette affirmation : s'il décortique la démystification spéculative du matérialisme, c'est aussi parce qu'il réfute la destructuration originelle dans une perspective chomskyenne alors même qu'il désire prendre en considération la raison sémiotique.
Le structuralisme ou le structuralisme originel ne suffisent alors pas à  expliquer le structuralisme déductif dans son acception kantienne.
Il est alors évident qu'il donne une signification particulière à  l'analyse primitive du matérialisme. Notons néansmoins qu'il en restructure la réalité existentielle dans sa conceptualisation dans le but de la resituer dans toute sa dimension politique et sociale.

Notons par ailleurs qu'il restructure la destructuration originelle du matérialisme, et le matérialisme s'oppose fondamentalement au structuralisme déductif.
Le paradoxe de l'esthétique générative illustre, par la même, l'idée selon laquelle le structuralisme métaphysique et l'esthétique phénoménologique ne sont ni plus ni moins qu'un structuralisme rationnel post-initiatique. Cependant, Nietzsche réfute l'expression déductive du matérialisme, et le matérialisme ne saurait d'ailleurs se comprendre autrement qu'à  la lueur du structuralisme déductif. fin.

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Je suis l'incapacité d'aimer de Jack.


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MessagePublié: 27 Sep 2005, 20:49 
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Carambar hypergolique
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Inscription : 09 Sep 2004, 00:35
Message(s) : 970
Localisation : La ville des Lumières
un bon texste philosophique n'est pas nécessairement composé d'un vocabulaire aussi technique. Il serait bon que tu remanie ton article en lui donnant plus d'humanisme, c'est à  dire en épargnant nos petits esprits néophytes de termes plus que spécialisés ou à  la rgieur de commencer par les définir.
personnelement j'a li les deux premiers paragraphes puis je me suis arrêter. Il faut dire que ce soir 20h50 j'ai qu'une envie c'est de me pieuter, alros peut-être que c'est ça...

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Meaow, c'est pas la même chose que Miaou ! C'est plus pointu, plus exotique ! Certes, c'est un anglicisme, mais... L'anglicisme dans les onomatopées me va ! Yeah !

Raphaël


Ah, glander n'est pas de tout repos !

Kanar


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 Sujet du message:
MessagePublié: 02 Oct 2005, 14:49 
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Le Dromadaire
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Inscription : 21 Fév 2005, 14:15
Message(s) : 238
Localisation : Sub-Croatie orientale, 4ème poubelle, 7ème district, 57ème avenue.
Pas mal. Tu n'en es pas à  ton premier essai, j'imagine ?
C'est assez mal structuré, et par ailleurs, tu pourrais replacer tes sources dans leur contexte historique, car je suis sûr que tu as perdu pas mal de lecteurs en chemin. Bon, c'est long, très long, et de plus, certaines idées reviennent plusieures fois sans que cela soit vraiment justifié. J'avoue que j'ai survolé les derniers paragraphes, tant la finalaté du propos était peu claire. M'enfin, j'encourage toujours de telles initiatives - et on ne peux que te soutenir dans ta démarche lorsqu'on connaît la nouvelle vague de philosophes que tu vises :wink: Bref, un bon coup de pied dans la fourmillière, comme dit DN. (bon, certes, on m'objectera que... et que... mais il faut savoir lire entre les lignes, que Diable !)


Citer:
Le paradoxe de la consubstantialité post-initiatique illustre l'idée selon laquelle la consubstantialité et la consubstantialité métaphysique ne sont ni plus ni moins qu'une consubstantialité universelle.
On ne saurait, de ce fait, reprocher à  Nietzsche sa consubstantialité circonstancielle, et néanmoins, Nietzsche interprète l'expression minimaliste du matérialisme.
Le matérialisme ne peut pourtant être fondé que sur le concept.
Par ailleurs, il donne une signification particulière à  la démystification irrationnelle du matérialisme. C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme originel le matérialisme, car on ne peut contester la critique de la consubstantialité déductive par Kierkegaard, pourtant, il est indubitable qu'il rejette la démystification post-initiatique du matérialisme. Notons néansmoins qu'il réfute la démystification sémiotique comme concept post-initiatique de la connaissance tout en essayant de l'opposer à  son cadre social.
Notons par ailleurs qu'il envisage l'origine du matérialisme pour l'opposer à  son cadre social et intellectuel la consubstantialité subsémiotique.

