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M enfin bon voila, on verra bien quand on en sera arrive la, ou alors on ne verra plus rien du tout. Benis soit ceux qui se bercent d illusions a propos de la vie apres la mort, parce que s il y a quelque chose, cela prouvera qu ils auront eu raison et s ils se sont trompes, bah ils ne s en rendront meme pas compte.
My god, je me demande si me convertir ne serait pas une excellente idee, strategiquement parlant.
Les croyants sont de perpetuels anxieux quant au "salut de leur âme". Ils vivent dans des interrogations malsaines et des crises des culpabilisations ("et si seuls ceux qui ne désirent pas la vie après la mort l'obtenaient ?").
Cela dit, je reste convaincu que personne ne peut être plus heureux que personne, le bonheur étant une quantité nulle. D'un point de vue non-instantané, qu'on soit mort, vif, croyant ou athé reviendra au même.
En revanche, d'un point de vue "instantané" (égoïste, donc), l'idéal est d'accepter le néant. Considérant qu'un individu n'est pas un corps secoués de pulsions qui s'annulent entre elles, mais une pensée unique. Ce que m'inspire la mort n'est pas la peur de ne plus être, mais celle de ne pas avoir eu le temps d'immortaliser ma pensée. Cette entreprise peut être comme un but à l'existence, et fournit donc des "pulsions" instantanée (mais vaines dans leutr absolu). Car ceci est, je le répète, purement masturbatoire, utile ou non à la société (dont le "bonheur" restera toujours au point d'équilibre "nul"). Cela dit, on peut y voir une forme de perfection maniaque dans le sens où il y a un "blocage" lorsqu'on essaye de se convaincre de son absurdité.