Quelle surprise, ce Bonjour, toujours là où on ne l'attend pas.
Je t'aime, Bonjour, j'aime ta spontanéité, ta prose flamboyante, tes réflexions passées et actuelles, ton esprit critique, tes piques et traits d'humour qui tombent à point nommé, la portée de ta verve.
Rémy, je t'aime aussi, même si tu serais mieux avec le menton glabre, car bouc, barbe et favoris, aussi bien qu'ils t'aillent, te font paraître bien vieux, et vieux, tu auras bien le temps de l'être et de le paraître, profite de ta jeunesse... Qu'aurais-je fait sans toi, sans ce regard critique toujours posé sur moi, me poussant à une remise en question qui n'est, chez ma personne, pas toujours évidente à faire ni à voir. Tes idées m'ont toujours fasciné, quel dommage que je n'aie jamais pu toucher, en guise de RPG, qu'à tes démos jouables, qu'en matière de dessin, qu'à quelques esquisses.
Stéphanie, je t'aime, j'aime ton univers, tes rêves, tes concepts très spéciaux, je t'aime même si ce n'était pas le cas au point de rester avec toi.
Claire, je t'aime, même si je te vois peu. J'aime tes dessins, tes personnages, ton réalisme et ta praticité, tes conseils avisés.
Stéf', euh... je ne t'ai pas vue tant que ça, et de toute façon, tu ne liras jamais ces lignes, mais je t'aime aussi, j'ai adoré ta vitalité quand, au Québec, je t'ai rencontré. Tu es quelqu'un qui gagne à être connu.
Darky, dont je ne saurai jamais le prénom, tu as beau m'avoir posé un lapin à plusieurs reprises, avoir trollé mon forum au-delà de toute expression jadis, avec des nazis et puis des bébés morts... je t'aime encore. C'était chouette d'écrire la fanfic DDB en commun avec toi, c'était chouette et marrant de discuter avec toi, tu avais un franc-parler des plus rafraîchissants.
Spacebar, idem, trop éloigné de moi, quel dommage, mes voyages au Canada ne m'auront pas laissé l'occasion de te voir. J'ignore si je connaîtrai un jour ton nom, ou à quoi tu ressembles. Je t'aime, j'aime ta prose, et ta folle entreprise de jadis d'organiser un concours littéraire global sur jeuxvideo.com. Tu restes dans ma mémoire.
Maxime, avec toi, j'ai toujours su que je pouvais discuter d'écriture calmement. Tu connais la valeur de chaque mot, d'une phrase longue ou courte, et même si c'est aussi le cas d'autres personnes que j'ai cité plus haut, Bonjour en premier lieu, et que tu n'es pas la personne avec laquelle j'ai le plus travaillé et conçu un univers sur la durée... j'ai vécu avec toi une intense expérience d'écriture en commun. Quelle pitié que nous n'ayons pas eu la motivation de poursuivre seuls DDB 2, et que nous n'ayons pas trouvé la perle rare qui aurait épicé ce projet-là . Plusieurs candidats, mais au final, rien n'a avancé. En tout cas, je t'adore, toi aussi.
Bon, plus que trois cent à faire...
_________________ 
|