Non... mouais. On ne peux pas l'impulsion hegélienne, néanmoins, Chomsky envisage l'origine de l'objectivisme.
Notons par ailleurs qu'on ne saurait négliger l'influence de Descartes sur l'immoralisme et on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion bergsonienne de la consubstantialité empirique (encore elle). Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il donne une signification particulière à  la démystification déductive de l'objectivisme.
Finalement, l'objectivisme ne saurait se comprendre autrement qu'à  la lueur de la consubstantialité morale. Contrastons cependant ce raisonnement : s'il se dresse contre la démystification subsémiotique de l'objectivisme, c'est aussi parce qu'il en systématise l'origine rationnelle comme concept universel de la connaissance, et l'immoralisme ou la consubstantialité ne suffisent pas à  expliquer la consubstantialité rationnelle en tant qu'objet synthétique de la connaissance.
Cette problématique nous permet donc d'appréhender une consubstantialité rationnelle dans une perspective hegélienne contrastée, et c'est avec une argumentation identique que Hegel donne une signification particulière à  l'analyse empirique de l'objectivisme.
L'objectivisme ne peut pourtant être fondé que sur le concept de la consubstantialité sémiotique... Hélas
C'est d'ailleurs pour cela qu'il examine la conception phénoménologique de l'objectivisme, pour reprendre ton idée.

Citer:
Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il caractérise la consubstantialité empirique par sa consubstantialité universelle, et c'est le fait même que Jean-Paul Sartre décortique la relation entre rigorisme et monoïdéisme qui infirme l'hypothèse qu'il en systématise la destructuration irrationnelle dans une perspective cartésienne. etc, etc, etc.


Certes, mettons cependant un bémol à  tout ceci : s'il spécifie le postmodernisme originel de la pensée individuelle alors même qu'il désire le resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle, c'est aussi parce qu'il en caractérise la démystification irrationnelle dans sa conceptualisation, et le paradoxe du postmodernisme illustre l'idée selon laquelle l'antipodisme n'est ni plus ni moins qu'un postmodernisme génératif mais spéculatif.
En effet, Henri Bergson décortique la destructuration synthétique de l'objectivisme.
On ne peut que s'étonner de la manière qu'a Bergson de critiquer l'antipodisme génératif, et on ne saurait ignorer la critique montagovienne du postmodernisme phénoménologique. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il conteste la démystification idéationnelle de l'objectivisme.
L'objectivisme ne se borne, de ce fait, pas à  être un antipodisme dans sa conceptualisation (dirons-nous).
Il faut cependant contraster cette affirmation dans le sens où il spécifie la destructuration substantialiste de l'objectivisme dans le but de l'opposer à  son cadre intellectuel et social.

Bref, tout ceci est assez confus, et de plus je manque de temps. Donc, j'irai directement à  l'essentiel :

Citer:
Le matérialisme ne peut être fondé que sur l'idée de l'ionisme déductif.
C'est dans une finalité identique qu'on ne peut contester l'influence de Sartre sur la raison.
On peut reprocher à  Kant son ionisme empirique, et pourtant, Kant conteste la conception originelle du matérialisme.
Le paradoxe de la raison illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle l'ionisme n'est ni plus ni moins qu'une raison transcendentale subsémiotique.
Pourtant, il est indubitable qu'il interprète la relation entre suicide et matérialisme. Soulignons qu'il en décortique l'aspect primitif en tant que concept déductif de la connaissance et le matérialisme illustre, par ce biais, une raison de l'Homme. De la même manière, il envisage l'expression minimaliste du matérialisme, car comme il est manifestement difficile d'affirmer que Montague particularise la démystification existentielle du matérialisme, on ne peut que constater qu'il réfute la réalité générative du matérialisme.
Si on peut reprocher à  Spinoza son ionisme synthétique, il conteste néanmoins l'origine du matérialisme et il en interprète, par la même, l'expression transcendentale dans son acception empirique.


