Je propose de clore temporairement le débat sur le patriotisme, chacun restant campé sur ses positions (moi le premier
), et Yves ayant mieux que je n'aurais pu le faire, expliqué mon point de vue à ce sujet. Je conclurai donc sur cette unique réponse à Tovarich (et peut-être davantage plus tard) : le problème n'est pas le patriotisme, mais comme beaucoup de choses, c'est ce que nous en faisons (ou ce que nous en pensons).
Je salue la démarche intellectuelle, et particulièrement culottée, d'Arkh de vouloir dédiaboliser Sarkozy, ne serait-ce que pour éviter qu'un débat politique comme celui-ci ne sombre dans la facilité d'une guerre bien contre mal, et éviter la chasse aux sorcières. Ainsi peut-on espérer que le niveau de la conversation s'élève un peu. L'avenir nous dira peut-être si c'était judicieux.