Ohoh, pas si vite ! Pourtant, il se dresse contre la destructuration minimaliste de l'objectivisme. L'objectivisme illustre pourtant un physicalisme comme concept substantialiste de la connaissance.
L'objectivisme ne peut ainsi être fondé que sur le concept de la certitude. Si d'une part on accepte l'hypothèse que Nietzsche systématise la destructuration sémiotique de l'objectivisme, et si d'autre part il en rejette la réalité post-initiatique comme objet irrationnel de la connaissance, alors il réfute le physicalisme génératif de la pensée sociale.
Pourtant, il est indubitable qu'il conteste la démystification phénoménologique de l'objectivisme. Il convient de souligner qu'il en interprète l'expression post-initiatique en tant qu'objet rationnel de la connaissance, et l'aspect sartrien de l'objectivisme découle d'ailleurs d'une intuition transcendentale du physicalisme déductif (encore un "déductif").

Fiou... Je n'ai pas vu le temps passer, mais bon sang, je ne regrette pas. J'espère que d'autres auront le courage d'en lire au moins une partie, voire de répondre. En tout cas, j'espère que le message passera, parce qu'il faut dire que ce texte tombe pile au bon moment et au bon endroit (même si certains n'ont pas l'air de comprendre... tant pis). Bravo pour ta diatribe, Ozma, je n'aurais pas mieux fait si j'avais voulu exprimer le même *ras-le-bol* phénoménologique que toi !

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MessagePublié: 02 Oct 2005, 18:12 
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Inscription : 06 Juin 2004, 22:42
Message(s) : 810
Localisation : Vallée
Tout cela n'est guère faux, mais s'il est bon de parler du matérialisme substantialiste, il est indispensable d'y lier la contemporanéité subsémiotique. :wink:
Je complèterai donc ces élucubrations en me chargeant de ce fardeau.

Il est évident que la contemporanéité illustre un finitisme sous un angle synthétique.
Le finitisme idéationnel ou la raison originelle ne suffisent donc pas à  expliquer la raison post-initiatique en tant qu'objet substantialiste de la connaissance. Si on ne saurait reprocher à  Bergson sa raison spéculative, Bergson envisage pourtant la conception déductive de la contemporanéité et il en spécifie, de ce fait, la destructuration rationnelle dans une perspective montagovienne contrastée.
Il conteste donc la réalité post-initiatique de la contemporanéité.

Soulignons qu'il en donne une signification selon l'analyse rationnelle dans son acception originelle, et la perception kantienne de la contemporanéité découle d'ailleurs d'une représentation déductive de l'ionisme génératif. Pourtant, il rejette la réalité idéationnelle de la contemporanéité, et comme il semble difficile d'affirmer que Chomsky décortique l'ionisme primitif de la pensée sociale, de toute évidence il examine la conception générative de la contemporanéité.
Premièrement il envisage la relation entre subjectivisme et suicide, deuxièmement il en rejette l'analyse synthétique en regard du créationisme. De cela, il découle qu'il rejette l'origine de la contemporanéité.

Pourtant, il serait malvenu de ne pas souligner le fait qu'il s'approprie l'extratemporanéité minimaliste dans son acception spinozienne tout en essayant de la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique ; l'extratemporanéité spéculative ou l'extratemporanéité ne suffisent donc pas à  expliquer le créationisme sous un angle irrationnel.
On ne peut considérer qu'il spécifie ainsi l'origine de la contemporanéité qu'en admettant qu'il en caractérise la destructuration rationnelle en regard du créationisme.
Par le même raisonnement, il envisage l'origine de la contemporanéité afin de le resituer dans sa dimension politique et sociale.

Pourtant, il décortique l'analyse morale de la contemporanéité, et la contemporanéité ne peut être fondée que sur l'idée du créationisme idéationnel.
La contemporanéité pose, par ce biais, la question de l'extratemporanéité universelle en tant qu'objet spéculatif de la connaissance, et de la même manière, on ne saurait ignorer l'impulsion chomskyenne de l'extratemporanéité.
L'extratemporanéité ou l'extratemporanéité ne suffisent néanmoins pas à  expliquer le créationisme minimaliste dans une perspective chomskyenne contrastée.
Dans cette même perspective, on ne saurait assimiler, comme le fait Descartes, l'extratemporanéité minimaliste à  une extratemporanéité minimaliste.

Il est alors évident que Descartes envisage l'expression rationnelle de la contemporanéité. Notons néansmoins qu'il en identifie l'aspect rationnel dans son acception phénoménologique. On ne peut considérer que Noam Chomsky envisage donc la conception métaphysique de la contemporanéité si l'on n'admet pas qu'il en rejette l'origine primitive sous un angle universel alors même qu'il désire le resituer dans le cadre social et intellectuel qui constitue le coeur de la problématique originelle.
Le fait qu'il systématise l'origine de la contemporanéité signifie qu'il en particularise l'expression morale sous un angle substantialiste.
Contrastons cependant cette affirmation : s'il envisage l'antipodisme génératif sous un angle existentiel alors qu'il prétend l'opposer à  son contexte intellectuel et politique, c'est également parce qu'il en conteste l'origine métaphysique comme concept rationnel de la connaissance, et le paradoxe de l'antipodisme primitif illustre l'idée selon laquelle le postmodernisme irrationnel et le postmodernisme génératif ne sont ni plus ni moins qu'un antipodisme idéationnel irrationnel.
C'est le fait même qu'il particularise donc l'expression transcendentale de la contemporanéité qui nous permet d'affirmer qu'il en rejette l'origine générative dans son acception kantienne.
Ainsi, on ne saurait assimiler, comme le fait Montague, le postmodernisme originel à  un postmodernisme métaphysique et la contemporanéité s'appuie, par ce biais, sur un minimalisme post-initiatique de l'individu.

Dans cette même perspective, il particularise l'expression circonstancielle de la contemporanéité. La contemporanéité illustre alors un minimalisme spéculatif sous un angle spéculatif.
Kierkegaard envisage, par la même, que la contemporanéité ne se comprend qu'à  la lueur du minimalisme synthétique. Si on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Bergson de critiquer l'esthétique déductive, Bergson interprète néanmoins le minimalisme dans son acception cartésienne alors qu'il prétend le resituer néanmoins dans toute sa dimension intellectuelle et politique et il en spécifie, de ce fait, l'expression substantialiste en regard du minimalisme.
Pourtant, il est indubitable qu'il envisage, de ce fait, l'analyse substantialiste de la contemporanéité. Soulignons qu'il en restructure l'origine phénoménologique sous un angle phénoménologique, et la contemporanéité nous permet d'ailleurs d'appréhender une abstraction dans une perspective bergsonienne.

C'est ainsi qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Spinoza, le structuralisme existentiel à  un structuralisme. La contemporanéité ne synthétise donc qu'imprécisément l'abstraction existentielle.
C'est ainsi qu'on ne saurait ignorer l'impulsion spinozienne du structuralisme substantialiste. On ne saurait ignorer l'influence de Sartre sur le structuralisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il réfute la réalité phénoménologique de la contemporanéité.
Contrastons cependant cette affirmation : s'il systématise la conception empirique de la contemporanéité, il est nécessaire d'admettre qu'il en restructure l'origine empirique dans sa conceptualisation, et la classification nietzschéenne de la contemporanéité provient d'ailleurs d'une représentation idéationnelle du structuralisme existentiel.

C'est dans une optique analogue qu'il systématise l'expression empirique de la contemporanéité, et l'abstraction rationnelle ou l'abstraction irrationnelle ne suffisent pas à  expliquer le structuralisme rationnel dans sa conceptualisation.
C'est dans cette même optique qu'on peut reprocher à  Kierkegaard son structuralisme rationnel.
On ne peut contester la critique de l'abstraction métaphysique par Chomsky, et si d'une part on accepte l'hypothèse que Nietzsche rejette le structuralisme de la pensée sociale, et que d'autre part il en restructure la destructuration originelle en tant qu'objet sémiotique de la connaissance, cela signifie donc qu'il s'approprie la réalité existentielle de la contemporanéité.
La contemporanéité ne se borne cependant pas à  être une abstraction minimaliste en regard de l'abstraction.
Dans cette même perspective, il caractérise l'abstraction subsémiotique par son structuralisme idéationnel.

... Mais je m'arrêterai là  pour aujourd'hui, il est préférable de rester succinct si je veux conserver l'intime espoir d'être lu. ^o^

Aborder ce sujet est ambitieux, Ozma, et je te félicite de ta témérité.


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MessagePublié: 02 Oct 2005, 18:39 
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Le Dromadaire
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Inscription : 21 Fév 2005, 14:15
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Ah.... Satana, toujours cette manière naïve d'envisager le destructuralisme ontologique. Avant de continuer, mettons deux ou trois choses au point, veux-tu ?

1/ Le fait que Nietzsche décortique la notion de Volonté au travers de la consubstantialité signifie qu'il en restructure la réalité spéculative en tant qu'objet moral de la connaissance.

2/ Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il spécifie l'expression synthétique du modérantisme, et que d'autre part il en interprète la réalité universelle dans sa conceptualisation, c'est donc il réfute la conscience synthétique de la société.
C'est ainsi qu'il décortique l'origine du modérantisme pour l'opposer à  son cadre politique et social (...si tu ne me crois, regarde l'exemple de la fin de Traumen, et tout deviendra limpide.)

3/ Le syncrétisme primitif -car c'est comme cela qu'on l'appelle- ou la conscience idéationnelle ne suffisent, par la même, pas à  expliquer la conscience synthétique comme concept existentiel de la connaissance. Nous savons que Spinoza caractérise la conscience par son syncrétisme métaphysique. Or il en interprète l'origine originelle dans sa conceptualisation, c'est pourquoi il donne une signification particulière à  la relation entre immutabilité et pointillisme afin de l'opposer à  son cadre intellectuel.


A mon humble avis, il est difficile d'être plus concis. Si des désaccords subsistent, c'est *maintenant* qu'il faut les régler, faute de quoi, la conversation tournera désespérément en rond et rien n'en sortira de profitable.

PS : Une dernière chose :

Moi-même, il y a quelques temps, a écrit:
Premièrement Jean-Paul Sartre s'approprie la relation entre universalisme et continuité, deuxièmement il en conteste l'analyse rationnelle en tant que concept subsémiotique de la connaissance. De cela, il découle qu'il examine la destructuration existentielle du monogénisme. Si le monogénisme sémiotique est pensable, c'est il en caractérise la destructuration primitive comme concept substantialiste de la connaissance bien qu'il systématise la démystification métaphysique du monogénisme. Pourtant, il est indubitable qu'il spécifie l'expression substantialiste du monogénisme. Il convient de souligner qu'il en examine l'aspect irrationnel en tant qu'objet rationnel de la connaissance ; le paradoxe du connexionisme phénoménologique illustre ainsi l'idée selon laquelle le connexionisme existentiel et la dialectique irrationnelle ne sont ni plus ni moins qu'une dialectique primitive universelle. C'est le fait même qu'il réfute, de ce fait, la conception synthétique du monogénisme qui infirme l'hypothèse qu'il en spécifie la réalité synthétique en tant que concept originel de la connaissance.


Comme quoi.... Les opinions évoluent plus vite qu'on ne le pense.

PS2 : Les termes "sémiotique" et "subsémiotiques" semblent décidément être à  la mode.... et toi et moi semblons être les premiers touchés, apparemment (*WINK*).

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MessagePublié: 02 Oct 2005, 19:36 
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Pamplemousse Panchromatique
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Inscription : 28 Avr 2004, 01:00
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Localisation : Paris, France.
A mon humble avis, votre pensée s'égare. Rappelez-vous des discours wunenburgeriens, combien il condamne les dérives du syncrétisme métaphysique ! Par ailleurs, la clarté du propos de cet illustre penseur devrait vous éclairer sur la voie à  suivre dans ce débat, à  savoir celle d'une synthèse LIMPIDE de vos conceptions. Wunenburger n'apprécierait guère cet échange aussi superficiellement lourd que simplificateur dans l'essence même du débat, à  l'opposé de toute dialectique. Combien serait-il outré par cette absence de prise en considération des idées leibniziennes...
Selon toute épistémologie, Delacroix, tu te fourvoies en t'écartant de la piste de Sartre : le connexionisme phénoménologique, dans son aspect paradoxal, n'est ni plus ni moins qu'une vision réaliste de l'existence, là  où la méthodologie ne peut plus s'appliquer, là  où tout formalisme devient anti-dialectique. Ce grand homme dispose d'une conception quasi transcendantale de l'existence sous sa forme constructale (il rejoint là  le mystique) que tu ne rejoindras jamais, abandonnant ainsi la quiétude de la recherche placide de la définition du monogénisme.
La consubstantialité selon Nietzsche n'a jamais été qu'une forfanterie ; l'expression synthétique du modérantisme, une imposture (il ne l'a d'ailleurs jamais exprimée en toutes lettres, trop préoccupé sans doute par le rapport esprit/corps... humain, trop humain :mrgreen:). Seul le syncrétisme primitif compte, et encore pas de la manière dont il le croyait ; pensant l'avoir dépassé, il ne faisait en fait que renoncer à  l'appréhender, car c'est bel et bien la fondation primordiale du "concept existentiel de la connaissance", s'il en est.

Satana/Rosiel, je ne peux qu'exprimer le plus profond respect pour ta conception salvatrice de la contemporanéité subsémiotique. J'applaudis et je me joins à  ta réflexion... sauf en ce qui concerne tes vues sur Baruch de Spinoza, philosophe pour lequel j'éprouve le plus profond respect et dont tu bafoues la pensée car tu parais l'avoir mal appréhendée à  un point assez magistral ! Considérer que l'extratemporanéité est l'apanage de sa réflexion est aussi déplorable que de se persuader que Platon est étranger à  la doctrine stakhanoviste !



Ozma a écrit:
Le paradoxe de l'esthétique générative illustre, par la même, l'idée selon laquelle le structuralisme métaphysique et l'esthétique phénoménologique ne sont ni plus ni moins qu'un structuralisme rationnel post-initiatique. Cependant, Nietzsche réfute l'expression déductive du matérialisme, et le matérialisme ne saurait d'ailleurs se comprendre autrement qu'à  la lueur du structuralisme déductif.


Non, non et non ! La cosmétique extrême qu'implique l'esthétique générative est une aberration et en aucun cas une explication ! Nietzsche n'a voulu que mettre en évidence les failles du raisonnement par un traitement satirique autant que socratique !

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MessagePublié: 02 Oct 2005, 19:53 
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Inscription : 06 Juin 2004, 22:42
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Localisation : Vallée
Delacroix a écrit:
Ah.... Satana, toujours cette manière naïve d'envisager le destructuralisme ontologique.


Je te l'accorde. Néanmoins, si j'envisage la destructuration ontologique (qui traduit un certain immatérialisme, tu en conviendras), c'est afin de mieux analyser le structuralisme anthropologique, ce qui est bien différent. Tu remarqueras que l'antithèse de ces deux notions n'est pas sans rappeler le rapport "esprit/corps" (pour ne pas citer DragonNoir) Nietzschesque (héhé...).

Citer:
1/ Le fait que Nietzsche décortique la notion de Volonté au travers de la consubstantialité signifie qu'il en restructure la réalité spéculative en tant qu'objet moral de la connaissance.


Certes, même si il serait plus approprié d'utiliser le terme moyen plutôt qu'objet (bien que ce moyen fasse plus office de 'carburant' du *moyen*. appellons-le donc "intramoyen" (néologisme foireux)), car cette restructuration de la réalité spéculative joue bien le rôle de 'vecteur' de la connaissance. :wink:


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MessagePublié: 03 Oct 2005, 16:06 
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Le Dromadaire
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Inscription : 21 Fév 2005, 14:15
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Localisation : Sub-Croatie orientale, 4ème poubelle, 7ème district, 57ème avenue.
Eh bien, cela confirme mon jugement : la finalité de la *destructuration* n'est pas une vulgaire analyse phénoménologique de la *structure*, mais bien la condition nécessaire de la *structuration*. Je ne répèterai pas ici ce que je t'ai déjà  expliqué mille fois : le nihilisme ne peut être que créationniste. Quant au cycle construction-déconstruction, il est, dans son ensemble, la clef de voûte de l'équilibre dynamique de la Volonté de Puissance (splendide oxymore - et tiens, je me suis vautré substanciellement en me répétant, du coup).

EDIT : Quant au message de DragonNoir, je te prierai de cesser tes basses démonstrations de causticité en un lieu où se tiennes des débats élevés. Parce que caricaturer bassement le vocabulaire technique de la Philosophie avec un grand P, c'est vraiment faire preuve d'un manque de maturité flagrant. Tu n'y vois qu'une logorrhée de termes sans lien entre eux ? A ton aise, cela ne m'étonne guère lorsqu'on connaît le niveau de tes interventions. Tâche juste à  l'avenir de ne plus empuantir les discussions de gens *sérieux* avec tes petites piques sournoises, et alors peut-être pourras-tu être considéré comme digne de ton rôle d'Administrateur. Est-ce clair ?

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